Depuis ta fuite cruelle, comme je l’appelle,
Le grand lit, où je dors, est vide et désolé,
Ce lit que tu nomais le stade, pour rigoler,
Où se jouaient nos matchs si tendres et passionnés,
Ces matchs sans vainqueur et sans vainqu,
Et qui se terminaient en une exthase de bonheur,
Une sigarette après et faire des blagues,
Et rire le cœur content, et puis dormir,
Entrelacés, heureux comme des amants.
Et maintenant ce lit je le partage
Avec ma chatte, elle dort sur ton coussin,
Au lieu des mots d’amour à mon oreille,
C’est ses ronrons qui rythment mon sommeil,
Et quand je pleure elle hurle et miaule,
Consciente de ma souffrance et de mes peines.
Elle sent comme tu me manques,
Elle flaire mon cœur violé,
Perdu dans ce grand lit, avide de l’amour
Et des caresses qui plus ne reviendront,
Car toi tu est si loin et c’est un autre lit,
Qui est témoin des joies et des chagrins que tu éprouves.
Le grand lit, où je dors, est vide et désolé,
Ce lit que tu nomais le stade, pour rigoler,
Où se jouaient nos matchs si tendres et passionnés,
Ces matchs sans vainqueur et sans vainqu,
Et qui se terminaient en une exthase de bonheur,
Une sigarette après et faire des blagues,
Et rire le cœur content, et puis dormir,
Entrelacés, heureux comme des amants.
Et maintenant ce lit je le partage
Avec ma chatte, elle dort sur ton coussin,
Au lieu des mots d’amour à mon oreille,
C’est ses ronrons qui rythment mon sommeil,
Et quand je pleure elle hurle et miaule,
Consciente de ma souffrance et de mes peines.
Elle sent comme tu me manques,
Elle flaire mon cœur violé,
Perdu dans ce grand lit, avide de l’amour
Et des caresses qui plus ne reviendront,
Car toi tu est si loin et c’est un autre lit,
Qui est témoin des joies et des chagrins que tu éprouves.
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