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Un an après le début du Hirak, les Généraux Algériens tournent toujours le dos au Maroc

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  • Un an après le début du Hirak, les Généraux Algériens tournent toujours le dos au Maroc

    La dictature marocaine ne devrait-elle pas abandonner définitivement la perte supposée de 8 milliards de dollars annuellement
    pour cause de la fermeture des frontières terrestres algéro-marocaines?

    - Depuis le déclenchement du Hirak populaire en Algérie, il y a plus d’un an, les voix des citoyens algériens se sont levées exhortant le palais de la Mouradia à mettre fin à son hostilité envers le Royaume du Maroc et à l’ouverture des frontières entre les deux pays voisins.

    La dynamique de la rue algérienne a poussé des partis politiques à appeler au dépassement des divergences entre l’Algérie et le Maroc en vue de relancer l’union régionale maghrébine, de renforcer la coopération bilatérale après l’appel du souverain marocain à mettre en place un mécanisme politique conjoint de dialogue et de concertation pour dépasser les différends.


    Les espoirs étaient grands de voir changer l’élite politique, qui a gouverné l’Algérie pendant des décennies, d’autant plus que la rue algérienne est passée du slogan « Dégage » à celui de « le peuple veut », c’est-à-dire que la seule option que le peuple voudrait est le départ des Généraux de l’armée et leur alignement sur les positions de la rue qui aspire à la liberté.

    Une année s’est écoulée depuis le début des protestations populaires pour voir se poser de nouveau la question de son impact sur les relations bilatérales avec le Royaume, sauf que le « fossé profond » entre les deux pays semble persister encore et même se creuser encore davantage, notamment après les déclarations répétées du président algérien dans lesquelles il s’en est pris à Rabat.

    "Il n’y a pas eu de changement dans le système Algérien"

    Dans une déclaration au site arabophone Hespress.com, Driss Lagrini, président de l’Organisation de l’action maghrébine (OAM), a indiqué que « le Hirak visait un changement de système et de mode de gouvernance plutôt qu’un changement de personnes, en ce sens que des slogans et des appels à un réel changement ont été levés en Algérie » aussi bien en ce qui concerne la politique intérieure qu’extérieure.

    Il a ajouté qu’à ce jour « il n’y a pas eu de changement dans le système ou la nature de l’élite et de l’autorité dirigeante » en Algérie, relevant que le même appareil, qui détient le pouvoir de décision politique interne et externe, est toujours en place. Et de souligner: « c’est naturel que se poursuive encore le même discours sur les relations avec le Maroc, surtout concernant la question du Sahara marocain ».

    Le directeur du Centre des études internationales sur la gestion des crises a expliqué que « le décideur politique algérien s’est habitué à utiliser ce dossier dans le cadre de ce que l’on pourrait appeler la gestion de la crise », soulignant que « l’acteur politique algérien a tendance à recourir à la fabrication de fausses crises extérieures », notamment avec le Maroc pour couvrir ses vraies priorités.

    « L’ancienne méthode est à ce jour utilisée. C’est ce que l’on relève dans les sorties successives du président algérien et de certains responsables sur les questions de l’intégrité territoriale du Maroc et de l’ouverture des frontières », a affirmé l’enseignant-chercheur spécialisé en relations internationales, indiquant qu’il y a une prise de conscience au sein du Hirak algérien de la nécessité d’édifier l’Union du Maghreb et de renforcer les liens avec le Maroc.

    Lagrini a, enfin, souligné qu’en Algérie « sont apparues des élites, qui reflètent les positions de la société civile, des intellectuels et des politiciens et qui appellent en premier lieu au renforcement des relations maroco-algériennes et à la réduction des coûts politiques, diplomatiques, financiers et militaires généré par le soutien algérien illimité au Polisario », estimant que si ces élites parviennent au pouvoir en Algérie elles apporteront des changements dans le sens d’un renforcement des relations bilatérales.

    In fine, le statu quo ante jusqu’à nouvel ordre…

    Article19.ma

  • #2
    Les pitences d'un Maroc étranglé économiquement non merci nous nous n' avons pas besoin de l'ouverture des frontières pour gagner un point au PIB notre potentiel est infinie

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    • #3
      non merci
      Je t'ai eu sur ce coup gala, regarde ce que t'as écris dans un précédent topic
      Anzoul citation
      Le moment est très mal choisi


      Je me permet de finir ta phrase
      Le moment est très mal choisi avec un cas de coronavirus en Algérie la solidarité marocaine entre frères a des limite s'il n'y as pas de bénéfices

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      • #4
        - Depuis le déclenchement du Hirak populaire en Algérie, il y a plus d’un an, les voix des citoyens algériens se sont levées exhortant le palais de la Mouradia à mettre fin à son hostilité envers le Royaume du Maroc et à l’ouverture des frontières entre les deux pays voisins.
        Je n'ai jamais vu cela.

