Comment expliquer que la dictature marocaine soit "la Mecque des affaires salaces"?
- Un ministre d’un pays subsaharien a été victime d’un réseau de sextorsion au Maroc, ce qui a nécessité l’intervention d’un cabinet de détectives privés puis des autorités marocaines pour éviter le pire. Au Maroc, ce genre d’affaires n’est malheureusement pas un cas isolé.
Les réseaux de sextorsion opérant depuis le Maroc ne visent pas que le citoyen lambda. Au début de l’année dernière, les autorités marocains ont démantelé un réseau de sextorsion composé de migrants d'origine subsaharienne basé au Maroc qui a tenté de faire chanter un ministre et homme d’affaires d'un pays africain.
Tout a démarré à partir d’une conversation Facebook entre ledit ministre et une personne qui s’est présentée comme une orpheline subsaharienne installée au Maroc. L’échange, au début duquel l’orpheline présumée fait part à sa victime de sa volonté d’immigrer en Europe, évolue vers un partage de photos et de vidéos entre le responsable politique et son interlocutrice. Le ministre, piégé par le réseau, n’hésite pas à lui envoyer de l’argent avant qu’il parvienne à la démasquer : il s’agit en réalité d’un homme qui va dès lors menacer le responsable politique de divulguer la totalité du contenu de leurs échanges sur les réseaux sociaux.
En panique vu son statut d’homme d’Etat, ce dernier saisit alors un cabinet de détectives privés. Il lui fournit une copie du passeport du malfaiteur en plus des différents noms utilisés pour l'escroquerie, comme l'a constaté Ya...bii dans l'échange d'email-.
Ya..bi (extraits)
- Un ministre d’un pays subsaharien a été victime d’un réseau de sextorsion au Maroc, ce qui a nécessité l’intervention d’un cabinet de détectives privés puis des autorités marocaines pour éviter le pire. Au Maroc, ce genre d’affaires n’est malheureusement pas un cas isolé.
Les réseaux de sextorsion opérant depuis le Maroc ne visent pas que le citoyen lambda. Au début de l’année dernière, les autorités marocains ont démantelé un réseau de sextorsion composé de migrants d'origine subsaharienne basé au Maroc qui a tenté de faire chanter un ministre et homme d’affaires d'un pays africain.
Tout a démarré à partir d’une conversation Facebook entre ledit ministre et une personne qui s’est présentée comme une orpheline subsaharienne installée au Maroc. L’échange, au début duquel l’orpheline présumée fait part à sa victime de sa volonté d’immigrer en Europe, évolue vers un partage de photos et de vidéos entre le responsable politique et son interlocutrice. Le ministre, piégé par le réseau, n’hésite pas à lui envoyer de l’argent avant qu’il parvienne à la démasquer : il s’agit en réalité d’un homme qui va dès lors menacer le responsable politique de divulguer la totalité du contenu de leurs échanges sur les réseaux sociaux.
En panique vu son statut d’homme d’Etat, ce dernier saisit alors un cabinet de détectives privés. Il lui fournit une copie du passeport du malfaiteur en plus des différents noms utilisés pour l'escroquerie, comme l'a constaté Ya...bii dans l'échange d'email-.
Ya..bi (extraits)
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