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L’usine Gloviz de Global Group, dédiée à l’assemblage de véhicules Kia à Batna, a fermé hier momentanément ses portes, rapporte le 4 février 2020 le site spécialisé Autoalgérie.
Gloviz a annoncé la « cessation des activités de l’usine et ce jusqu’à nouvel ordre », expliquant que cette décision intervient suite à la dégradation du climat, après la décision de la direction « d’appliquer un temps de travail partiel », comme le stipule l’article 7 du Décret exécutif 94-09 portant sur la préservation de l’emploi et protection des salaries susceptibles de perdre de façon involontaire leur emploi.
L’usine Gloviz justifie cette décision comme étant « l’ultime solution pour sauvegarder les emplois au sein de l’unité de Batna en attendant une amélioration de la situation. »
L’entreprise explique, dans un communiqué, que cette décision n’a pas été acceptée par certains employés «qui font passer leurs intérêts personnels à ceux de l’ensemble des travailleurs ».
Selon la même source, certains travailleurs estiment que les protestataires proposent une séries de demandes « irréelles et ne répondant à aucun texte juridique tout en ignorant la situation économique difficile que vit l’entreprise ».
Gloviz a annoncé la « cessation des activités de l’usine et ce jusqu’à nouvel ordre », expliquant que cette décision intervient suite à la dégradation du climat, après la décision de la direction « d’appliquer un temps de travail partiel », comme le stipule l’article 7 du Décret exécutif 94-09 portant sur la préservation de l’emploi et protection des salaries susceptibles de perdre de façon involontaire leur emploi.
L’usine Gloviz justifie cette décision comme étant « l’ultime solution pour sauvegarder les emplois au sein de l’unité de Batna en attendant une amélioration de la situation. »
L’entreprise explique, dans un communiqué, que cette décision n’a pas été acceptée par certains employés «qui font passer leurs intérêts personnels à ceux de l’ensemble des travailleurs ».
Selon la même source, certains travailleurs estiment que les protestataires proposent une séries de demandes « irréelles et ne répondant à aucun texte juridique tout en ignorant la situation économique difficile que vit l’entreprise ».
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