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il y a 2 heures
Le ministre des Affaires étrangères, de la coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger, Nasser Bourita a eu vendredi un entretien téléphonique avec Khaled Meshri, président du Haut conseil d’Etat libyen portant sur les derniers développements dans le dossier libyen.
Dans une déclaration à Diplomatie.ma, le site officiel de la diplomatie marocaine, Khaled Meshri a tenu à réitérer «l’attachement» du Haut conseil d’Etat libyen à l’Accord de Skhirat, qu’il a qualifié de «base de référence juridique» à toute solution à la crise libyenne.
Tout en saluant les efforts déployés par le royaume du Maroc dans ce sens, il s’est «favorable à ce que le Maroc abrite, encore une fois, le dialogue inter-libyen».
Un peu plus tôt, le royaume a reçu le ministre des Affaires étrangères du gouvernement du maréchal Khalifa Haftar. Abdelhadi Lahouij a eu à Rabat, des entretiens avec son homologue Nasser Bourita.
Dans des déclarations à la presse au terme de sa réunion avec Bourita, Lahouij s’est dit convaincu en la capacité du royaume «aux côtés des autres pays», de jouer un rôle pour parvenir à une solution durable à la crise libyenne, soulignant que «la formule maghrébine est la plus proche des formules européennes et internationales».
Le diplomate a appelé le Maroc à «continuer de parrainer un rôle maghrébin, méditerranéen et africain pour résoudre cette crise». Il a, d’ailleurs, salué les efforts déployés par le Maroc «Roi, gouvernement et peuple», lors des discussions ayant abouti à l’accord de Skhirat signé le 17 décembre 2015.
Ce déplacement intervient une semaine après la rencontre entre les deux ministres, à Brazzaville, à l’occasion de la 8e session de haut niveau du Comité de l’Union africaine sur la Libye. Le chef de la diplomatie de l’homme fort de l’Est libyen s’était déjà rendu, fin décembre, à Rabat mais cette visite a été gardée secrète. Elle a été effectuée bien avant que l’Allemagne ne prépare la conférence de Berlin du 19 janvier.
A rappeler que le Maroc ne reconnait pas, jusqu’à présent, le gouvernement du maréchal Khalifa Haftar.
ya biladi
Le ministre des Affaires étrangères, de la coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger, Nasser Bourita a eu vendredi un entretien téléphonique avec Khaled Meshri, président du Haut conseil d’Etat libyen portant sur les derniers développements dans le dossier libyen.
Dans une déclaration à Diplomatie.ma, le site officiel de la diplomatie marocaine, Khaled Meshri a tenu à réitérer «l’attachement» du Haut conseil d’Etat libyen à l’Accord de Skhirat, qu’il a qualifié de «base de référence juridique» à toute solution à la crise libyenne.
Tout en saluant les efforts déployés par le royaume du Maroc dans ce sens, il s’est «favorable à ce que le Maroc abrite, encore une fois, le dialogue inter-libyen».
Un peu plus tôt, le royaume a reçu le ministre des Affaires étrangères du gouvernement du maréchal Khalifa Haftar. Abdelhadi Lahouij a eu à Rabat, des entretiens avec son homologue Nasser Bourita.
Dans des déclarations à la presse au terme de sa réunion avec Bourita, Lahouij s’est dit convaincu en la capacité du royaume «aux côtés des autres pays», de jouer un rôle pour parvenir à une solution durable à la crise libyenne, soulignant que «la formule maghrébine est la plus proche des formules européennes et internationales».
Le diplomate a appelé le Maroc à «continuer de parrainer un rôle maghrébin, méditerranéen et africain pour résoudre cette crise». Il a, d’ailleurs, salué les efforts déployés par le Maroc «Roi, gouvernement et peuple», lors des discussions ayant abouti à l’accord de Skhirat signé le 17 décembre 2015.
Ce déplacement intervient une semaine après la rencontre entre les deux ministres, à Brazzaville, à l’occasion de la 8e session de haut niveau du Comité de l’Union africaine sur la Libye. Le chef de la diplomatie de l’homme fort de l’Est libyen s’était déjà rendu, fin décembre, à Rabat mais cette visite a été gardée secrète. Elle a été effectuée bien avant que l’Allemagne ne prépare la conférence de Berlin du 19 janvier.
A rappeler que le Maroc ne reconnait pas, jusqu’à présent, le gouvernement du maréchal Khalifa Haftar.
ya biladi