Annonce

Réduire
Aucune annonce.

L’Algérie veut relancer le Mega-projet « Desertec »

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • #16
    le projet est viable mais à une échelle plus petite, c'est un complément de production d'électricité verte, renouvelable, dans le cadre d'une transformation énergétique.

    Commentaire


    • #17
      Écalir

      On parle de 15 Gw...
      Quasiment la moitié de la puissance installée alors qu'il s'agit d'une puissance d'appoint car intermittente.

      Je ne crois pas que ce sera rentable, l'énergie solaire, pour le moment. La produire sera trop coûteux.

      Commentaire


      • #18
        La Tunisie et le Maroc étaient plus intéressés par Desertec car contrairement à l'Algérie, ces 2 pays ne sont pas riches en hydrocarbures et ont un interêt économique évident à s'investir dans le solaire.
        Surtout le Maroc, il est favorisé géographiquement. Produire du renouvelable en grosse quantité peut être rentable car l'interconnexion avec l'Espagne permet de transporter les surplus.

        Commentaire


        • #19
          il faut analyser le projet sur ces deux aspects: technique et financier, mais ca reste une alternative, des centrales solaires pour chaque villes et villages notamment dans le désert, c'est une source d'énergie inépuisable, disponible quasiment toute l'année, et l'export n'est qu'une option.
          ce projet doit s'insérer dans un cadre plus globale de développement.

          Commentaire


          • #20
            disponible quasiment toute l'année
            non

            ...

            Commentaire


            • #21
              @Bachi,

              Il est possible de produire toute l'année. Au Maroc, il y a plusieurs phases dans le projet Noor avec des solutions différentes (photovoltaïques, miroirs, batteries pour stocker la chaleur et produire pendant 8 h de nuit, thermo-solaires avec tour...).

              Le gros avantage qu'on a, c'est aussi le potentiel avec l'éolien grâce aux côtes très ventées. Mais la production n'est pas prévue pour l'exportation, juste couvrir pour l'instant une partie des besoins.

              Commentaire


              • #22
                Lixus

                Oui, je sais...mais ca coûte très cher.
                J'ai demandé le prix de revient du kwh Noor produit, tu le connais-tu ?

                Commentaire


                • #23
                  J'ai lu récemment que l'attribution du contrat Noor Midelt (centrale hybride CSP-PV) au consortium dirigé par EDF Renouvelables a été négocié à un tarif moyen de 6 centimes USD/kWh.

                  Nouveau record au Maroc avec une centrale hybride CSP-PV de 800 MW, fournissant une énergie solaire pilotable à un tarif moyen de 6
                  centimes USD / kWh


                  Cerro Dominador – Centrale PV-CSP – Chili
                  L’agence marocaine pour l’énergie durable (MASEN) a annoncé le 21 mai l’attribution du contrat de construction et d’exploitation du projet solaire Noor Midelt I à un consortium dirigé par EDF Renouvelables et comprenant Masdar et Green of Africa, un producteur marocain indépendant. Le projet solaire Noor Midelt I est une installation hybride CSP-PV d’une capacité totale de 800 MW et d’une capacité de stockage thermique minimale de cinq heures. Cette centrale, dont la conception technique est en cours de finalisation, produira de l’électricité pour MASEN dans le cadre d’un contrat d’achat d’électricité (PPA) d’une durée de 25 ans. Elle constitue une étape importante dans la réalisation de l’objectif du Maroc de générer 52% de son électricité à partir de sources d’énergie renouvelables d’ici 2030.
                  Article complet : https://cmi****.org/menacspkip/fr/noor-midelt-i/

                  Remplace les *** par marseille

                  Sinon, dans un autre registre, pour l'éolien, il est prévu un coût autour de 3 centimes USD/kWh.

