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Atterrissage presque vertical d'un avion A380 en pleine tempête - vidéo

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  • Atterrissage presque vertical d'un avion A380 en pleine tempête - vidéo

    Confronté à des vents forts et contraires en pleine tempête récente au Royaume-Uni, le pilote de l'avion géant A380 a dû tenter d'atterrir latéralement et presque verticalement à l'aéroport britannique de Heathrow (voir vidéo).

    Heureusement que les pilotes n'étaient pas ivres sinon ils n'auraient pas pu réussir cet atterrissage impressionnant!


  • #2
    Cela prouve une certaine supériorité des pilotes anglo-saxon, la seconde guerre mondial nous l'a prouvé.

    Il s'agit du sérieux de leur enseignement et de leur compétences acquises.
    Si vous ne trouvez pas une prière qui vous convienne, inventez-la.” Saint Augustin

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    • #3
      Tous mes respect !!!

      Chapeau bas aussi bien pour le pilote que pour l'avion !!!!!!
      Le Sage

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      • #4
        Cela prouve une certaine supériorité des pilotes anglo-saxon, la seconde guerre mondial nous l'a prouvé.
        Il s'agit du sérieux de leur enseignement et de leur compétences acquises.
        Cela ne prouve aucune supériorité.
        N'importe quel pilote de ligne au monde est en mesure de se poser avec du vent de travers par cette méthode dite du "décrabage".
        Celle-ci est enseignée même aux élèves-pilotes d'avions légers de tourisme.
        Chaque type d'avion est certifié pour atterrir avec un gradient de vent latéral ou arrière limité à des rafales maximum.
        Le fait pour un pilote de se poser en dehors des limites certifiées est une faute lourde.
        Lorsque le pilote se trouve en dehors des limites prévues, il doit se détourner vers un autre aéroport.
        Quant à la seconde guerre mondiale, il n'y avait pas de supériorité de pilotage, mais des conditions d'évolution du conflit qui ont fait varier la qualité des pilotes.

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        • #5
          Quant à la seconde guerre mondiale, il n'y avait pas de supériorité de pilotage, mais des conditions d'évolution du conflit qui ont fait varier la qualité des pilotes.

          Et aussi la différence des machines, le Spitfire était une machine redoutable facile à piloter.
          Toutes les fleurs de l'avenir sont dans les semences d'aujourd'hui.

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          • #6
            Et aussi la différence des machines, le Spitfire était une machine redoutable facile à piloter.
            Le Spitfire n'a pas toujours eu la supériorité. Il a été largement surclassé pendant une longue période à partir de l'introduction par la Luftwaffe du Focke-Wulf 190 en 1941.

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            • #7
              Heureusement que les pilotes n'étaient pas ivres sinon ils n'auraient pas pu réussir cet atterrissage impressionnant!
              Nassim
              C'est vrai, Ivre, dans la plupard des cas on perd la maîtrise
              mais il y a des cas vraiment rares, ou le mec dois être bourré pour réussir une manœuvre, je connais un chirurgien, très fort quand il est ivre... c'est quand il est sobre qu'il n'arrive pas à travailler...

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              • #8
                c'est un bon pilote qui maitrise totalement son avion , surement un pilote expérimenté qui doit avoir des milliers d'heures de vol à son actif
                "N'imitez rien ni personne. Un lion qui copie un lion devient un singe." Victor Hugo

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                • #9
                  un fou dangereux il aurait du mettre les gaz comme le font tout les pros

                  imaginer s il y avait crash on aurait accuser le a380 et non le pilote

                  ettihad et emirat recrute souvent des pilotes de chasse ukrainiens et polonais
                  The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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                  • #10
                    il y a des cas vraiment rares, ou le mec dois être bourré pour réussir une manœuvre, je connais un chirurgien, très fort quand il est ivre... c'est quand il est sobre qu'il n'arrive pas à travailler...
                    Oui des fois la folie surpasse l'homme et le rend fou même s'il est conscient que sur son manche il a plusieurs centaines de vie à la merci de sa prise de risque.
                    Je me souviens d'un vol "Marrakech-Paris" en plein hiver infernal en 2013 sur un coucou 727...qui devait avoir plus de quarante ans.
                    Trois heures de vols les plus palpitant de ma vie avec aplodissement à l'équipage à la fin après l'atterrissage.....

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                    • #11
                      Le fait pour un pilote de se poser en dehors des limites certifiées est une faute lourde.
                      tout a fait d'accord avec toi .. pas d'improvisation.

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