La dictature israélienne à l'instar de son sosie marocain?:22:
« Ma mère a disparu en 1977 et mon frère a été tué dans la prison « noire »
" Je viens d’une famille aux fortes convictions politiques : c’est à la fois notre héritage et notre devoir, et nous en subissons tous les conséquences », a expliqué Hatra. Elle est présente à presque toutes les manifestations et elle milite farouchement pour l’indépendance".
Elle a reconnu que sa famille pourrait faire l’objet de représailles, mais a insisté pour raconter son histoire.
« Le père de mes quatre premiers enfants a disparu après avoir embarqué à bord d’un bateau de migrants en situation irrégulière et j’ai divorcé de mon second époux il y a peu », a-t-elle ajouté, juste avant de montrer des photos de Nasrallah, son fils de 12 ans. Elle raconte qu’il a été arrêté dans la rue par la police, emprisonné et torturé-.
Cependant, sa famille a payé très cher son choix de rester. Hatra ne montre guère d’émotion en écoutant son fils aîné Abou Jihad décrire la brutalité de la détention policière.
« Ils m’ont laissé menotté pendant trois jours et m’ont battu lors des interrogatoires », a raconté l’adolescent, visiblement soulagé d’être de retour chez lui. « Ça aurait pu être pire », a-t-il ajouté, en évoquant une précédente arrestation qui lui avait valu des fractures de la main et du pied-.
Middle East Eye
« Ma mère a disparu en 1977 et mon frère a été tué dans la prison « noire »
" Je viens d’une famille aux fortes convictions politiques : c’est à la fois notre héritage et notre devoir, et nous en subissons tous les conséquences », a expliqué Hatra. Elle est présente à presque toutes les manifestations et elle milite farouchement pour l’indépendance".
Elle a reconnu que sa famille pourrait faire l’objet de représailles, mais a insisté pour raconter son histoire.
« Le père de mes quatre premiers enfants a disparu après avoir embarqué à bord d’un bateau de migrants en situation irrégulière et j’ai divorcé de mon second époux il y a peu », a-t-elle ajouté, juste avant de montrer des photos de Nasrallah, son fils de 12 ans. Elle raconte qu’il a été arrêté dans la rue par la police, emprisonné et torturé-.
Cependant, sa famille a payé très cher son choix de rester. Hatra ne montre guère d’émotion en écoutant son fils aîné Abou Jihad décrire la brutalité de la détention policière.
« Ils m’ont laissé menotté pendant trois jours et m’ont battu lors des interrogatoires », a raconté l’adolescent, visiblement soulagé d’être de retour chez lui. « Ça aurait pu être pire », a-t-il ajouté, en évoquant une précédente arrestation qui lui avait valu des fractures de la main et du pied-.
Middle East Eye
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