                  Energie: Le Maroc produira le kWh le moins cher au monde!
                  Par Nadia DREF | Edition N°:5259 Le 25/04/2018 | Partager
                  3 cents de dollars est le coût moyen évalué au niveau de 5 sites éoliens
                  Opter pour les technologies flexibles pour pallier les intermittences
                  Step marines, Power to X, interconnexion, amendement de la loi… Les chantiers en cours
                  tranformation_energitique_059.jpg
                  Le Maroc vise à produire 52% de l’électricité à partir des énergies renouvelables. Des objectifs qui seront largement dépassés

                  Gaz, éolien, hydraulique, solaire, énergie marine, Power to X, efficacité énergétique… Le Maroc peaufine son modèle pour mieux manœuvrer la transition énergétique grâce à la contribution des énergies renouvelables (EnR). L’enjeu est stratégique: faire face à une demande en croissance annuelle de 5% attendue durant les prochaines années et réduire la dépendance énergétique quasi totale (93%) de l’extérieur, vu la prédominance des produits pétroliers dans la balance énergétique.

                  «En dépit d’être dominé par les fossiles, le modèle marocain est basé sur la montée en puissance des EnR. Actuellement, le coût de production du kWh à partir des EnR devient le plus compétitif au niveau mondial», confie à L’Economiste Abderrahim El Hafidi, en sa qualité de secrétaire général du ministère de l’Energie, des Mines et du Développement durable, juste avant sa nomination officielle à la tête de l’ONEE, un poste dont il assurait l’intérim.

                  Et d’ajouter: «Le Maroc s’apprête à produire le kWh le moins cher au monde à partir de l’éolien grâce aux projets faisant partie du programme de 850 MW en phase de lancement. La moyenne sur cinq sites ne dépasse pas 3 cents de dollars/kWh. Le meilleur site le produit à 2,6 cents de dollars, ce qui augure d’un changement radical au niveau du paysage énergétique».

                  Plusieurs projets sont en cours pour accélérer ce processus et atteindre les objectifs fixés d’ici 2030 pour produire 52% de l’électricité à partir du renouvelable. «Des objectifs qui seront largement dépassés. Nous tablons sur un taux entre 60 et 70%», affirme un responsable marocain, en marge de la 4e édition du dialogue sur la transition énergétique (BETD 2018) qui s’est tenue à Berlin les 17 et 18 avril.

                  Un événement de taille dont la finalité est de repenser l’énergie et d’accélérer les mises en œuvre au niveau mondial. Personne n’a droit à l’erreur. Les participants à ce forum étaient tous unanimes quant à l’urgence de la mise en place de mesures nécessaires pour prendre le train qui est déjà en marche. Le Maroc n’est pas en reste. Il est tenu d’accélérer le pas s’il ne veut pas rester à la traîne.

                  Le défi est grand sachant que, jusqu’à présent, le Royaume a une longueur d’avance sur les pays de la région et du continent africain, qu’il doit conserver. Pour atteindre cet objectif, le Maroc développera une capacité additionnelle de production d’électricité, entre 2016 et 2030, de plus de 10 GW de sources renouvelables dont 4.560 MW solaire, 4.200 MW éolienne et 1.330 MW hydro-électrique.

                  In fine, l’investissement global pour les projets d’électricité de sources renouvelables sera de 32 milliards de DH. Ce qui représente de réelles opportunités d’investissement pour le secteur privé.

                  Plusieurs chantiers sont en cours. «Le Maroc avance. Le gaz constituera une composante majeure du mix énergétique», souligne El Hafidi. Et d’ajouter: «Les programmes d’énergies renouvelables en cours de réalisation enregistrent un intérêt grandissant de la part des investisseurs nationaux et internationaux et progressent conformément à leur planification initiale».

                  Pour accélérer la transition énergétique, le Maroc recourt aux technologies flexibles (CCGT, Step…) ciblant surtout les secteurs de l’électricité et de l’industrie.

                  Y figure un programme de centrales à gaz naturel cumulant une capacité de 4.800 MW entre 2020 et 2030. Centrales CCGT, jetée maritime, terminal GNL, gazoduc de transport, stockage… Autant de moyens retenus pour pallier les intermittences des EnR. Le projet «Gas to power» vise, d’ailleurs, la réalisation d’un terminal gazier pour contribuer à l’importation des besoins du Maroc en gaz naturel.

