Le ministre de l’industrie et des mines, Ferhat Ait Ali Braham a soutenu, Lundi, qu’il est préférable que le Complexe Sidérurgique SIDER EL HADJAR soit rattaché à l’armée. « cette infrastructure a besoin entre autres, de discipline et de vision dans la gestion », a-t-il estimé.
le ministre de l’industrie , qui était invité au forum d’El moudjahid , a remis en cause la politique tracée par ses prédécesseurs « qui n’est bâtie sur des socles solides au profit d’une véritable industrie algérienne ».
Dans ce cadre, le ministre a affirmé , que le cahier de charges pour l’industrie, notamment en ce qui concerne l’investissement, soit par l’Algérien ou l’Etranger, sera révisé car il n’est pas rentable pour l’économie nationale, malgré la disposition des moyens matériels, notamment financier, pour l’investissement alors qu’il n’y a aucune contrepartie pour le trésor public.
En revanche, le membre du gouvernement a tenu à préciser que des « pseudos investisseurs » ont bénéficié, preuve à l’appui, des avantages scandaleux, dont des exonérations, des crédits et d’autres privilèges, dans le but de lancer une véritable industrie au profit de l’Algérie.
Lors de son intervention, le ministre a précisé , que le nouveau cahier des charges qui est en cours d’élaboration, touchera toute l’industrie algérienne et l’investissement dans le pays, notamment les filières de d’automobile et l’électroménager, précisant que « l’investisseur sera encadré par le nouveau cahier des charges. »Hichem Hamza/ Redaction Web
le ministre de l’industrie , qui était invité au forum d’El moudjahid , a remis en cause la politique tracée par ses prédécesseurs « qui n’est bâtie sur des socles solides au profit d’une véritable industrie algérienne ».
Dans ce cadre, le ministre a affirmé , que le cahier de charges pour l’industrie, notamment en ce qui concerne l’investissement, soit par l’Algérien ou l’Etranger, sera révisé car il n’est pas rentable pour l’économie nationale, malgré la disposition des moyens matériels, notamment financier, pour l’investissement alors qu’il n’y a aucune contrepartie pour le trésor public.
En revanche, le membre du gouvernement a tenu à préciser que des « pseudos investisseurs » ont bénéficié, preuve à l’appui, des avantages scandaleux, dont des exonérations, des crédits et d’autres privilèges, dans le but de lancer une véritable industrie au profit de l’Algérie.
Lors de son intervention, le ministre a précisé , que le nouveau cahier des charges qui est en cours d’élaboration, touchera toute l’industrie algérienne et l’investissement dans le pays, notamment les filières de d’automobile et l’électroménager, précisant que « l’investisseur sera encadré par le nouveau cahier des charges. »Hichem Hamza/ Redaction Web
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