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La menace internationale que représente le coronavirus est désormais «très élevée», selon l’OMS

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  • La menace internationale que représente le coronavirus est désormais «très élevée», selon l’OMS

    © Sputnik .

    Le directeur général de l’Organisation mondiale de la santé, Tedros Adhanom Ghebreyesus, a évalué le risque de la propagation du virus Covid-19 comme «très élevé» au niveau international.

    L'Organisation mondiale de la santé (OMS) a annoncé vendredi 28 février avoir porté à «très élevé» le niveau de la menace liée au nouveau coronavirus, qui a contaminé quelque 79.000 personnes en Chine et plus de 5.000 dans le reste du monde.

    «Nous avons maintenant augmenté notre évaluation du risque de propagation et du risque d'impact du Covid-19 à un niveau très élevé au niveau mondial», a déclaré le directeur général de l'OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, en conférence de presse.

    Détails à suivre
    The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

  • #2
    L'OMS et les Etats concernés craignent une pandémie dont le vaccin qui stoppera la propagation du virus tarde à venir. Jusqu'à présent le continent africain est épargné, parait-il en raison de l’immunité innée de la race noire.

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    • #3
      Jusqu'à présent le continent africain est épargné, parait-il en raison de l’immunité innée de la race noire.
      le paludisme en afrique

      L’Organisation mondiale de la santé a publié son rapport annuel sur le paludisme le 19 novembre. Si le nombre de cas à l’échelle semble stagner par rapport à 2017 et même diminuer sur certains continent, l’Afrique reste en première ligne face au fléau.

      C’est un rapport alarmant qu’a publié l’Organisation mondiale de la santé, lundi 19 novembre. « Le monde fait face à une nouvelle réalité: avec la stagnation des progrès, nous risquons de dilapider des années de travail, d’investissements et de succès dans la réduction du nombre des personnes souffrant de cette maladie», alerte le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, directeur général de l’OMS, dans le communiqué introductif du rapport.

      Si les données concernant la période 2015-2017 ne permettent pas de souligner de réels progrès vers une diminution du nombre de cas de paludisme dans le monde, ce nouveau rapport de l’OMS vient confirmer la tendance entrevue l’an passé, à savoir que l’objectif essentiel de la Stratégie technique mondiale de lutte contre le paludisme 2016-2030 – « réduire les cas et les décès dus au paludisme » d’au moins 40 % d’ici à 2020 -, ne sera pas atteint.

      En 2017, 219 millions de cas ont été recensés par l’OMS, tandis que le paludisme a causé la mort de 435 000 personnes cette année. L’Afrique reste le continent le plus touché par la maladie. Tour d’horizon des chiffres clés pour le continent.

      • 92 % de cas en Afrique
      Au niveau mondial l’OMS recense dans son rapport une légère augmentation du nombre de cas de paludisme en 2017 avec 219 millions de personnes touchées contre 217 millions en 2016. 92 % de ces cas se trouvent en Afrique, soit 200 millions de victimes. Un chiffre qui place le continent loin devant l’Asie du Sud-Est (5%) et la région de Méditerranée orientale (2%).


      • 47 % des cas dans quatre pays
      80% des cas de paludisme en 2017 sont concentrés en une quinzaine de pays d’Afrique subsaharienne et l’Inde. 47 % du nombre total de cas sont situés dans quatre pays du continent : le Nigeria (25%), la République démocratique du Congo (11%), le Mozambique (5%) et l’Ouganda (4%).
      The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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