                  Ces derniers sont estimés à environ 5 milliards de m3 par an en 2025. Les dernières découvertes de gaz à Tendrara et au Gharb confortent d’ailleurs le Maroc dans ses choix (Cf. L’Economiste du 3 avril 2018).
                  Article complet : https://www.***.com/article/1027386-...-cher-au-monde
                  Remplace les *** par leconomiste

                  Si ces chiffres sont atteints, ça sera alors très rentable.

                  Commentaire


                  • #24
                    L’Algérie veut relancer le Mega-projet « Desertec »






                    wooooaaaaawwww , rien que ca ........... ils confieront l'etude à une filiale de tahkout .....


                    un peu de serieux voyons ........ si ce projet voit le jour , et c'est un grand SI , ca sera à l'initiative et sousla houlette de pays maitrisant les différentes technologies qui seraient utilisées ( CSP , PV , Eolien , etc etc etc .....), les pays du sud mettrons à disposition les etendues désertiques et quelques techniciens sur place pour la maintenance ......et bien sur ceux qui investirront leur billes auront besoin de garantie sur le trés long terme ,de pays qui ne sont pas connus pour leur stabilité
                    " Je me rend souvent dans les Mosquées, Ou l'ombre est propice au sommeil " O.Khayaâm

                    Commentaire


                    • #25
                      J'ai lu récemment que l'attribution du contrat Noor Midelt (centrale hybride CSP-PV) au consortium dirigé par EDF Renouvelables a été négocié à un tarif moyen de 6 centimes USD/kWh.
                      Environ 8 DA donc , le kwh...ca reste un bon coût si avéré.


                      L'électricité de source énergie fossile coûte à la production en Algérie, autour de 12 DA/KWh, et le prix à la consommation qui est 4 DA.

                      Peut-être que des mini centrales en Algérie pour appoint local a du sens. Mais en faire une industrie à exporter en Europe, ca n'a aucune rentabilité en plus des difficultés immenses du transport et du coût de ce dernier.

                      Commentaire


                      • #26
                        Leolien de taraya coute moins que le charbon
                        Mais il est intermittant
                        .
                        .
                        ''La pauvreté ne sera plus séditieuse, lorsque l'opulence ne sera plus oppressive''
                        Napoléon III

                        Commentaire


                        • #27
                          ATTENTION /


                          Maintenant les panneaux solaires sont dépassés car parait il ne donnent qu un rendement de 30% ET NE SONT UTILISABLES QUE DANS CERTAINS CAS

                          Maintenant il ya DES TUBES GENERATEURS D ELECTRICITé qui donnent un RENDEMENT DE 70 % ( allemand procédé )

                          Commentaire


                          • #28
                            wooooaaaaawwww , rien que ca ........... ils confieront l'etude à une filiale de tahkout .....
                            Cette histoire de desertec est saisonnière elle refleurit régulièrement dans la presse algérienne durant une semaine ou deux puis disparaît pour quelques mois. C'est une manière d'avoir un truc à raconter.

                            Commentaire


                            • #29
                              Cela va dépendre des négociations en avril de sonelgaz et de leurs homologues allemand qui ont créé ce projet pour le faire aboutir

                              Commentaire


                              • #30
                                Cette histoire de desertec est saisonnière elle refleurit régulièrement dans la presse algérienne durant une semaine ou deux puis disparaît pour quelques mois. C'est une manière d'avoir un truc à raconter.
                                c'est pour faire oublier aux gens le fameux programme 2030 qui a été annoncé en 2015.


                                Le programme national de développement des énergies renouvelables et fossiles, prévoit une économie de prés de 300 milliards de m3 de gaz à l’horizon 2030, destinées à l’exportation. Une manne financière à ne pas négliger selon les spécialistes. D’autre part, ce programme prévoit pour la même échéance une production d’électricité de source renouvelable d’une importance de 22 GW destiné au marché local et 10 GW pour l’exportation. Dans le même sillage, les énergies renouvelables représenteront 27% de la production globale, et le double de la production actuelle. D’un autre coté, ce programme permettra de réduire l’utilisation des énergies fossiles à hauteur de 9% d’ici 2030.Il est cependant nécessaire pour réaliser ce programme qui dégagera 300 000 postes directs d’emploi, de procéder à des investissements à hauteur de 120 milliards de dollars.

                                Commentaire

                                Chargement...
                                X