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La DGSN porte plainte contre Abdou Semmar

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  • La DGSN porte plainte contre Abdou Semmar

    La Direction générale de la sureté nationale DGSN a démenti ce mardi via un communiqué, « ce qui a été relayé sur les réseaux sociaux à propos des publications portant atteinte aux services de sécurité, et décide de porter plainte contre l’auteur de ses publications ».

    « La DGSN dément formellement ce qui a été publié sur Facebook, et qui porte atteinte à la réputation des services de sécurité » lit-on dans le communiqué. « Ces publications relayées sur un site malveillant où le propriétaire prétend que les policiers chargés de protéger l’ordre public ne bénéficient pas de récupération, et dénonce la charge du travail, ce qui est totalement infondé », continu le communiqué

    En effet, la DGSN a évoqué deux postes publiés le 16 février par Abdou Semmar patron du site Algérie Part sans citer son nom.

    En outre, la DGSN a décidé de porter une plainte officielle auprès des autorités judiciaires compétentes à l’encontre de l’intéressé et ceux qui vont être révélés par les investigations, dans cette campagne malveillante, que le propriétaire de cette page lance régulièrement contre les services de sécurité », conclut le communiqué.

    Pour rappel, le site Algérie Part de Abdou Semmar a publié un article hier, lundi 16 février, dans lequel il a déclaré que « le directeur général de la DGSN Khelifa Lounissi s’est déplacé en urgence ce dimanche au siège de la compagnie d’intervention rapide des forces anti-émeutes situé à Kouba pour tenter de calmer l’exaspération des policiers chargés de protéger l’ordre public ».

    Et d’ajouter que « la DGSN ne leur accorde plus aucune permission et leur demande de se déployer quotidiennement pour faire face au Hirak et de travailler quotidiennement suivant un rythme affolant ».


    Algerie 360

  • #2
    ba ba ba ..tu peux critiquer l'univers en entier,par contre,toucher au bouclier du régime ,inacceptable .
    ارحم من في الارض يرحمك من في السماء
    On se fatigue de voir la bêtise triompher sans combat.(Albert Camus)

    Commentaire


    • #3
      Je crois qu'ils viennent de trouver le moyen de le faire taire. Il suffit d'un mandat d'arrêt pour atteinte à corps constitué !
      Comme le pauvre bensedira

      Commentaire


      • #4
        il est plus dans une démarche de règlement de compte et de vengeance que de l'information, malheureusement, il y en beaucoup comme lui.

        Commentaire


        • #5
          Après HICHEM ABOUD et BENSEDIRA, et voilà le tour de SEMMAR !

          Nos MAFFIEUX ayant réussit à bâillonner tous les journaux en ALGERIE, et soumis leur lignes éditiriale à la GANGE


          alors ils veulent faire peur à tous les journaux qui publient à l'étranger !

          Ah tiens ! il va falloir qu'on les lise plus encore.

          Il ya surement eu plein de révélation qui les dérangent au plus HAUT POINT et qu'il a publié ces derniers jours...

          Voyons voir ce qu'il y a de nouveau ...

          ha ha ha !
          Dernière modification par Pomaria, 18 février 2020, 19h12.
          Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

          Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

          Commentaire


          • #6
            Les mensonges du ministre de la Communication sur les blocages des sites d’information en Algérie

            Abdou SEMMAR


            L’actuel ministre de la Communication Ammar Belhimer a menti ce mardi aux Algériens. Lors d’un entretien diffusé par la radio publique Chaine III, Ammar Belhimer a voulu faire croire aux Algériens qu’aucun « site d’information n’est bloqué en Algérie ». Un pur mensonge puisque notre média en ligne Algérie Part, l’un des médias algériens les plus consultés et influents auprès de l’opinion publique, est toujours censuré et nos lecteurs et lectrices ne peuvent accéder à nos articles et contenu depuis l’Algérie. Une censure caractérisée que monsieur Ammar Belhimer ne veut pas reconnaître mais qui est bel et bien en place.




            Pour tromper la vigilance des Algériens et Algériennes, Ammar Belhimer a fait savoir que le média en ligne TSA « été libéré il y a quinze jours ». Or, cette décision de « libération » n’a pas bénéficié à plusieurs autres médias électroniques comme Algérie Part.

            Décidément, nous dérangeons le pouvoir algérien et parce que nous n’avons pas voulu négocier un quelconque compromis ou transiger sur notre liberté, les autorités algériennes bloquent l’accès à nos articles sur l’ensemble du territoire algérien grâce à des techniques de filtrage dignes des pouvoirs totalitaires.

