Algérie – Le premier ministre a été ému après consultation d’un rapport révélant la souffrance des algériens vivant dans les zones les plus reculées du pays.
Lors du discours prononcé ce dimanche 16 février, par le président Abdelmadjid Tebboune à l’occasion de l’ouverture des travaux de la réunion gouvernement-Walis au Palais des nations à Alger, le Premier ministre Abdelaziz Djerad n’a pas pu retenir ses larmes suite à la consultation d’un rapport levant le voile sur la souffrance des citoyens algériens vivant dans les « zones d’ombres », à savoir les zones les plus reculées du pays.
« Je pense que les scènes que nous venons de voir se passent de commentaire. Sans commentaire. C’est ce qu’on appelle les zones d’ombre ou les zones oubliées. C’est mettre la poussière sous le tapis : nous maquillons les grandes villes et nous construisons des routes [dans les grandes villes] tandis que certains de nos concitoyens vivent [dans des conditions d’avant 1962]. », a déclaré Tebboune lors de son allocution, où l’on peut voir Djerad, au bord des larmes.
Dzair Daily
16 février 2020
Lors du discours prononcé ce dimanche 16 février, par le président Abdelmadjid Tebboune à l’occasion de l’ouverture des travaux de la réunion gouvernement-Walis au Palais des nations à Alger, le Premier ministre Abdelaziz Djerad n’a pas pu retenir ses larmes suite à la consultation d’un rapport levant le voile sur la souffrance des citoyens algériens vivant dans les « zones d’ombres », à savoir les zones les plus reculées du pays.
« Je pense que les scènes que nous venons de voir se passent de commentaire. Sans commentaire. C’est ce qu’on appelle les zones d’ombre ou les zones oubliées. C’est mettre la poussière sous le tapis : nous maquillons les grandes villes et nous construisons des routes [dans les grandes villes] tandis que certains de nos concitoyens vivent [dans des conditions d’avant 1962]. », a déclaré Tebboune lors de son allocution, où l’on peut voir Djerad, au bord des larmes.
Dzair Daily
16 février 2020
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