Population totale 42,2 millions (2018)
- Moins de 15 ans: 29,3% (2016)
- plus de 60 ans: 8,9% (2016)
- Espérance de vie à la naissance (années) (2016)
73.8 (H)
77.1(H+F)
78(F)
- Couverture par le vaccin DTC3 chez les enfants d’un an 91% (2016)
-Total des dépenses de santé en pourcentage du produit intérieur brut: 7.1% (2015)
- Dépenses publiques générales pour la santé en pourcentage du total des dépenses publiques: 10.7% (2015)
- Nombre de médecins pour 1000 habitants: 1.924 (2018)
- Naissances assistées par du personnel de santé qualifié: 96.6% (2012)
- Population utilisant les services d’assainissement de manière sûr: 90% (2018)
- Population utilisant les services d’eau potable gérés de manière sûr: 98% (2015)
L’Algérie a réalisé des progrès notables en matière de santé. Le taux de couverture vaccinale est supérieur à 90%. L’incidence de la mortalité maternelle est de 60.3pour 100 000 naissances en 2016contre 230 en 1989 et le tauxde mortalité juvénile est de 25.4pour 1 000 en 2013 alors qu’il était de 55.7 pour 1000en 1990. La mortalité infantile est de 22.4 en 2013 contre 46.8 pour 1 000 en 1990. Pour la mortalité néonatale elle était de 23 pour 1000 naissances vivantes en 1990 contre 14 seulement en 2013. L’incidence de la tuberculose est de 53.5 pour 100000 habitants en 2013 contre 62.8 en 2003. La même tendance est observée pour la tuberculose pulmonaire à microscopie positive dont l’incidence est passée de 27,3 cas en 2003 à 18,6 cas en 2013.
L’incidence du VIH est de 0.1% et l’épidémie se concentre dans les populations-clés que sont les PS, les HSH et les UDI avec un taux de prévalence respectif estimé à 10,25%, 12,5% et 2,8%. Le dépistage, la prise en charge et le traitement des patients atteints par le VIH sont totalement gratuits.
Les défis auxquels fait face l’Algérie en matière de santé sont:1) diminuer la double charge de morbidité et mortalité due à la transition épidémiologique à travers la prévention, la prise en charge, la recherche et la surveillance 2) réduction du poids des maladies transmissibles, maternelles, périnatales 3)promotion de la santé (avec sa nécessaire dimension d’intersectorialité) 4)la fourniture de soins de santé équitables, abordables, efficaces et de qualité 5) répondre aux défis de la transition démographique contrariée, caractérisée par un vieillissement rapide de la population concomitant avec une augmentation du nombre des naissances, 6)réagir efficacement contre la survenue d’épidémies de maladies émergentes ou ré-émergentes, d’ampleur variable dansle cadre de son dispositif de surveillance sanitaire, 7) s’adapter aux nouvelles exigences de la prévention et de la lutte contre les maladies, dans le cadre du nouveau Règlement Sanitaire International(RSI) qui aété adopté et intégré dans l’arsenal réglementaire national, sous la forme d’un décret présidentiel.La transition vers les ODD constitue un nouveau challenge pour l’Algérie et qui orientera les efforts consentis en matière de santé.
L’OMS, dans son rôle de partenaire technique de référence en matière de santé, a su apporter au ministère de la santé l’appui technique et quelques fois financier nécessaires pour l’élaboration des politiques, stratégies et plans pour le renforcement du système de santé. Ces appuis ont contribué à ce que le pays dispose de documents stratégiques pertinents notamment : un document sur la stratégie multisectorielle de la lutte contre les maladies non transmissibles.L’appui a porté également sur l’élaboration du plan d’action pour la mise en œuvre du Règlement Sanitaire International (RSI). Appui à l’élaboration de la stratégie des ressources humaines en santé et à la mise en place de l’Observatoire algérien des ressources humaines en santé. Dans le cadre de la Couverture santé universelle (CSU), l’OMS apporte un appui pour progresser vers la CSU d’une façon dynamique.
La coopération de l’OMS avec l’Algérie s’inscrit dans plusieurs plans et stratégies. La Stratégie de Coopération Pays (CCS) qui couvre la période 2016-2020. Cette coopération constitue une interface ente les priorités sanitaires définies par le Gouvernement et celles définies dans le 12èmePlan de travail de l’OMSqui couvre la période 2014-2019.Une revue à mi-parcours de la CCS avec les partenaires est attendue au cours de l’année 2018.L’OMS apporte également son appui dans le cadre du Cadre de Coopération Stratégique (CdCS) du Système des Nations Unies. Dans ce cadre de coopération entre le SNU et l’Algérie,l’OMS apporte son appui dans l’axe «Développement social» en matière de santé.Concrètement, l’OMS intervient en matière de la santé de la mère et de l’enfant, des maladies non transmissibles et des maladies transmissibles.