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        • #5
          "les Généraux Algériens tournent toujours le dos au Maroc"

          C'est pas bon du tout qu ils restent dans cette position

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          • #6
            Je n'ai jamais vu cela.

            C'est un article propagandiste.

            Commentaire


            • #7
              Je ne serais pas étonné d'apprendre que les hirakistes à l'origine de cette demande soient des marocains travaillant en Algérie! Demande louable afin de faciliter leurs démarches administratives....

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              • #8
                Le Maroc aime le hirak algérien dans l espoir de gagne le sahara. Si le hirak ne lui permet pas cela il va le détesté. Le peuple algérien n oublie le chantage de H2 durant la guerre de liberation et l agression contre un pays qui viens de sortir d une guerre difficile.
                If you want to go fast go alone, if you want to go far go together....
                You have to have a dream so you can get up in the morning....

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                • #9
                  Les généraux sont les enfants du peuple algérien et le peuple pour l'autodétermination du peuple sahraoui

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                  • #10
                    Les généraux sont les enfants du peuple algérien
                    faux, ils sont les enfants de leurs maman à tous..franssaaaa et pas rien que les généraux toute l'armée dz qui suit au pas et des gaid et des chengrina et wlidate franssa.... on a notre monarchie pseuso sacrée et vous avez votre armée pseudo sacré, votre monarchie à plusieurs tête...ملوك الطوائف


                    et le peuple pour l'autodétermination du peuple sahraoui
                    le peuple veut s’autodéterminer sois même....

                    فاقد الشئ لا يعطيه


                    un peuple malade du manque de justice du manque de droit du manque de démocratie ne peut en aucun cas penser à la justice au droit et à la démocratie pour d'autre peuple, puisque à la base il ne les connait pas lui même.

                    Commentaire


                    • #11
                      " un peuple malade du manque de justice du manque de droit du manque de démocratie ne peut en aucun cas penser à la justice au droit et à la démocratie pour d'autre peuple, puisque à la base il ne les connait pas lui même. "

                      - El Ouardi: «48,9% des Marocains souffrent de troubles psychiques»

                      Tel Quel.ma

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                      • #12
                        Le peuple algérien est honnête et il rend toujours la monnaie. En l'espèce, nombreux pays et révolutionnaires avaient soutenu sa cause lors de sa guerre d'indépendance et il (peuple algérien) se fait honnête en apportant son aide aux peuples palestinien et sahraoui comme jadis envers le peuple sud-africain.

                        - Comment une jeune Américaine se retrouve-t-elle au cœur du combat indépendantiste algérien à la fin des années 50, puis lors de la naissance du nouvel Etat en 1962 ? C’est l’histoire autobiographique raconte la journaliste et traductrice Elaine Mokhtefi, dans son ouvrage, paru en anglais il y a plus de deux ans et qu’elle a elle-même traduit en français pour les éditions La Fabrique, Alger, capitale de la révolution : de Fanon aux Black Panthers. La rencontre a lieu dans l’excellente librairie Libertalia de Montreuil (Seine-Saint-Denis).

                        Coiffée d’un petit chapeau de paille et arborant des bijoux kabyles, elle paraît plusieurs décennies de moins. Et semble toujours aussi militante, politique et enthousiaste à 91 ans qu’à 23, quand elle rencontre la cause algérienne à son arrivée à Paris.

                        L’Algérie était un pays à reconstruire complètement ?

                        Le travail à faire était énorme après le départ des Français. Sur 10 millions d’habitants, il n’y avait que 1 500 étudiants et 500 diplômés. Il n’y avait plus d’administration. Les Algériens ont bénéficié des aides cubaines, chinoises, des pays arabes et de l’Est… Mais aussi de cadres français, des médecins, des professeurs… Ceux qu’on a appelés les «pieds-rouges».

                        C’étaient des gens qui avaient du cœur et qui sentaient la nécessité de leurs compétences dans ce jeune pays. Ils ont souvent quitté des emplois confortables en France, leur milieu social, pour s’installer à Alger par conviction politique.

                        Il y avait bien sûr parmi eux d’anciens «porteurs de valises», des proches des réseaux Jeanson et Curiel. J’ai appris qu’on avait enfin posé une plaque à Paris, en hommage à Henri Curiel, là où il a été assassiné-.

                        Libération.fr

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