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PUBLIÉ LE 16/01/2012
Titanic : un naufrage raconté
14 ans avant le drame
Dans un livre intitulé « Futility » un obscur romancier anglais raconte - 14 ans avant le drame - les moindres détails du naufrage du Titanic. Hasard ? Coïncidence ? Ou stupéfiante prémonition ?
En 1898, Morgan Robertson, un auteur obscur, publie le roman Futility construit autour de la disparition tragique d’un paquebot. Le Titanic coulera pendant la nuit du 14 au 15 avril 1912, et au fil de la lecture de l’œuvre de fiction, le nombre de points communs avec la réalité se révèle proprement stupéfiant. Comment expliquer ce qui est bien plus qu’une vague analogie ?
Les deux navires :
– portent pratiquement le même nom : Titan et Titanic.
– appareillent presque à la même heure.
– entrent en collision avec un autre bateau au début de leur traversée.
– ont presque exactement les mêmes dimensions, le même nombre de canots, et de compartiments étanches. La comparaison est facilitée par la description minutieuse du Titan.
– naviguent à la même vitesse et sous le pavillon britannique.
– ont le même nombre d’hélices et de moteurs (de puissances égales), sont équipés d’un central téléphonique, embarquent deux orchestres pour distraire leurs passagers.
– sont victimes du même accident, au cours du même mois.
Et encore :
– Au moment du drame, 2000 personnes (dont 1000 marins) se trouvent à bord du Titan et il y en aura 2278 (dont 892 membres de l’équipage) sur le Titanic.
– Le navire qui se détourne pour secourir le Titan avait pour destination Gibraltar et la Méditerranée tout comme celui qui se portera à l’aide du Titanic.
PUBLIÉ LE 16/01/2012
Titanic : un naufrage raconté
14 ans avant le drame
Dans un livre intitulé « Futility » un obscur romancier anglais raconte - 14 ans avant le drame - les moindres détails du naufrage du Titanic. Hasard ? Coïncidence ? Ou stupéfiante prémonition ?
En 1898, Morgan Robertson, un auteur obscur, publie le roman Futility construit autour de la disparition tragique d’un paquebot. Le Titanic coulera pendant la nuit du 14 au 15 avril 1912, et au fil de la lecture de l’œuvre de fiction, le nombre de points communs avec la réalité se révèle proprement stupéfiant. Comment expliquer ce qui est bien plus qu’une vague analogie ?
Les deux navires :
– portent pratiquement le même nom : Titan et Titanic.
– appareillent presque à la même heure.
– entrent en collision avec un autre bateau au début de leur traversée.
– ont presque exactement les mêmes dimensions, le même nombre de canots, et de compartiments étanches. La comparaison est facilitée par la description minutieuse du Titan.
– naviguent à la même vitesse et sous le pavillon britannique.
– ont le même nombre d’hélices et de moteurs (de puissances égales), sont équipés d’un central téléphonique, embarquent deux orchestres pour distraire leurs passagers.
– sont victimes du même accident, au cours du même mois.
Et encore :
– Au moment du drame, 2000 personnes (dont 1000 marins) se trouvent à bord du Titan et il y en aura 2278 (dont 892 membres de l’équipage) sur le Titanic.
– Le navire qui se détourne pour secourir le Titan avait pour destination Gibraltar et la Méditerranée tout comme celui qui se portera à l’aide du Titanic.
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