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Startup en algérie, quels sont les défis

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  • Startup en algérie, quels sont les défis

    Bonjour à tous
    A votre avis, quels sont les défis que les jeunes entrepreneurs confrontent lors de la création d'une micro-entreprise en Algérie?

    Je suis dans le domaine de l'électromécanique, mais récemment je lis beaucoup sur l'économie et management. J'aimerais savoir: quel mode de vie est meilleur en Algérie: être ingénieur et travailler dans une entreprise ou bien créer son propre projet ?

    Merci d'avance pour vos repenses.

  • #2
    en Algérie n'est que le nom puisque pas dincubateurs structures essentiels pour lancer ce genre d entreprises ..puisque cest une idée fragile au début ...si tu demande l annuaire des entreprises dans ta zone ..la reponse serait toujours négative...

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    • #3
      si j devais les classer bah je commencerai par :

      - l'administration, qui suffit, à elle seule, à en décourager plus d'un , entre registre, statuts, autorisations, permis, concessions, douanes, banques ...etc un vrai cauchemar

      - l'argent...l'apport de départ,le fonds de roulement, les options de financements offertes qui sont ou: non conformes aux croyances de la majorité , ou inaccessibles en raison des exigences en garanties (hypothèques, cautions...) ou tout simplement inadaptées aux besoins du projet (cas des projets innovants par exemple pour lesquels il n'y a, quasiment, aucune offre de financement adaptée).

      - l'information : aucune information fiable pour évaluer l'offre, la concurrence ou la demande sur un produit ou un service, et l’informel empêche toute tentative de mise en place d'un système d'information économique ( deux ministères se crêpent, depuis quelques années, le chignon pour savoir qui va le lancer en premier lol ).

      - l'improvisation du législateur en matière d'interdiction d'importation de matières premières ou de produits, d'exclusion des privés de certains marchés ...etc

      y'a aussi le manque de compétences, el ma3rifa et la corruption pour avoir les marchés et l'informel qui rend les enterprises honnêtes non concurrentielles

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      • #4
        ... Il parle d un start up et pas une petite entreprise du genre Ansej et ses satellites ces dispositifs destinés a la lutte contre le chômage et qui utilisent l'argent publiques donc demande beaucoup de garantie alors qu'un start up qui vise l innovation et qui verse vers le risque cherchent des investisseurs ou des actionnaires choses inexistant chez nous.

        Peut-on parler sur les start up sans incubateurs .. impossible ..puisque c'est ont besoin d 'un environnement idéal pour se développer .. et le entrepreneur devrait consacrer la majorité de son temps au développement de son idée et qui serait certainement besoin d'une aide multidisciplinaire avec des spécialistes compétents, aide sur le prototypage ,le design .. sans ça on ne peut pas dire que les start up existent chez nous.

        Le fait que chaque entrepreneur devrait tout maitriser et s'appuyer sur l'efforts personnels na aucun sens et c'est contre productif et une perte de temps.

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        • #5
          ah mais ce que je dis concerne aussi bien les start up que les tpe/pme.

          Pour le financement des start up, il faut savoir que les bailleurs de fonds algériens et les fonds d'investissement existants ne font pas la distinction entre une idée innovante ou pas , les demandes de financements sont traitées de la meme manière avec la meme grille de cotation et les memes exigences en termes de garanties, d'apport de démarrage ou encore de taux de participation minimum dans les capitaux (49 %), le porteur d'idée nouvelle qui voudrait passer par un financement bancaire ( à défaut d'avoir d'autres alternatives ) devra se plier aux memes exigences qu'une tpe/pme lambda.

          et pour ce qui est des alternatives au financement bancaire, on a voté, en 2017, si ma mémoire est bonne, une loi pour la création d'un fond d'amorçage sous la tutelle du ministère chargée de la PME, un fonds qui ne semble pas vouloir voir le jour...après pour les investisseurs on peut trouver des business angels (casbah angel par exemple ) qui peuvent aider mais bon ça reste très limité.

          Pour les incubateurs, pépinières et autres centres de facilitations, bah ils existent et , sauf erreur, ils ont été confié à la nouvelle agence chargée du développement de la PME ( ex: ANDPME), il y'en a 48 , une pour chaque wilaya je crois...mais bon , sans compétences et sans moyens , elles ne servent strictement à rien.

          Y'a aussi l'ANVREDET qui rame, mais là aussi sans compétences la hayata liman tounadi

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          • #6
            Le nouveau jeune ministre des startups va régler tous les problèmes

            En fait, il est où ? Nous ne l'avons pas vu depuis son installation !

            Révélations sur Yacine Oualid, le jeune ministre délégué aux start-ups de 26 ans
            http://www.algerie-dz.com/forums/sho...d.php?t=454600
            Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

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            • #7
              Moi j'ai de l'espoir , avec sa nano cravate nouvelle génération, il nous a prouvé qu'il pouvait innover ...j'ai hate de voir la suite oeilfermé

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              • #8
                Merci pour le petit constat .. ma première remarque sur le gouvernement Tebboune était sur ce jeune ministre je me demandais pourquoi accorder une ministère de telle d'importance a un jeune novice même si il est juste en façade... il y a aussi Bachir Messaïtfa quelques années auparavant avait une émission hébdo sur radio culture a fait un bon diagnostique sur les srart up, pme et les fab lab ... j’espère qu'il aurait une vraie chance pour concrétiser ces idées.

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