Les 6 et 7 mars prochain, Casablanca accueillera la troisième édition des Panafricaines, sous le thème «Urgence climatique : Les médias africains, acteurs du changement». Plus de 300 journalistes issues des 54 pays du continent seront attendues, pour réfléchir sur une thématique de plus en plus saillante, et prolonger cette réflexion à travers leur travail quotidien dans leurs rédactions.
En effet, le choix de ce sujet n’a pas été un fruit du hasard, comme l’a rappelé Fathia El Aouni, initiatrice des Panafricaines et présidente de son comité permanent, ce mardi après-midi en conférence de presse. «Sept pays sur dix parmi ceux les plus menacés par les changements climatiques dans le monde sont d’Afrique», a souligné celle qui est également rédactrice en chef de Radio 2M.
Trois ans après le lancement des Panafricaines, ce réseau rassemblant des femmes journalistes de toute l’Afrique se donne pour mission de sensibiliser sur les problématiques qui concernent prioritairement le continent, tout en saisissant les pouvoirs publics.
Ainsi, la première édition a été consacrée à la question des femmes, la seconde, tenue en octobre 2018, a traité de la migration, tandis que la thématique choisie pour 2020 est celle du climat et de l’environnement. Présidente du Comité parité et diversité de 2M, Khadija Boujanoui a déclaré à ******** que «le fil rouge entre toutes ces éditions est celui de l’intérêt commun sur le plan africain large», où «les médias constituent un véritable acteur de changement».
Plus qu’une problématique continentale, le climat est d’ailleurs une priorité planétaire et internationale, pour laquelle les journalistes africaines se mobilisent en tentant de la vulgariser auprès de leur public, tout en mettant en lumière les impacts environnementaux, sociaux et économiques des changements climatiques sur leurs pays.
Au programme de cette édition sont prévus des débats, des échanges et sept ateliers rattachés à la thématique principale. Il s’agira d’aborder longuement plusieurs axes, dont les expériences de transition énergétique, les défis de la rationalisation de l’usage de l’eau, l’agriculture durable, les impacts sanitaires des changements climatiques, le développement durable des villes africaines, la gestion des déchets et l’adaptation aux changements climatiques.
ya biladi
Les 6 et 7 mars prochain, Casablanca accueillera la troisième édition des Panafricaines, sous le thème «Urgence climatique : Les médias africains, acteurs du changement». Plus de 300 journalistes issues des 54 pays du continent seront attendues, pour réfléchir sur une thématique de plus en plus saillante, et prolonger cette réflexion à travers leur travail quotidien dans leurs rédactions.
En effet, le choix de ce sujet n’a pas été un fruit du hasard, comme l’a rappelé Fathia El Aouni, initiatrice des Panafricaines et présidente de son comité permanent, ce mardi après-midi en conférence de presse. «Sept pays sur dix parmi ceux les plus menacés par les changements climatiques dans le monde sont d’Afrique», a souligné celle qui est également rédactrice en chef de Radio 2M.
Trois ans après le lancement des Panafricaines, ce réseau rassemblant des femmes journalistes de toute l’Afrique se donne pour mission de sensibiliser sur les problématiques qui concernent prioritairement le continent, tout en saisissant les pouvoirs publics.
Ainsi, la première édition a été consacrée à la question des femmes, la seconde, tenue en octobre 2018, a traité de la migration, tandis que la thématique choisie pour 2020 est celle du climat et de l’environnement. Présidente du Comité parité et diversité de 2M, Khadija Boujanoui a déclaré à ******** que «le fil rouge entre toutes ces éditions est celui de l’intérêt commun sur le plan africain large», où «les médias constituent un véritable acteur de changement».
Plus qu’une problématique continentale, le climat est d’ailleurs une priorité planétaire et internationale, pour laquelle les journalistes africaines se mobilisent en tentant de la vulgariser auprès de leur public, tout en mettant en lumière les impacts environnementaux, sociaux et économiques des changements climatiques sur leurs pays.
Au programme de cette édition sont prévus des débats, des échanges et sept ateliers rattachés à la thématique principale. Il s’agira d’aborder longuement plusieurs axes, dont les expériences de transition énergétique, les défis de la rationalisation de l’usage de l’eau, l’agriculture durable, les impacts sanitaires des changements climatiques, le développement durable des villes africaines, la gestion des déchets et l’adaptation aux changements climatiques.
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