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Cependant, il ne faut pas se voiler la face et reconnaître que la dictature marocaine est xénophobe.
Souvenons-nous qu'elle (dictature marocaine) avait soutenu l'apartheid sud-africain!:22:
- Huit ans après l’indigne «Péril noir» de Maroc Hebdo, les leçons de la décence n’ont pas été retenues. Le magazine Le Reporter a en effet consacré son dernier numéro au premier cas de coronavirus au Maroc, s’interrogeant sur l’imputabilité de la «responsabilité» de ce premier cas détecté le 2 mars dernier.
En prime, une Une qui montre un migrant subsaharien se cachant sous un épais manteau noir, affublé d’une capuche, dans la posture de celui qui est coupable. «Qui est responsable ?», interroge le magazine.
Les trois cas testés positifs au coronavirus au Maroc ne concernent pourtant aucun Subsaharien. Il s’agissait de deux Marocains en provenance d’Italie (une femme de 89 ans décédée aujourd’hui et un homme âgé de 39 ans), ainsi qu’un touriste français à Marrakech.
Pour rappel, ce n’est pas la première fois qu’une publication se fend d’un titre raciste et racoleur. Après avoir relayé, en novembre dernier, des propos d’une Marocaine qualifiant les Subsahariens de «cafards», le journal Assabah a récidivé en janvier dernier. Intitulé «Les Africains envahissent les passerelles pour piétons à Casablanca», l’article du quotidien arabophone était truffé de propos xénophobes et racistes.
«Il y a un problème avec ce journal qui a des traitements racistes et malheureusement il n’y a pas de réaction. Il s’entête à chercher aux Marocains ce qu'il y a de plus mauvais en eux et jette de l’huile sur le feu», avait réagi auprès de notre rédaction le sociologue et membre du GADEM, Mehdi Alioua.
Ya...bi
Souvenons-nous qu'elle (dictature marocaine) avait soutenu l'apartheid sud-africain!:22:
- Huit ans après l’indigne «Péril noir» de Maroc Hebdo, les leçons de la décence n’ont pas été retenues. Le magazine Le Reporter a en effet consacré son dernier numéro au premier cas de coronavirus au Maroc, s’interrogeant sur l’imputabilité de la «responsabilité» de ce premier cas détecté le 2 mars dernier.
En prime, une Une qui montre un migrant subsaharien se cachant sous un épais manteau noir, affublé d’une capuche, dans la posture de celui qui est coupable. «Qui est responsable ?», interroge le magazine.
Les trois cas testés positifs au coronavirus au Maroc ne concernent pourtant aucun Subsaharien. Il s’agissait de deux Marocains en provenance d’Italie (une femme de 89 ans décédée aujourd’hui et un homme âgé de 39 ans), ainsi qu’un touriste français à Marrakech.
Pour rappel, ce n’est pas la première fois qu’une publication se fend d’un titre raciste et racoleur. Après avoir relayé, en novembre dernier, des propos d’une Marocaine qualifiant les Subsahariens de «cafards», le journal Assabah a récidivé en janvier dernier. Intitulé «Les Africains envahissent les passerelles pour piétons à Casablanca», l’article du quotidien arabophone était truffé de propos xénophobes et racistes.
«Il y a un problème avec ce journal qui a des traitements racistes et malheureusement il n’y a pas de réaction. Il s’entête à chercher aux Marocains ce qu'il y a de plus mauvais en eux et jette de l’huile sur le feu», avait réagi auprès de notre rédaction le sociologue et membre du GADEM, Mehdi Alioua.
Ya...bi
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