            En dépit de cette réalité amère, Ammar Belhimer, lui-même ancien journaliste, trouve l’outrecuidance de se targuer en affirmant que « depuis que je suis là, aucun site n’est bloqué » ! « L’autorisation a été donnée à tous les titres qui sont passés au ministère pour s’enregistrer », a même affirmé le ministre de la Communication et porte-parole du gouvernement. Or, il n’y a aucune loi en Algérie qui impose une quelconque obligation d’enregistrement des médias électroniques auprès du ministère de la Communication en Algérie.

            La loi sur l’information de 2012 dans ses dispositions relatives à la liberté d’exercice de l’information en ligne en Algérie ne prescrit aucune obligation juridique à l’exception de l’obligation de respecter les constances nationales du pays. Il n’y a pour le moment aucun cadre légal officiel qui a été adopté pour encadrer l’activité de la presse électronique en Algérie. Les informations données par Ammar Belhimer sont donc totalement erronées.

            Algerie PART
            Dernière modification par Pomaria, 18 février 2020, 19h11.
            Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

            Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

            Commentaire


            • #7
              Droits de l’Homme bafoués en Algérie :
              Amnesty international parle de la censure d’Algérie Part dans son rapport 2019


              Abdou SEMMAR

              L’année 2019 a été marquée par le Hirak, un mouvement de protestation d’une ampleur inédite appelant à « un changement du système politique » et à l’instauration d’un Etat de droit.

              Amnesty International a constaté que les manifestations dans tout le pays, y compris à Alger, ont été globalement tolérées. Cependant les autorités ont eu recours à plusieurs reprises à un usage injustifié ou excessif de la force, au blocage d’espaces publics ou l’accès à la capitale et à des arrestations arbitraires et ciblées dans différentes wilayas, a déclaré l’organisation, le mardi 18 février, à l’occasion du lancement de son rapport sur la situation des droits humains au Moyen Orient et en Afrique du Nord en 2019.
              • Des manifestant.e.s pacifiques ont été condamné.e.s à des peines allant jusqu’à 18 mois de prison.
              • Plusieurs réunions en lien avec le mouvement de contestation ont été également interdites.

              « Depuis le 22 février 2019, la mobilisation pacifique est impressionnante et historique. Des hommes, des femmes, des jeunes, des vieux, des étudiant.e.s, des avocat.e.s, des journalistes, toutes et tous sont sorti.e.s dans la rue, aux quatre coins du pays, pour exprimer leurs revendications de liberté, de justice, de dignité et d’égalité.

              Malgré toutes les tentatives visant à affaiblir et diviser le Hirak, les algérien.ne.s sont resté.e.s mobilisé.e.s, uni.e.s et ont maintenu le caractère pacifique des manifestations.

              A quelques jours du premier anniversaire du début du Hirak, nous attendons des actes forts de la part des autorités marquant la rupture avec les pratiques contraires aux droits humains. » a déclaré Hassina Oussedik, directrice d’Amnesty International Algérie.

              Depuis le début du mouvement, Amnesty International a documenté l’usage de la force excessive au cours de certaines manifestations.

              Lors de la manifestation du 12 avril 2019 à Alger, des policiers ont frappé à coups de matraque un manifestant pacifique, Ramzi Yettou, qui est mort à l’hôpital une semaine plus tard. D’autres manifestants pacifiques ont perdu un œil.

              Amnesty International a également recensé au moins 5 cas de détenus victimes de mauvais traitements, dont un militant politique, Karim Tabbou, maintenu à l’isolement.

              Le 28 mai, le militant Kamel Eddine Fekhar est mort après 50 jours de grève de la faim pour protester contre son emprisonnement arbitraire et illégal en raison de ses publications sur Facebook.

              « Les enquêtes ouvertes par les autorités doivent être approfondies, indépendantes, et impartiales sur la mort de Ramzi Yettou et de Kamel Eddine Fekhar ainsi que pour toutes les personnes maltraitées pendant les manifestations ou durant leur arrestation et notamment celles qui porteront des séquelles le reste de leur vie. Elles ont le droit à la justice et à la réparation. Les responsables de ces actes doivent être traduits en justice. » a déclaré Hassina Oussedik, directrice d’Amnesty International Algérie.


              La liberté d’expression bâillonnée


              Depuis le 22 février 2019, des centaines de personnes ont été arrêtées arbitrairement dans plusieurs wilayas.


              A partir de fin juin, les autorités ont intensifié leur répression en menant des arrestations arbitraires et en poursuivant en justice des manifestant·e·s pacifiques. Des personnes ont été détenues pour avoir brandi le drapeau Amazigh lors des manifestations, elles ont été inculpées pour « atteinte à l’intégrité du territoire national ».

              A partir de septembre, les autorités ont mené une vague d’arrestations ciblant principalement des activistes associatifs et politiques les accusant, entre autres, d’ «atteinte au moral de l’armée» ou d’« incitation à attroupement non armé ».

