Tweet
Il ne fait aucun doute que la dictature marocaine succombera aux ordres de monarchies arabes car elles sont ses bailleurs de fonds. Sans leurs dons pécuniaires, le Maroc serait en banqueroute en dépit des 23 milliards de dollars engendrés par le haschich.
- Des Etats arabes, principalement du Golfe, se prépareraient à signer un «accord de non-agression» avec Israël. Alors qu’un ancien Premier ministre du Qatar affirme que le Maroc est probablement parmi les pays concernés, Rabat n’observe aucune réaction à ce sujet.
Ancien Premier ministre du Qatar, Hamad bin Jassim bin Jaber Al Thani a déclaré dimanche soir que des Etats arabes signeraient un «accord de non-agression» avec Israël, en guise de prochaine étape dans le «plan de paix» proposé par l’administration américaine pour la région du Moyen-Orient.
Sur son compte Twitter, l’ancien ministre a en effet déclaré que cet accord serait «acté entre Israël et les pays du Conseil de coopération du Golfe (CCG), en plus de l’Egypte, de la Jordanie et peut-être du Maroc». Bin Jassim n’a pas indiqué la source de ses informations, mais la douzième chaîne israélienne a évoqué, depuis octobre 2019, «une proposition israélienne aux Etats du Golfe» à ce sujet.
Aussi, l’ancien responsable qatariote a indiqué que «les pays arabes», sans les nommer, «ont promis que Washington adopterait une position positive sur ''l’accord'', mais il ne l’a pas fait à cause des médias». Selon lui, les Etats concernés chercheraient davantage un rapprochement avec la Maison Blanche pour voir se concrétiser des promesses américaines leur ayant été faites, contre la garantie que «l’accord sera adopté par la majorité de la Ligue des Etats arabes».
Des appels du pied envers Rabat
En décembre 2019 déjà, la Maison blanche a fait des tentatives allant dans le sens de l’officialisation de la normalisation entre des Etats arabes et Israël. Dans ce sens, Washington a opté pour une initiative visant à convaincre le Maroc, les Emirats arabes unis, le Bahreïn et Oman de signer un accord de non-agression avec Tel-Aviv, selon les révélations de la chaîne 13 d’information, citent des sources arabes, israéliennes et américaines.
Selon le média, il s’agit ici d’«une étape intermédiaire entre les relations secrètes qu’Israël entretient déjà avec ces pays et des relations diplomatiques complètes». L’initiative serait notamment portée par le ministre israélien des Affaires étrangères, Yisrael Katz, qui en discuté avec ses homologues des Emirats arabes unis et d’Oman, en septembre de la même année à New York.
Cette rencontre s’étant tenue en marge de la 73e session de l’Assemblée générale des Nations unies, Katz avait annoncé la conclusion d’«un accord historique avec les pays arabes».
Contacté ce lundi par Ya...bi, le ministère marocain des Affaires étrangères n’a réagi ni aux propos de l’ancien Premier ministre du Qatar, ni au fait que le Maroc soit concerné ou non par l’initiative, sans pour autant démentir la version de Hamad bin Jassim bin Jaber Al Thani.
Ya...bi
- Des Etats arabes, principalement du Golfe, se prépareraient à signer un «accord de non-agression» avec Israël. Alors qu’un ancien Premier ministre du Qatar affirme que le Maroc est probablement parmi les pays concernés, Rabat n’observe aucune réaction à ce sujet.
Ancien Premier ministre du Qatar, Hamad bin Jassim bin Jaber Al Thani a déclaré dimanche soir que des Etats arabes signeraient un «accord de non-agression» avec Israël, en guise de prochaine étape dans le «plan de paix» proposé par l’administration américaine pour la région du Moyen-Orient.
Sur son compte Twitter, l’ancien ministre a en effet déclaré que cet accord serait «acté entre Israël et les pays du Conseil de coopération du Golfe (CCG), en plus de l’Egypte, de la Jordanie et peut-être du Maroc». Bin Jassim n’a pas indiqué la source de ses informations, mais la douzième chaîne israélienne a évoqué, depuis octobre 2019, «une proposition israélienne aux Etats du Golfe» à ce sujet.
Aussi, l’ancien responsable qatariote a indiqué que «les pays arabes», sans les nommer, «ont promis que Washington adopterait une position positive sur ''l’accord'', mais il ne l’a pas fait à cause des médias». Selon lui, les Etats concernés chercheraient davantage un rapprochement avec la Maison Blanche pour voir se concrétiser des promesses américaines leur ayant été faites, contre la garantie que «l’accord sera adopté par la majorité de la Ligue des Etats arabes».
Des appels du pied envers Rabat
En décembre 2019 déjà, la Maison blanche a fait des tentatives allant dans le sens de l’officialisation de la normalisation entre des Etats arabes et Israël. Dans ce sens, Washington a opté pour une initiative visant à convaincre le Maroc, les Emirats arabes unis, le Bahreïn et Oman de signer un accord de non-agression avec Tel-Aviv, selon les révélations de la chaîne 13 d’information, citent des sources arabes, israéliennes et américaines.
Selon le média, il s’agit ici d’«une étape intermédiaire entre les relations secrètes qu’Israël entretient déjà avec ces pays et des relations diplomatiques complètes». L’initiative serait notamment portée par le ministre israélien des Affaires étrangères, Yisrael Katz, qui en discuté avec ses homologues des Emirats arabes unis et d’Oman, en septembre de la même année à New York.
Cette rencontre s’étant tenue en marge de la 73e session de l’Assemblée générale des Nations unies, Katz avait annoncé la conclusion d’«un accord historique avec les pays arabes».
Contacté ce lundi par Ya...bi, le ministère marocain des Affaires étrangères n’a réagi ni aux propos de l’ancien Premier ministre du Qatar, ni au fait que le Maroc soit concerné ou non par l’initiative, sans pour autant démentir la version de Hamad bin Jassim bin Jaber Al Thani.
Ya...bi
non agression
Commentaire