Pourquoi ces rêves, amour, ces rêves
Qui me tuent, qui font revivre ces moments,
Moments heureux entre tes bras,
Moments de rêves épanouis,
Flotter au grès des songes dans l’ambroisie.
Pourquoi ces cauchemars, qui hantent mes nuits,
Depuis ton triste départ, ces cauchemars,
Qui brisent mon cœur, et les matins amers,
Après qu’ils ont troublé mon âme en deuil,
Je me réveille tremblante, les larmes aux yeux,
Et je répense `a toi, à cet amour si fort et fou,
A cet amour que j’ai porté au sein de moi,
Tel un’enfant, un’embryon de joie de vivre,
Mais il est mort, tu m’as quittée,
Tu te consoles aux bras d’une autre femme,
Et tu oublie ces rêves que nous fesions,
Ces rêves d’amour et de bonheur à deux,
Ces songes passionés, détruits par le jaloux,
Qui ont voulu les transformer en cauchemars,
Ces rêves sont perdus, pour toi, pour moi,
Ces anges qui chantaeint l’hymne à l’amour,
Sont devenus des diables destructeurs
Qui font saigner mon cœur, mon cœur encore si amoureux,
L’éspoir pourtant, faible étincelle,
Au fond de l’âme, l’éspoir je le cultive,
Comme les roses, ta rose,
Ta rose qui veut revivre ces rêves d’amour
Et oublier les cauchemars cruels
Qui fânent les pétales de mon cœur.
Qui me tuent, qui font revivre ces moments,
Moments heureux entre tes bras,
Moments de rêves épanouis,
Flotter au grès des songes dans l’ambroisie.
Pourquoi ces cauchemars, qui hantent mes nuits,
Depuis ton triste départ, ces cauchemars,
Qui brisent mon cœur, et les matins amers,
Après qu’ils ont troublé mon âme en deuil,
Je me réveille tremblante, les larmes aux yeux,
Et je répense `a toi, à cet amour si fort et fou,
A cet amour que j’ai porté au sein de moi,
Tel un’enfant, un’embryon de joie de vivre,
Mais il est mort, tu m’as quittée,
Tu te consoles aux bras d’une autre femme,
Et tu oublie ces rêves que nous fesions,
Ces rêves d’amour et de bonheur à deux,
Ces songes passionés, détruits par le jaloux,
Qui ont voulu les transformer en cauchemars,
Ces rêves sont perdus, pour toi, pour moi,
Ces anges qui chantaeint l’hymne à l’amour,
Sont devenus des diables destructeurs
Qui font saigner mon cœur, mon cœur encore si amoureux,
L’éspoir pourtant, faible étincelle,
Au fond de l’âme, l’éspoir je le cultive,
Comme les roses, ta rose,
Ta rose qui veut revivre ces rêves d’amour
Et oublier les cauchemars cruels
Qui fânent les pétales de mon cœur.
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