Une grande victoire pour la diplomatie marocaine: Le dossier du conflit libyen revient a Skhirat
La visite du ministre libyen à Rabat
La visite du ministre libyen à Rabat et un entretien téléphonique entre le chef de la diplomatie marocaine, Nasser Bourita, avec le président du Conseil Supérieur de l’État Libyen, Khalid Machri, ont remis les pendules à l’heure et rendu au Maroc ce qui lui appartient dans les initiatives internationales pour régler définitivement la bataille pour le pouvoir dans ce pays.
Alors qu’il avait été mis à l’écart de la conférence internationale de Berlin après avoir déployé de gros efforts pour organiser des discussions à Skhirat et les faire aboutir sur des accords portant le nom de cette station balnéaire près de Rabat, le Maroc revient par la grande porte dans cette partie diplomatique avec l’annonce de futures et proches négociations à Skhirat entre les parties libyennes en conflit, le gouvernement légal et la dissidence de l’Est du maréchal Aftar.
Ce retour à la case départ rend justice à la diplomatie marocaine et réduit à néant les tentatives de son homologue algérienne qui a voulu monopoliser le processus.
lareleve.ma
La visite du ministre libyen à Rabat
La visite du ministre libyen à Rabat et un entretien téléphonique entre le chef de la diplomatie marocaine, Nasser Bourita, avec le président du Conseil Supérieur de l’État Libyen, Khalid Machri, ont remis les pendules à l’heure et rendu au Maroc ce qui lui appartient dans les initiatives internationales pour régler définitivement la bataille pour le pouvoir dans ce pays.
Alors qu’il avait été mis à l’écart de la conférence internationale de Berlin après avoir déployé de gros efforts pour organiser des discussions à Skhirat et les faire aboutir sur des accords portant le nom de cette station balnéaire près de Rabat, le Maroc revient par la grande porte dans cette partie diplomatique avec l’annonce de futures et proches négociations à Skhirat entre les parties libyennes en conflit, le gouvernement légal et la dissidence de l’Est du maréchal Aftar.
Ce retour à la case départ rend justice à la diplomatie marocaine et réduit à néant les tentatives de son homologue algérienne qui a voulu monopoliser le processus.
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