L’instruction de a plainte déposée par les avocats Salim CHAIT, Kader HOUALI et Sofiane DEKKAL contre la présidente du parti pour l’équité et la proclamation ( PEP), Mme Naima SALHI, pour « incitation à la haine raciale et appel au meurtre » via sa page officielle Facebook à travers des vidéos et des publications vient d’être l’instruction “est enfin engagée contre cette délinquante politique qui ne cesse de faire parler d’elle, malgré la fermeture de ses deux pages officielles” annonce un communiqué signé par les trois avocats.
“En ce jeudi, 5 mars 2020, nous nous sommes présentés, maitre HOUALI et moi-même, à la brigade de recherche du groupement de gendarmerie de la ville de Cheraga, suite à notre convocation en date du 3 mars 2020” précise le communiqué.
“Le brigadier en chef qui nous a reçu dans son bureau, nous a informé que le motif de notre convocation est en rapport avec la plainte déposée contre la présidente du parti pour l’équité et la proclamation ( PEP), Mme Naima SALHI, pour « incitation à la haine raciale et appel au meurtre » via sa page officielle Facebook à travers des vidéos et des publications”.
Les trois avocats signataires du communiqué souhaitent que “la procédure se poursuive pour aboutir à un procès que nous espérons équitable” tout en rappelant que “le racisme n’est pas une opinion, mais un délit passible de justice et nous ne ménagerons aucun effort pour en traduire les promoteurs devant les tribunaux”.
Inter-lignes
5 mars 2020
“En ce jeudi, 5 mars 2020, nous nous sommes présentés, maitre HOUALI et moi-même, à la brigade de recherche du groupement de gendarmerie de la ville de Cheraga, suite à notre convocation en date du 3 mars 2020” précise le communiqué.
“Le brigadier en chef qui nous a reçu dans son bureau, nous a informé que le motif de notre convocation est en rapport avec la plainte déposée contre la présidente du parti pour l’équité et la proclamation ( PEP), Mme Naima SALHI, pour « incitation à la haine raciale et appel au meurtre » via sa page officielle Facebook à travers des vidéos et des publications”.
Les trois avocats signataires du communiqué souhaitent que “la procédure se poursuive pour aboutir à un procès que nous espérons équitable” tout en rappelant que “le racisme n’est pas une opinion, mais un délit passible de justice et nous ne ménagerons aucun effort pour en traduire les promoteurs devant les tribunaux”.
Inter-lignes
5 mars 2020
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