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14 mars 2020 - 06h20
« Porte du continent africain », la région de Dakhla-Oued Eddahab est l’une des destinations les plus privilégiées du Royaume par les investisseurs.
Selon l’Agence de presse sénégalaise (APS), dans cette région située à deux heures de vol de Casablanca, et dotée de plusieurs atouts, le tourisme est très développé, avec surtout le sport nautique. Cet avantage important, favorise l’installation de beaucoup d’hôtels et de restaurants à Dakhla, où se rencontrent le désert et la mer.
Dakhla-Oued Eddahab est devenue une zone d’opportunités, notamment pour la communauté sénégalaise au nombre de 800, en raison de son essor économique. Dans cette localité, les Sénégalais représentent la communauté la plus importante, suivie des Ivoiriens et des Guinéens, précise le wali de la région de Dakhla-Oued Eddahab, et gouverneur de la province d’Oued Eddahab, Lamine Benomar.
Pour le responsable de cette localité, l’on ne refuse jamais une carte de séjour aux femmes et aux enfants ; mais pour les hommes, c’est normal de faire une enquête parce qu’on ne peut pas prendre n’importe qui. « Mais en général, ils obtiennent facilement le document »,a-t-il ajouté.
Etabli à Dakhla depuis quelques mois, un Sénégalais soutient que la rémunération est bonne dans la localité, avec les mêmes avantages dont jouissent les Marocains, grâce à des CDI. « On peut même faire un prêt à la banque et acquérir un terrain », témoigne-t-il.
Avec la détermination des autorités locales qui y encouragent l’établissement des communautés étrangères, le Sahara qui constituait une coupure entre ces deux entités du continent devient aujourd’hui un moyen de renforcement des relations entre le Maroc et le reste de l’Afrique,lit-on encore.
« Porte du continent africain », la région de Dakhla-Oued Eddahab est l’une des destinations les plus privilégiées du Royaume par les investisseurs.
Selon l’Agence de presse sénégalaise (APS), dans cette région située à deux heures de vol de Casablanca, et dotée de plusieurs atouts, le tourisme est très développé, avec surtout le sport nautique. Cet avantage important, favorise l’installation de beaucoup d’hôtels et de restaurants à Dakhla, où se rencontrent le désert et la mer.
Dakhla-Oued Eddahab est devenue une zone d’opportunités, notamment pour la communauté sénégalaise au nombre de 800, en raison de son essor économique. Dans cette localité, les Sénégalais représentent la communauté la plus importante, suivie des Ivoiriens et des Guinéens, précise le wali de la région de Dakhla-Oued Eddahab, et gouverneur de la province d’Oued Eddahab, Lamine Benomar.
Pour le responsable de cette localité, l’on ne refuse jamais une carte de séjour aux femmes et aux enfants ; mais pour les hommes, c’est normal de faire une enquête parce qu’on ne peut pas prendre n’importe qui. « Mais en général, ils obtiennent facilement le document »,a-t-il ajouté.
Etabli à Dakhla depuis quelques mois, un Sénégalais soutient que la rémunération est bonne dans la localité, avec les mêmes avantages dont jouissent les Marocains, grâce à des CDI. « On peut même faire un prêt à la banque et acquérir un terrain », témoigne-t-il.
Avec la détermination des autorités locales qui y encouragent l’établissement des communautés étrangères, le Sahara qui constituait une coupure entre ces deux entités du continent devient aujourd’hui un moyen de renforcement des relations entre le Maroc et le reste de l’Afrique,lit-on encore.