Une convention portant création d’une école doctorale pour la formation des étudiants en postgraduation sera signée aujourd’hui entre l’Agence spatiale algérienne (ASAL), le Centre national des techniques spatiales ainsi que cinq universités, à savoir celles d’Oran, de Tlemcen, Sétif, Constantine et Bab Ezzouar.
L’école sera domiciliée à l’Université des sciences et technologies d’Oran (USTO). Les programmes qui y seront dispensés ont été élaborés pour aboutir à la création d’un mastère appliqué dans le domaine. C’est ce qu’a indiqué hier Mme Ben Djelloul Mounira, directrice de la postgraduation et de la recherche formation au ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, lors d’une conférence de presse au siège du ministère.
A noter que 15 autres écoles doctorales pour 1 495 nouveaux inscrits ont été créées dans 88 établissements au cours de la dernière année universitaire. «L’école doctorale est le fruit de la solidarité et du partenariat entre les universités nationales, recouvrant le magistère et le doctorat», a affirmé l’oratrice, tout en soulignant que sa forme sera revue dès que le mastère du système LMD sera mis en place.
Cet établissement a pour objectif l’amélioration du niveau quantitatif et qualitatif de la formation postgraduée. Les travaux de recherche y sont suivis. Une partie des cours est prise en charge par des professeurs étrangers qui assureront des codirections ou des cotutelles de thèses, comme ils offriront la possibilité d’accueil d’étudiants dans leurs laboratoires, selon notre interlocutrice.
Le brassage des étudiants et des universitaires algériens offre une occasion d’échanges et de coopération. L’école doctorale permet, en outre, un suivi permanent des étudiants en magistère et en doctorat, comme elle devrait assurer une dynamisation dans la réalisation des thèses.
Par ailleurs, la responsable a passé en revue, chiffres à l’appui, la situation de son organisme où figurent 15 068 enseignants entre professeurs, maîtres de conférences, chargés de cours et maîtres assistants, prenant en charge 3 993 projets de recherche en 2007.
La production scientifique a également été évoquée par la directrice qui a fait part de 1 561 articles publiés dans des publications internationales contre 794 dans des publications nationales et 2 925 communications internationales contre 2 326 nationales.
Cela montre le peu de production scientifique nationale car, dit- elle, la création d’une revue de ce niveau demande des moyens financiers conséquents, du volontariat ainsi que la création d’une société savante, ce qui n’existe pas dans la plupart des filières, à l’exception des sciences médicales.
- Le Jeune Independant
L’école sera domiciliée à l’Université des sciences et technologies d’Oran (USTO). Les programmes qui y seront dispensés ont été élaborés pour aboutir à la création d’un mastère appliqué dans le domaine. C’est ce qu’a indiqué hier Mme Ben Djelloul Mounira, directrice de la postgraduation et de la recherche formation au ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, lors d’une conférence de presse au siège du ministère.
A noter que 15 autres écoles doctorales pour 1 495 nouveaux inscrits ont été créées dans 88 établissements au cours de la dernière année universitaire. «L’école doctorale est le fruit de la solidarité et du partenariat entre les universités nationales, recouvrant le magistère et le doctorat», a affirmé l’oratrice, tout en soulignant que sa forme sera revue dès que le mastère du système LMD sera mis en place.
Cet établissement a pour objectif l’amélioration du niveau quantitatif et qualitatif de la formation postgraduée. Les travaux de recherche y sont suivis. Une partie des cours est prise en charge par des professeurs étrangers qui assureront des codirections ou des cotutelles de thèses, comme ils offriront la possibilité d’accueil d’étudiants dans leurs laboratoires, selon notre interlocutrice.
Le brassage des étudiants et des universitaires algériens offre une occasion d’échanges et de coopération. L’école doctorale permet, en outre, un suivi permanent des étudiants en magistère et en doctorat, comme elle devrait assurer une dynamisation dans la réalisation des thèses.
Par ailleurs, la responsable a passé en revue, chiffres à l’appui, la situation de son organisme où figurent 15 068 enseignants entre professeurs, maîtres de conférences, chargés de cours et maîtres assistants, prenant en charge 3 993 projets de recherche en 2007.
La production scientifique a également été évoquée par la directrice qui a fait part de 1 561 articles publiés dans des publications internationales contre 794 dans des publications nationales et 2 925 communications internationales contre 2 326 nationales.
Cela montre le peu de production scientifique nationale car, dit- elle, la création d’une revue de ce niveau demande des moyens financiers conséquents, du volontariat ainsi que la création d’une société savante, ce qui n’existe pas dans la plupart des filières, à l’exception des sciences médicales.
- Le Jeune Independant
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