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Situation du pays : le constat accablant de Djerad sur l’ère Bouteflika

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  • Situation du pays : le constat accablant de Djerad sur l’ère Bouteflika

    Le premier ministre Abdelaziz Djerad, qui présentait ce mardi 11 février le plan d’action de son gouvernement devant les parlementaires, a établi un constat accablant, particulièrement de l’ère du président déchu Abdelaziz Bouteflika.


    « L’Algérie a connu au cours de ces dernières années une gestion catastrophique de l’État ainsi que des pratiques autoritaires ayant mené au pillage et à la dilapidation des richesses du pays et à la destruction systématique de ses institutions et de son économie dans le but d’accaparer ses biens », a relevé le chef de l’exécutif.


    « Ces pratiques ont entraîné la marginalisation des compétences nationales, sincères et honnêtes, déstabilisant ainsi les fondements même de l’État et menaçant l’unité du peuple », a-t-il observé, selon le compte rendu de l’agence officielle.


    Sans faire de diagnostic exhaustif, il soutient que c’est cette « réalité amère » qui a poussé les Algériens à se soulever le 22 février de l’an dernier pour « condamner et rejeter cette tentative d’affaiblir notre pays » et faire en sorte que « cette situation ne se reproduise plus ».
    « Le peuple algérien revendique un changement global du système qui est révolu et souhaite l’émergence de pratiques politiques saines et une véritable démocratie, ainsi qu’une gouvernance économique moderne et transparente, à même de prémunir le pays de la corruption, du népotisme et de la désinformation », a-t-il dit.


    Dans le même contexte, il a assuré que le gouvernement qu’il dirige s’attèlera à « assainir l’héritage désastreux » de la gouvernance des années précédentes par la « mise en place de nouvelles pratiques ouvrant la voie à un changement politique et économique auquel aspire le peuple algérien ».
    Même s’il reconnait que la situation est difficile sur le plan socio-économique, Abdelaziz Djerad ne veut pas se laisser gagner par le désespoir et assure que le gouvernement saura y faire face avec « responsabilité et constance ». « Le gouvernement s’emploiera à l’élimination des dérives ayant marqué la gestion des affaires publiques de l’État et des incidences négatives des forces extra-constitutionnelles sur la décision politique et économique du pays », a-t-il soutenu.
    Chiffres à l’appui, il rappelle que la situation financière du pays demeurait « fragile » et tributaire des fluctuations du marché mondial des hydrocarbures, citant « l’aggravation du déficit budgétaire en 2019, la hausse du déficit de la balance commerciale à 10 mds USD fin 2019, le recul des réserves de change de plus de 17 mds USD et la hausse de la dette publique intérieure qui a atteint 45% du PIB contre 26% en 2017.


    À cela s’ajoute, « l’incidence financière importante résultant des décisions et engagements pris en 2019, qui s’élève à 1.000 mds DA, en l’absence des financements nécessaires à leur couverture ».

    Le Premier ministre a chargé violemment son prédécesseur Noureddine Bedoui en soutenant que certaines dispositions de la loi de finances 2020 avaient pour objectif de « créer la zizanie ». Proposant un « new-deal for a new algeria » (Nouveau pacte pour une nouvelle Algérie) qui englobera l’ensemble des aspects de la gouvernance politique, économique et sociale, avec l’objectif de recouvrer la confiance « de notre peuple en ses gouvernants et en ses institutions », Abdelaziz Djerad a estimé que le rétablissement et le renforcement de la confiance entre le peuple et ses dirigeants passent par une démocratie basée sur les principes de l’alternance au pouvoir, le respect des libertés individuelles et collectives, la justice sociale et la consolidation de l’État de droit.


    TSA

  • #2
    on verra bien de quoi est capable ce président et ce 1er ministre qui sont aux commandes , on verre bien s'ils ne sont pas pires que boutef et ses acolytes
    Il ne faut pas de tout pour faire un monde. Il faut du bonheur et rien d'autre.
    (Paul Eluard)

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    • #3
      Bouteflika lui-même avait fait un constat accablant des bilans de zéroual et de chadli.

      C la régle de jeu en politique

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      • #4
        Une personne qui fait de la rèparation ne fait pas la production.
        La voiture neuve a ètè accidentè et chez le mecanicien
        Gaudra faire vite pour trouver un autre vehicule pour travailler..sinon on attend jusqu.a ce que le mecanicien finira son travail
        Il fait de l.adsainissement mais ce travail est des pregoratif de la justice..ils sont payès pour faire ce travail..

        Le travail du gouvernement est voir comment produire plus pour diminuer les prix pas augmenter les salaires en papier..lorsque les prix baisse le salaire augmente..

        Comment augmenter les salaires sans subir l.inflation??
        L.augmentation des salaires ne sera plus de mon avis mensuel mais cumulè tous les trimestres..et verser tous les 3 ou 6 ou 12 mois. Tout depend du salariè..a lui de faire un choix
        Ici les speculateurs qui raloonge leur prix en fonction des salaires je supose seront desorientè. Les commerçant qui sont en fait un looby informel fonctionnent sous effent d.annonce. les prix de la matiere premiere n.ont pas bougè pourquoi kes prix a la consommation augmentent. ??

        Cette aigmentation touchera tout le monde ce n.est pas une augmentation dans les salaire mais primes trimestriel semestrielle ou annuelle..
        De l.ordre de 1 millions de centime par mois..
        Avec une prime pour ceux qui patiente 3 6 ou 12..
        Celui qui a fait l.effort de patienter 12 donc il a fait un epargne. Son argent est restè chez l.etat il etait dans le circuit..une annee de patience on lui rajoute 2 millions..
        Mais comme d.habitude chaque lois conduira des trafiques..il faut voir ou va se retrouver les trafique dans ce systeme de payement au differè...
        Ici les commerçant loobiyiste seront desorientès car toute l.anne ya pas d.argent.

        Il ne peux pas estimè l.argent chez chacun..

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        • #5
          « L’Algérie a connu au cours de ces dernières années une gestion catastrophique de l’État ainsi que des pratiques autoritaires ayant mené au pillage et à la dilapidation des richesses du pays et à la destruction systématique de ses institutions et de son économie dans le but d’accaparer ses biens »
          Les pratiques autoritaires continuent. Le pouvoir ne veut pas écouter le peuple algérien qui sort depuis une année. Il décide tout seul de tout: du choix du président aux décisions importantes qui touchent l'économie algérienne. L'armée a fait plus de dégâts aux institutions de l'État en une année que Bouteflika en 20 ans !
          Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

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          • #6
            Les "constats" ne suffisent plus, et de toute manière ce n'est pas ce qu'on attend d'un gouvernement. Il y a déjà la presse et toutes sortes d'observateurs pour ça.

            Ce qu'on attend d'un gouvernement ce sont des actions palpables et des résultats sur le terrain.

            Tout le reste, c'est du blabla inutile...
            Fortuna nimium quem fovet, stultum facit.

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            • #7
              -Ex vivant de l'absurdité de l’Ère Bouhaf a ce jour


              "sauvons la liberté , la liberté sauve le reste"

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