              Cette dernière accusation a également été largement utilisée lors de la troisième vague d’arrestations et de poursuites de manifestant.e.s opposé.e.s aux élections présidentielles.

              Après les élections du 12 décembre, les autorités ont continué à arrêter des manifestant.e.s pacifiques. Ces dernier.e.s sont maintenu.e.s en garde à vue pendant 2h à 48h avant qu’ils.elles ne soient relaché.e.s. Certain.e.s sont parfois placé.e.s sous contrôle judiciaire.

              « Après des mois de mobilisation, plusieurs manifestant.e.s sont libres après avoir purgé leur peine, d’autres condamné.e.s à des peines de prison avec sursis ou ont été relaxé.e.s.

              Toutes les personnes en détention pour avoir manifesté ou exprimé une opinion pacifiquement doivent être libérées immédiatement et sans conditions. Elles n’auraient jamais dû passer une seule nuit en prison. Personne ne devrait être arrêté, poursuivi ou condamné pour avoir exprimé une opinion pacifiquement.

              La mission essentielle des forces de sécurité doit être d’assurer la sécurité lors des manifestations pacifiques. Le droit de manifester est garanti par la Constitution et le pacte international relatif aux droits civils et politiques ratifié par l’Algérie. » a déclaré Hassina Oussedik, directrice d’Amnesty International Algérie.

              La justice instrumentalisée


              Les garanties du droit à un procès équitable n’ont pas été respectées alors que la Constitution et les textes internationaux ratifiés par l’Algérie garantissent à toute personne le droit d’être jugée par un tribunal compétent, indépendant et impartial.


              Des agents souvent en civil ont arrêté, sans mandat, des manifestant.e.s et des militant.e.s dans l’espace public.

              Un grand nombre de personnes ont été placées en détention provisoire alors que l’article 59 de la Constitution souligne le caractère exceptionnel de la détention provisoire.

              Des dispositions du code pénal, dont les formulations sont vagues ou ambiguës, telles que l’« atteinte à la sécurité nationale », l’« atteinte à l’intégrité du territoire national », l’« atteinte au moral de l’armée » ou l’« incitation à attroupement non armé » ont souvent été invoquées pour réprimer toute dissidence pacifique.
              « Toutes ces violations du droit à un procès équitable portent fortement atteinte aux principes fondamentaux de l’équité et de l’égalité de toutes et de tous devant la loi, ce qui renforce le manque de confiance des citoyen.e.s en la justice, alors que l’un des slogans forts du Hirak est ‘le peuple veut une justice indépendante’ » a déclaré Hassina Oussedik, Directrice d’Amnesty International Algérie.
              La liberté de la presse menacée
              En 2019, au moins 10 journalistes qui couvraient les manifestations ont été arrêté.e.s, interrogé.e.s sur leur travail et détenu.e.s pendant quelques heures. Quatre journalistes étrangers ont également été interpellés, puis expulsés. Au moins trois journalistes sont toujours en détention. À partir du mois de juin, les autorités ont régulièrement coupé l’accès à certains sites d’information Tout sur l’Algérie (TSA), Interlignes et Algérie Part. Il s’agissait, selon toute apparence, de censurer les informations qu’ils communiquaient sur les manifestations.
              « Il est important que les journalistes puissent assurer la couverture des manifestations sans subir de censure, de harcèlement, d’intimidation et sans avoir peur d’être arrêté.e.s. L’article 50 de la Constitution algérienne garantit la liberté de la presse et stipule que le délit de presse ne peut être sanctionné par une peine privative de liberté. » a déclaré Hassina Oussedik, directrice d’Amnesty International Algérie.
              Les droits humains au cœur du Hirak
              Depuis le début du mouvement, le respect des droits humains est au cœur des exigences du mouvement de protestation, qui s’inscrit dans la continuité des luttes sociales. Les manifestant.e.s pacifiques revendiquent un Etat de droit, une justice indépendante, le respect des libertés fondamentales, la justice sociale, l’égalité et le respect de la dignité de chacune et chacun. Ils.elles ont compris qu’ensemble ils. elles peuvent changer les choses.
              « En fait, le Hirak ne fait que rappeler à l’état algérien ses engagements internationaux, pris à maintes occasions au sein d’instances internationales ou régionales. Lors de son discours d’investiture, le président de la République Abdelmadjid Tebboune s’était engagé à répondre aux revendications du Hirak. Il est temps de passer aux actes. » a déclaré Hassina Oussedik, directrice d’Amnesty International Algérie.
              Complément d’information
              Le rapport d’Amnesty International sur la situation des droits humains au Moyen-Orient et en Afrique du Nord en 2019 montre qu’au lieu d’écouter les revendications des manifestant.e.s, les gouvernements ont une fois de plus eu recours à une répression implacable pour réduire au silence les centaines de milliers de personnes qui sont descendues dans la rue pour réclamer plus de justice sociale et des réformes politiques.
              Cette violente répression a fait plus de 500 morts en Irak et plus de 300 en Iran. Au moins 136 prisonnier.e.s d’opinion étaient détenu.e.s dans 12 pays pour avoir exprimé leurs opinions en ligne.
              « Au Moyen-Orient et en Afrique du Nord, l’année 2019 a été une année de défi envers les autorités. C’est aussi une année qui a montré que l’espoir était toujours vivant – et que malgré les événements sanglants qui ont suivi les soulèvements de 2011 en Syrie, au Yémen et en Libye et la dégradation catastrophique de la situation des droits humains en Égypte, la foi des populations dans le pouvoir collectif de mobilisation pour le changement a été ranimée. » a déclaré Heba Morayef, directrice régionale pour le Moyen-Orient et l’Afrique du Nord à Amnesty International.


