Regarde là-haut
Danser ombre et lumière
Sur le doux berceau des feuilles
Ce jour est le nôtre
Les fleurs se parent de pourpre
Mon cœur s’illumine
Ma guitare jubile
Souris à la vie
Happe joie et bien-être
La vie est un rêve
Qu’il faut attraper au vol
Saisis ta part
Savoure chaque heure
Tu es une fleur
Tu as besoin de lumière
Bois aime amuse-toi
Lis écris rêve
Danse déhanche-toi
Chante versifie
Ecoute sens vois
Ris exulte hurle de joie
Joue clame convie
Espère souhaite désire
Quitte la maison
Congédie ta peur
Les jours t’accueilleront
Avec des brassées de fleurs
Celui que tu aimes
Déclame-lui ton amour
La nuit sous les étoiles
Désapprends ta prison
Rejoins la lumière
La maison c’est la mort
La tombe avant l’heure
Alors que toi tu es la mort de la mort
La source du printemps
La Femme
Le lendemain de l’Humain
Sors cours détale
Sois vive inventive
Détends-toi chantonne
Blague dis raconte
Scintille brille
Sois ressens enivre-toi
Soupire entiche-toi
Écume jouis hurle
Ne te fie pas aux adeptes des ténèbres
Qui veulent te tuer à la naissance
Ils te bâillonneront
Pour t’empêcher de vivre le moindre amour
Ils te confisqueront tes droits
Ne te laisseront que les yeux pour pleurer
Pour leur plaisir ils t’useront
Et après usage ils te jetteront
“La femme de bonne famille
Soumise obéissante
Doit se sacrifier pour son mari”
Ainsi parle la société
Quelle injustice
Que la raison condamne et décrie !
Libère-toi déchire ce lange
Confectionné par les esprits moisis
Vis souris
Fleuris embellis éclos
Farde-toi fais-toi belle
Brille grandis flamboie
Pars marche voyage
Désire apprends mémorise
Sifflote déclame roucoule
Berce entonne chantonne
Laisse le vent
Jouer avec ta chevelure
Laisse l’étoile
Voler un peu de ta splendeur
Laisse le miroir
Se rassasier de la beauté de tes yeux
Joue brille regarde
Ton cœur a des envies
Fais en sorte qu’elles soient assouvies
Trais la vie et déguste-la
Comme du pur lait d’amour
Chaque minute essore-la
Roule tes jours comme des joints
Lève-toi vis sois.
Chanson kabyle: Kker dder ili - Farid Abache.
Une Dédicace à la femme libre et libérée
Danser ombre et lumière
Sur le doux berceau des feuilles
Ce jour est le nôtre
Les fleurs se parent de pourpre
Mon cœur s’illumine
Ma guitare jubile
Souris à la vie
Happe joie et bien-être
La vie est un rêve
Qu’il faut attraper au vol
Saisis ta part
Savoure chaque heure
Tu es une fleur
Tu as besoin de lumière
Bois aime amuse-toi
Lis écris rêve
Danse déhanche-toi
Chante versifie
Ecoute sens vois
Ris exulte hurle de joie
Joue clame convie
Espère souhaite désire
Quitte la maison
Congédie ta peur
Les jours t’accueilleront
Avec des brassées de fleurs
Celui que tu aimes
Déclame-lui ton amour
La nuit sous les étoiles
Désapprends ta prison
Rejoins la lumière
La maison c’est la mort
La tombe avant l’heure
Alors que toi tu es la mort de la mort
La source du printemps
La Femme
Le lendemain de l’Humain
Sors cours détale
Sois vive inventive
Détends-toi chantonne
Blague dis raconte
Scintille brille
Sois ressens enivre-toi
Soupire entiche-toi
Écume jouis hurle
Ne te fie pas aux adeptes des ténèbres
Qui veulent te tuer à la naissance
Ils te bâillonneront
Pour t’empêcher de vivre le moindre amour
Ils te confisqueront tes droits
Ne te laisseront que les yeux pour pleurer
Pour leur plaisir ils t’useront
Et après usage ils te jetteront
“La femme de bonne famille
Soumise obéissante
Doit se sacrifier pour son mari”
Ainsi parle la société
Quelle injustice
Que la raison condamne et décrie !
Libère-toi déchire ce lange
Confectionné par les esprits moisis
Vis souris
Fleuris embellis éclos
Farde-toi fais-toi belle
Brille grandis flamboie
Pars marche voyage
Désire apprends mémorise
Sifflote déclame roucoule
Berce entonne chantonne
Laisse le vent
Jouer avec ta chevelure
Laisse l’étoile
Voler un peu de ta splendeur
Laisse le miroir
Se rassasier de la beauté de tes yeux
Joue brille regarde
Ton cœur a des envies
Fais en sorte qu’elles soient assouvies
Trais la vie et déguste-la
Comme du pur lait d’amour
Chaque minute essore-la
Roule tes jours comme des joints
Lève-toi vis sois.
Chanson kabyle: Kker dder ili - Farid Abache.
Une Dédicace à la femme libre et libérée
Commentaire