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Aït Menguellet - Urgigh (J'ai attendu )

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  • Aït Menguellet - Urgigh (J'ai attendu )

    Urgigh (J'ai attendu )

    L'attente est dure, elle perdure
    Même si le cœur désespère
    L’attente devient arbitraire
    Mon amour est toujours pur


    Les jours passant pour moi
    Comme ils passent aussi pour toi
    Celui qui souffre, c'est moi
    Que n'ai-je pas subi de toi
    Ton image, en moi, vivant
    Même si les années passant

    Je ne sais qui avait dit
    Le fou connaît bien son huis
    Mon cœur connaît toutes les voies
    Qui le mènent où le voulant
    En arrivant à l'endroit
    Les problèmes intervenant

    J'ai peur qu'en te rejoignant
    Le temps aura fait sa loi
    A ta place, ne retrouvant
    Qu'une vieille aux poils blanchis
    Moi aussi, j'aurai vieilli
    Chacun ne pensera qu'à soi

    dz(0000/1111)dz

  • #2
    la traduction ne met pas en valeur ce bijou
    “Si je ne brûle pas, si tu ne brûles pas, si nous ne brûlons pas,
    comment veux-tu que les ténèbres deviennent clarté!”

    Nazim Hikmet

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    • #3
      Exact,
      Y a un roman de boudjedra dans lequel il parle de la traduction...
      Ça par exp c intraduisible car le vocabulaire réuni crée une atmosphère de mélancolie ineffable

      Commentaire


      • #4
        ya 7essraaah... cela fait leurette que je n'ai pas lu un livre de Boudjedra...

        euuuh... Je me trope wella Tiregwa=Tawenza?oeilfermé
        “Si je ne brûle pas, si tu ne brûles pas, si nous ne brûlons pas,
        comment veux-tu que les ténèbres deviennent clarté!”

        Nazim Hikmet

        Commentaire


        • #5
          ughaled ay aghrib

          Ughaled ay oudhrif (Reviens, ô galant)

          Reviens, ô galant
          Mon cœur est saisi
          De force, séparés
          Par le temps aux soucis
          Ne gagnant que la misère
          Par le dépit, tué
          Mes larmes coulant
          Davantage que l’hiver


          Le temps s’écoulant
          Et nous, le voyant
          Jamais, revenant
          La vie, la prenant
          Aujourd’hui, parti
          En hier, s’est mué
          De la jeunesse, ôté
          Ainsi, va la vie

          Le gain, on l’a vu
          Son ombre, on l’a vue
          On l’a attendu
          Toi et moi, l’attendant
          Le temps nous fuyant
          Nous laissant, le laissant
          La chance délirant
          A son idée, faisant

          Ô épouse, à moi
          Sur toi, je m’apitoie
          Même par le combat
          Notre part, on l’aura
          Le soleil apparaissant
          Regrettant, retournant
          Et le temps courant
          Le Dieu, remerciant

          Ami, veux-tu me laisser
          Que te raconter
          Il est loin, pas près
          Le jour où je guérirai
          Je ne trouve pas de soignant
          Les temps sont mensongers
          Pleurer, indécent
          Laisse-moi rimer.
          dz(0000/1111)dz

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          • #6

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            • #7
              Dialogue avec les rêves

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              • #8
                Urjiɣ win tuṛj teryel
                Ỿas ul yeṭrajun yuyes
                Ṛejju-w yuɣal d lbaṭel
                Lemḥibba-w tugi at-tenɣes

                Ussan ttεeddin felli
                Akken la ttεeddin fellam
                Win yenṭerren d nekkini
                D ac’ur qebleỿ si ljiha-m
                Lexyal-im yedder ỿuri
                Ỿas akka ttεeddin leεwam

                Wissen anw’akken i das-innan
                Yessen umeslbul tabburt-is
                Ul-is yessen akw iberdan
                Aa t-issiwḍen ỿer lebỿi-s
                Mi-gṛuḥ ad yaweḍ s amkan
                Ugur a d-iger iman-is

                Ugadeỿ asm’aa kem-in-awḍeỿ
                Zzman ad ikfu ccỿel-is
                Deg-wemkan-im a n-nafeỿ
                Tamỿart icab cceεr-is
                Ula d nek ad imỿureỿ
                Kulw’a d-lhu d yiman-is
                *********************
                J’attends comme celui qu’attend l’ogresse
                Mais le cœur qui attend désespère
                Mon attente devient scandaleuse
                Sans que mon amour s’amoindrisse

                Les jours pour moi passent
                Comme passent les jours pour toi
                Mais moi je souffre
                Que n’ai-je point subi pour toi ?
                Ton image me hante
                Malgré les jours qui passent

                Je ne sais qui a dit
                Que le fou n’oublie pas sa porte
                Ainsi mon cœur n’oublie pas les chemins
                Qui le mènent vers l’objet de ses désirs
                Mais dès qu’il touche au but
                Un obstacle s’interpose

                J’ai peur que le jour où je te reverrai
                Le temps n’ait déjà fait son œuvre
                Qu’à ta place je trouve
                Une vieille chenue
                Moi-même j’aurai vieilli
                Et chacun de nous s’occupera de soi

                (traduction de Tassadit YACINE)
                Dernière modification par democracy, 09 février 2020, 17h48.

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                • #9
                  Ait Menguellet Anida tejjam mmi

                  dz(0000/1111)dz

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                  • #10
                    Ait Menguellet-Taqsit-ik (Ton Histoire)

                    dz(0000/1111)dz

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