Organisation mondiale de la Santé
- Moins de 15 ans: 29,3% (2016)
- plus de 60 ans: 8,9% (2016)
- Espérance de vie à la naissance (années) (2016)
73.8 (H)
77.1(H+F)
78(F)
- Couverture par le vaccin DTC3 chez les enfants d’un an 91% (2016)
-Total des dépenses de santé en pourcentage du produit intérieur brut: 7.1% (2015)
- Dépenses publiques générales pour la santé en pourcentage du total des dépenses publiques: 10.7% (2015)
- Nombre de médecins pour 1000 habitants: 1.924 (2018)
- Naissances assistées par du personnel de santé qualifié: 96.6% (2012)
- Population utilisant les services d’assainissement de manière sûr: 90% (2018)
- Population utilisant les services d’eau potable gérés de manière sûr: 98% (2015)
L’Algérie a réalisé des progrès notables en matière de santé. Le taux de couverture vaccinale est supérieur à 90%. L’incidence de la mortalité maternelle est de 60.3pour 100 000 naissances en 2016contre 230 en 1989 et le tauxde mortalité juvénile est de 25.4pour 1 000 en 2013 alors qu’il était de 55.7 pour 1000en 1990. La mortalité infantile est de 22.4 en 2013 contre 46.8 pour 1 000 en 1990. Pour la mortalité néonatale elle était de 23 pour 1000 naissances vivantes en 1990 contre 14 seulement en 2013. L’incidence de la tuberculose est de 53.5 pour 100000 habitants en 2013 contre 62.8 en 2003. La même tendance est observée pour la tuberculose pulmonaire à microscopie positive dont l’incidence est passée de 27,3 cas en 2003 à 18,6 cas en 2013.
L’incidence du VIH est de 0.1% et l’épidémie se concentre dans les populations-clés que sont les PS, les HSH et les UDI avec un taux de prévalence respectif estimé à 10,25%, 12,5% et 2,8%. Le dépistage, la prise en charge et le traitement des patients atteints par le VIH sont totalement gratuits.
Les défis auxquels fait face l’Algérie en matière de santé sont:1) diminuer la double charge de morbidité et mortalité due à la transition épidémiologique à travers la prévention, la prise en charge, la recherche et la surveillance 2) réduction du poids des maladies transmissibles, maternelles, périnatales 3)promotion de la santé (avec sa nécessaire dimension d’intersectorialité) 4)la fourniture de soins de santé équitables, abordables, efficaces et de qualité 5) répondre aux défis de la transition démographique contrariée, caractérisée par un vieillissement rapide de la population concomitant avec une augmentation du nombre des naissances, 6)réagir efficacement contre la survenue d’épidémies de maladies émergentes ou ré-émergentes, d’ampleur variable dansle cadre de son dispositif de surveillance sanitaire, 7) s’adapter aux nouvelles exigences de la prévention et de la lutte contre les maladies, dans le cadre du nouveau Règlement Sanitaire International(RSI) qui aété adopté et intégré dans l’arsenal réglementaire national, sous la forme d’un décret présidentiel.La transition vers les ODD constitue un nouveau challenge pour l’Algérie et qui orientera les efforts consentis en matière de santé.
L’OMS, dans son rôle de partenaire technique de référence en matière de santé, a su apporter au ministère de la santé l’appui technique et quelques fois financier nécessaires pour l’élaboration des politiques, stratégies et plans pour le renforcement du système de santé. Ces appuis ont contribué à ce que le pays dispose de documents stratégiques pertinents notamment : un document sur la stratégie multisectorielle de la lutte contre les maladies non transmissibles.L’appui a porté également sur l’élaboration du plan d’action pour la mise en œuvre du Règlement Sanitaire International (RSI). Appui à l’élaboration de la stratégie des ressources humaines en santé et à la mise en place de l’Observatoire algérien des ressources humaines en santé. Dans le cadre de la Couverture santé universelle (CSU), l’OMS apporte un appui pour progresser vers la CSU d’une façon dynamique.
La coopération de l’OMS avec l’Algérie s’inscrit dans plusieurs plans et stratégies. La Stratégie de Coopération Pays (CCS) qui couvre la période 2016-2020. Cette coopération constitue une interface ente les priorités sanitaires définies par le Gouvernement et celles définies dans le 12èmePlan de travail de l’OMSqui couvre la période 2014-2019.Une revue à mi-parcours de la CCS avec les partenaires est attendue au cours de l’année 2018.L’OMS apporte également son appui dans le cadre du Cadre de Coopération Stratégique (CdCS) du Système des Nations Unies. Dans ce cadre de coopération entre le SNU et l’Algérie,l’OMS apporte son appui dans l’axe «Développement social» en matière de santé.Concrètement, l’OMS intervient en matière de la santé de la mère et de l’enfant, des maladies non transmissibles et des maladies transmissibles.
Organisation mondiale de la Santé
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