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Maroc : vers une faillite imminente des villes du Nord

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  • Maroc : vers une faillite imminente des villes du Nord

    Maroc : vers une faillite imminente des villes du Nord© Copyright : DR
    5 mars 2020 - 19h00 - Economie

    Plusieurs communes du Nord du Maroc, ayant à leur tête des militants du PJD, font face à une situation économique difficile qui pourrait les conduire inéluctablement à la ruine.

    Baisse des recettes, hausse continue des charges, mauvaise gestion des ressources, accumulation de plusieurs années de dettes, manque de toute rationalisation des recettes et autres dépenses, échec total de la mise en place de stratégies susceptibles de limiter les dépenses, non-respect des engagements, notamment vis-à-vis des fonctionnaires. Les communes du Chaouen, Tétouan, Fnideq, Martil et M’diq sont au bord de la faillite, rapporte le quotidien Al Akhbar. Mieux, des communes comme Martil, M’diq et Fnideq, se trouvent dans l’incapacité de s’acquitter de leurs factures d’eau et d’électricité.

    Cette situation s’explique par le fait que ces communes doivent des dizaines de millions de dirhams, sous forme de dettes, aux sociétés délégataires du transport public et du ramassage des ordures. À cela s’ajoute le non-paiement des indemnités dues aux fonctionnaires et des aides destinées aux associations. Sans oublier une mauvaise gouvernance qui entrave l’exécution des projets de développement de ces communes.
    bl ad i
    The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

  • #2
    c est du à la gestion calamiteuse des élus du PJD.

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    • #3

      c est du à la gestion calamiteuse des élus du PJD.
      Ou le makhzen qui prépare les futurs élections ......
      " Je me rend souvent dans les Mosquées, Ou l'ombre est propice au sommeil " O.Khayaâm

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      • #4
        @Cell,

        J' arrête toujours la réflexion au premier degré ! Les islamistes ,en général , sont des paresseux, le peu d effort et le maximum qu il peuvent faire et "l usage de la religion" pour se maintenir au pouvoir, on voit chaque jour qu' un élu a été arrêté ici et là, beaucoup d articles sur la mauvaise gestion de responsables de région ou de municipalité, ceci ne cadre pas bien avec leur discours ...

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        • #5
          vive le maroc maghrebin

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          • #6
            Paradoxalement les villes du nord sont les plus dynamiques, les plus propres et celles où il fait bon vivre... Ils en veulent aux islamistes !

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            • #7
              Les villes du nord ont toujours été propres par rapport a celles du centre du pays . Ce n est pas lié à la gestion des élus.

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              • #8
                Les villes du nord ont toujours été propres par rapport a celles du centre du pays . Ce n est pas lié à la gestion des élus.
                Le nord était sale dans les années 90.

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                • #9
                  il y a 30 ans ! Ouiiii !

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                  • #10
                    Le nord était sale dans les années 90.
                    en 2020, casa est sale, Marrakech est sale par les pervers et sa prostitution, agadir pareil....c'est ca la vraie saleté...

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                    • #11
                      Paradoxalement les villes du nord sont les plus dynamiques, les plus propres et celles où il fait bon vivre... Ils en veulent aux islamistes !
                      Je dirais un peu des deux, le ramassage des ordures, le nettoyage des rues est assuré quotidiennement et de manière efficace.

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                      • #12
                        L'article ici de *b*la*di**ne*t/maroc-faillite-villes du Nord, n'importe quoi.

                        Suite a l’enquête menées par l’inspection générale du ministère de l’Intérieur:
                        Plusieurs présidents de communes risquent d’être révoqués pour mauvaise gestion. La saisine des tribunaux administratifs par le ministère de l’Intérieur menace plus de 15 élus de destitution, notamment dans la région de Tanger-Tétouan-Al Hoceima.

                        Plusieurs présidents de communes, parmi lesquels se trouvent des parlementaires, risquent d’être révoqués dans le cadre d’une large campagne d’assainissement menée par le ministère de l’Intérieur contre la mauvaise gestion des budgets communaux. C’est ainsi que le gouverneur de Tétouan a saisi le tribunal administratif pour statuer sur le cas du président de la commune d’Oued Laou, également membre du groupe parlementaire à la Chambre des représentants. Ce dernier aurait commis plusieurs violations de la loi organique relative aux communes et délivré des autorisations sans l’approbation, prévue par la loi, de l’Agence urbaine.

                        Le tribunal administratif a reporté l’instruction du dossier du parlementaire socialiste à la fin du mois courant. En revanche, il a entamé l’étude des requêtes portant sur plusieurs présidents de communes appartenant au PAM, au PPS et au MP. C’est ainsi que le président de la commune rurale de Benkrich (PAM) a été destitué, en attendant de statuer sur les cas de plus de 15 présidents dont six relèvent de la région de Tanger-Tétouan-Al Hoceima. Selon des sources proches des enquêtes, plusieurs de ces élus sont menacés de destitution et de poursuites judiciaires pour de multiples dysfonctionnements dans la gestion de leurs communes. Ces enquêtes menées par l’inspection générale du ministère de l’Intérieur entrent dans le cadre de l’application du contenu du discours royal établissant une corrélation entre la responsabilité et la reddition des comptes.

                        Le quotidien Assabah rapporte, dans son édition du lundi 9 mars, que le maire PJDiste de Tétouan, Mohamed Idaâmar, se trouve dans la liste des élus menacés de révocation par la justice administrative. Il en va de même pour Larbi Ahnine, membre du groupement et parlementaire du PPS, qui présidait la commune d’Azla avant d’en céder les rênes à sa femme. La liste comprend également le président de la commune d’Oued Laou, Mohamed Mellahi (USFP), ainsi que d’autres responsables de communes dans la région d’Al Hoceima, dont la majorité est affiliée au PAM.

                        Ces dysfonctionnements ont été constatés quand une commission de l’inspection générale du ministère de l’Intérieur a fait une tournée marathonienne dans plusieurs communes de la région de Tanger-Tétouan-Al Hoceima. Certains dirigeants de communes ont échoué dans leur tentative de dissuader le ministère de l’Intérieur de soumettre leurs dossiers à la justice administrative. L’un d’eux a même eu recours à la «médiation» du dirigeant d’un parti politique avec lequel il entretient des relations étroites.

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