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Les États-Unis accusent la Russie de répandre des complots sur le coronavirus de Wuhan, y compris qu'il s'agit d'une arme biologique de la CIA
Isobel Asher Hamilton 24 fév 2020, 11:32
Des responsables américains ont déclaré à l' AFP avoir découvert une campagne de désinformation russe en ligne visant à diffuser des théories du complot accusant l'Amérique de l'épidémie de coronavirus.
Un réseau de «plusieurs milliers» Twitter, Facebook et Instagram a été découvert à la mi-janvier, affichant des messages presque identiques.
"En diffusant de la désinformation sur le coronavirus, les acteurs malveillants russes choisissent une fois de plus de menacer la sécurité publique en distrayant de la réponse sanitaire mondiale", a déclaré un responsable.
Les autorités américaines disent avoir découvert une campagne de désinformation russe diffusant des théories du complot sur le coronavirus.
Des responsables ont déclaré à l' Agence France Presse (AFP) que des milliers de faux comptes Twitter, Facebook et Instagram ont été trouvés diffusant des théories selon lesquelles les États-Unis seraient à l'origine de l'épidémie du coronavirus COVID-19.
Les publications auraient déclaré que le virus était une tentative de "mener une guerre économique contre la Chine", qu'il s'agissait d'une arme biologique conçue par la CIA et qu'il avait été encouragé "à diffuser des messages anti-Chine".
Selon un rapport produit par le Global Engagement Center du Département d'État et vu par l'AFP, la campagne a été repérée à la mi-janvier, avec plusieurs milliers de comptes - dont beaucoup étaient auparavant liés à des activités russes - affichant des messages "presque identiques" sur le coronavirus. .
On pense que ces comptes sont tenus par des opérateurs humains plutôt que par des bots, et affichés dans une gamme de langues, dont l'anglais, l'espagnol, l'italien, l'allemand et le français. Les États-Unis pensent que les États-Unis visent à rendre plus difficile la lutte contre la propagation du virus, en particulier en Afrique et en Asie.
"En diffusant de la désinformation sur les coronavirus, les acteurs malveillants russes choisissent une fois de plus de menacer la sécurité publique en distrayant de la réponse sanitaire mondiale", a déclaré à l'AFP Philip Reeker, secrétaire d'État adjoint aux Affaires européennes et Eurasie par intérim.
Dimanche, l'Organisation mondiale de la santé a signalé plus de 78 800 cas de virus dans le monde. La grande majorité des cas se trouvent toujours en Chine continentale où la flambée est apparue, mais l'OMS a averti vendredi que la fenêtre d' opportunité pour limiter sa propagation internationale "se rétrécit".
Le rapport de l'AFP ne permet pas de savoir si Facebook et Twitter ont été alertés des campagnes et aucun n'a été immédiatement disponible pour commenter lorsqu'il a été contacté par Business Insider.
Isobel Asher Hamilton 24 fév 2020, 11:32
Des responsables américains ont déclaré à l' AFP avoir découvert une campagne de désinformation russe en ligne visant à diffuser des théories du complot accusant l'Amérique de l'épidémie de coronavirus.
Un réseau de «plusieurs milliers» Twitter, Facebook et Instagram a été découvert à la mi-janvier, affichant des messages presque identiques.
"En diffusant de la désinformation sur le coronavirus, les acteurs malveillants russes choisissent une fois de plus de menacer la sécurité publique en distrayant de la réponse sanitaire mondiale", a déclaré un responsable.
Les autorités américaines disent avoir découvert une campagne de désinformation russe diffusant des théories du complot sur le coronavirus.
Des responsables ont déclaré à l' Agence France Presse (AFP) que des milliers de faux comptes Twitter, Facebook et Instagram ont été trouvés diffusant des théories selon lesquelles les États-Unis seraient à l'origine de l'épidémie du coronavirus COVID-19.
Les publications auraient déclaré que le virus était une tentative de "mener une guerre économique contre la Chine", qu'il s'agissait d'une arme biologique conçue par la CIA et qu'il avait été encouragé "à diffuser des messages anti-Chine".
Selon un rapport produit par le Global Engagement Center du Département d'État et vu par l'AFP, la campagne a été repérée à la mi-janvier, avec plusieurs milliers de comptes - dont beaucoup étaient auparavant liés à des activités russes - affichant des messages "presque identiques" sur le coronavirus. .
On pense que ces comptes sont tenus par des opérateurs humains plutôt que par des bots, et affichés dans une gamme de langues, dont l'anglais, l'espagnol, l'italien, l'allemand et le français. Les États-Unis pensent que les États-Unis visent à rendre plus difficile la lutte contre la propagation du virus, en particulier en Afrique et en Asie.
"En diffusant de la désinformation sur les coronavirus, les acteurs malveillants russes choisissent une fois de plus de menacer la sécurité publique en distrayant de la réponse sanitaire mondiale", a déclaré à l'AFP Philip Reeker, secrétaire d'État adjoint aux Affaires européennes et Eurasie par intérim.
Dimanche, l'Organisation mondiale de la santé a signalé plus de 78 800 cas de virus dans le monde. La grande majorité des cas se trouvent toujours en Chine continentale où la flambée est apparue, mais l'OMS a averti vendredi que la fenêtre d' opportunité pour limiter sa propagation internationale "se rétrécit".
Le rapport de l'AFP ne permet pas de savoir si Facebook et Twitter ont été alertés des campagnes et aucun n'a été immédiatement disponible pour commenter lorsqu'il a été contacté par Business Insider.
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