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La France accueille en juin prochain le 28eme sommet Afrique-France. Ce rendez-vous, qui se déroule les 4, 5 et 6 juin, débutera à Bordeaux où le président de la République française, Emmanuel Macron accueillera ses homologues africains, indique-t-on sur le site de l’événement.
Cette édition se veut un rendez-vous politique, économique et culturel incontournable : «Il s’agit de développer de nouveaux partenariats durables avec l’ambition partagée de co-construire des écosystèmes urbains qui soient pérennes, innovants, fertiles et frugaux tout en accélérant la structuration de la filière économique durable.»
Fait remarquable, l’événement, qui parle de la participation de 500 acteurs Africains et Français, évoque «54 chefs d’Etat ou de gouvernement invités». Un chiffre qui laisse entendre que la France pourrait exclure le Front Polisario de sa liste des invités, bien qu’une telle décision de Paris contredirait celle prise lors du récent Sommet de l’Union africaine. En effet, les ministres des Affaires étrangères de l'UA ont exigé la présence de tous les membres de l’organisation continentale lors des sommets avec des partenaires internationaux.
Une décision qui passera par une phase test, le 16 mars prochain, lors de la 5e session du Sommet Afrique-Ligue arabe, prévue en Arabie saoudite. A Malabo, lors de la 4e édition tenue en décembre 2016, le mouvement séparatiste avait bien pris part à l’événement.
Si le Japon s’est, à maintes fois, retrouvé dans l’embarras avec le Maroc en accueillant le Polisario pour les sommets de la Conférence internationale de Tokyo sur le développement de l'Afrique (TICAD), la Chine, l’Inde, la Turquie et la Russie n’ont pas hésité à exclure le mouvement de Brahim Ghali de leurs sommets avec les Etats de l’UA.
Ya biladi
Cette édition se veut un rendez-vous politique, économique et culturel incontournable : «Il s’agit de développer de nouveaux partenariats durables avec l’ambition partagée de co-construire des écosystèmes urbains qui soient pérennes, innovants, fertiles et frugaux tout en accélérant la structuration de la filière économique durable.»
Fait remarquable, l’événement, qui parle de la participation de 500 acteurs Africains et Français, évoque «54 chefs d’Etat ou de gouvernement invités». Un chiffre qui laisse entendre que la France pourrait exclure le Front Polisario de sa liste des invités, bien qu’une telle décision de Paris contredirait celle prise lors du récent Sommet de l’Union africaine. En effet, les ministres des Affaires étrangères de l'UA ont exigé la présence de tous les membres de l’organisation continentale lors des sommets avec des partenaires internationaux.
Une décision qui passera par une phase test, le 16 mars prochain, lors de la 5e session du Sommet Afrique-Ligue arabe, prévue en Arabie saoudite. A Malabo, lors de la 4e édition tenue en décembre 2016, le mouvement séparatiste avait bien pris part à l’événement.
Si le Japon s’est, à maintes fois, retrouvé dans l’embarras avec le Maroc en accueillant le Polisario pour les sommets de la Conférence internationale de Tokyo sur le développement de l'Afrique (TICAD), la Chine, l’Inde, la Turquie et la Russie n’ont pas hésité à exclure le mouvement de Brahim Ghali de leurs sommets avec les Etats de l’UA.
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