              ALGERIE PART
              Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

              Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

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              • #8
                la censure c'est pour des gens d'autres générations mais ces sites sont il y a aussi des adresses alternatives pour y accéder ...

                Commentaire


                • #9
                  c'est vrai, Belhimmer ment effrontément.
                  Comme Tebboune d'ailleurs
                  Comme Charfi
                  Comme le malade Ait Ali Ferhat ou Rezzig...

                  Commentaire


                  • #10
                    Bachi
                    c'est vrai, Belhimmer ment effrontément.
                    Comme Tebboune d'ailleurs
                    Comme Charfi
                    Comme le malade Ait Ali Ferhat ou Rezzig...
                    Ils peuvent mentir autant qu'ils veulent

                    Ca ne marchera pas.

                    Ca ne marchera plus.
                    Dernière modification par Pomaria, 18 février 2020, 20h13.
                    Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

                    Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

                    Commentaire


                    • #11
                      Il a du vraiment leur faire mal.

                      Si seulement j'avais un doute sur cette info de l'explitation des Hamaloulou, voila que la DGSN vient de me le confirmer!
                      Si la vie n'est pas une partie de plaisir, l'alternative est pire.

                      Commentaire


                      • #12
                        - Ils ont baîllonné tous les JOURNAUX en Algerie! TOUS SANS EXCEPTION !

                        - Ils ont acheté des journalistes et réprimé et emprisonné certains autres

                        - Ils ont mis au pas toutes les télévisions privées algériennes qui émettent depuis l'étranger.
                        Des millions de manifestant dans la rue dans presque toutes les villes d'Algérie, Mais ces chaines ne voient rien,
                        ne montrent rien
                        et ne parlent plus du HIRAK depuis plusieurs mois. Alors que ca les manifestants passent juste en dessous de leur fenetre...
                        A croire que les journaleux de ces chaines vivent dans une Algérie "parallèle".


                        - Les chaines étrangères et francaise surtout, ne parlent plus de ce qui se passe dans le HIRAK en AlLGERIE,
                        contrats Juteux avec nos MAFFIEUX obligent ...

                        - Ils en ont réussit à fermer les quelques chaines algériennes à l'étranger qui ne se sont pas soumis au dictat des MAFFIEUX,
                        et ce à coup de millions en devises payé aux sociétés de diffusion satellitaire

                        - Ils ont acheté et payés des DOUBABS à l'échelle industrielle pour influer sur les opinions

                        - Ils ont enrichie FACEBOOK et Zuckerberg avec des millions à la clé

                        - Ils ont fait défilé plusieurs équipes sur ce forum FA pour se payer notre tête,

                        - ils ont diffusé de multiples propagandes des Maffieux du régime, et des INTOX des services

                        - ils ont chercher à manipuler et à détourner le discours ambiant ici ! (il y en a une autre équipe en service... actuellement..oeilfermé)

                        Ca fait une presque année qu'il font ça.

                        Mais ca n'a pas marché. Et ca ne marchera pas. Ne marchera plus.


                        Pourquoi à votre avis ???
                        Dernière modification par Pomaria, 18 février 2020, 20h26.
                        Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

                        Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

                        Commentaire


                        • #13
                          Abdou semmar..une prostituee.
                          . On le sait maintenant.. On ne l oubliera plus... Le reste c est du remplissage
                          « Puis-je rendre ma vie
                          Semblable à une flûte de roseau
                          Simple et droite
                          Et toute remplie de musique »

                          Commentaire


                          • #14
                            vous êtes surpris de la réaction si l algerie était un état de droit ça se saurait ce pouvoir ne pourra jamais etouffer la vérité j espère que un jour cette bande de mafieux aura des comptes à rendre pour tout le mal qu ils ont fait aux algeriens

                            Commentaire


                            • #15
                              des imam de mosquée

                              dz(0000/1111)dz

                              Commentaire

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