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Maroc : manifestation à Casablanca pour la démocratie et contre les inégalités sociales

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  • Maroc : manifestation à Casablanca pour la démocratie et contre les inégalités sociales

    Par: Rédaction TSA 23 Févr. 2020

    Des milliers de personnes ont défilé, ce dimanche 23 février, dans les rues de Casablanca pour dénoncer les inégalités sociales, demander la libération des « détenus politiques » et lancer un appel pour une « vraie démocratie », rapportent plusieurs médias locaux et l’agence AFP.

    La date de cette marche coïncide délibérément avec l’anniversaire du Mouvement du 20-février, mouvement de contestation qui avait agité le Maroc en 2011 à l’époque des printemps arabes.

    La manifestation était organisée par le Front social marocain (FSM), un collectif récemment créé regroupant quatre partis de gauche, des organisations syndicales comme la Confédération démocratique du travail (CDT) et des associations, comme l’AMDH qui se concentre sur les droits humains, précise l’AFP.

    Les manifestants ont protesté avec force contre le chômage, le coût élevé de la vie, les défaillances des services publics tout en demandant « la libération de tous les détenus politiques », à commencer par ceux du Hirak marocain. Les manifestants qui brandissaient de grandes banderoles et agitaient des drapeaux rouges se sont ensuite dispersés dans le calme.

  • #2
    Le 20 février semble être un jour maghrébin, moubarek, mabrouk.

    De tout coeur avec les manifestants.

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    • #3
      Les uns célébrant le Hirak, un 22 Fevrier et les autres le lendemain ... ce serait sympas !!!

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      • #4
        Il ya des manifs presque chaque jour au Maroc, tant qu'il n y a pas de violence c'est a salué

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        • #5
          Le 20 février semble être un jour maghrébin, moubarek, mabrouk.

          De tout coeur avec les manifestants.
          __________________
          Et nous sommes aussi de tout cœur avec vous car je suis convaincu que votre réussite sera partagé à tout le maghreb.

          Et inversement

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          • #6
            Ben oui nos fevriesstes ont pu permettre le changement de la constitution en 2011

            Espérons une autre étape pour le changement du doustour
            La haine aveugle

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            • #7
              la meilleure étape est de se débarrasser de cette monarchie avilissante sans effusion de sang.
              ça ne peut pas durer, elle doit disparaître tôt ou tard.
              Bon courage pour nos frères Marocains.

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              • #8
                Démocratiser la monarchie oui, contraindre le roi à faire beaucoup de concessions sur le plan politique et de gestion oui oui , condamner les inégalités, l'injustice , le népotisme ....oui ,
                chasser cette bande de politiciens et courtisans véreux qui gravitent vautour du pouvoir , oui, mais changer de régime politique pour une république, c'est la porte ouverte pour l'enfer.

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                • #9
                  Il se pourrait fort que les prisons marocaines se soient vidées et qu'il y ait à nouveau des places libres.

                  - Maroc : plusieurs milliers de personnes défilent à Casablanca contre les inégalités
                  (…)
                  Soutien à Nasser Zefzaki

                  Les manifestants ont protesté avec force contre le chômage, le coût élevé de la vie, les défaillances des services publics tout en demandant « la libération de tous les détenus politiques », à commencer par ceux du Hirak.

                  Ce mouvement social qui a agité le nord du pays en 2016-2017 s’est éteint après une vague d’arrestations qui a débouché sur de lourdes condamnations judiciaires pour le noyau dur de la contestation.

                  « Vive Zefzafi », « nous sommes tous Zefzafi », ont crié les manifestants, en référence à Nasser Zefzafi, le chef du mouvement populaire du Hirak, condamné en 2018 à une peine de vingt ans de prison pour « atteinte à la sûreté de l’Etat ».

                  « Vive le peuple », a aussi scandé la foule en reprenant un titre contestataire de rap devenu très populaire après la condamnation d’un de ses auteurs pour « insulte à la police », fin 2019-.

                  Jeune Afrique (extraits).

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