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Le Polisario surfe sur la vague du nouveau coronavirus pour épingler le Maroc

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  • Le Polisario surfe sur la vague du nouveau coronavirus pour épingler le Maroc

    Ce qui est valable pour les prisonniers politiques sahraouis en dictature marocaine l'est tout autant pour les prisonniers politiques palestiniens incarcérés par Israël.


    - Même au moment d’une pandémie, le Front Polisario ne rate aucune occasion pour tirer sur le Maroc.

    Dimanche, le secrétaire général du mouvement séparatiste a envoyé une énième lettre au secrétaire général des Nations unies. Une missive adressée pour «attirer l'attention d’Antonio Guterres sur la situation dangereuse dans laquelle se trouvent les prisonniers civils sahraouis dans les prisons marocaines».

    Dans sa lettre, reprise par les relais médiatiques du Front, Ghali appelle l'ONU à «intervenir d'urgence pour libérer immédiatement» ces prisonniers et «éviter» une «tragédie humanitaire dans les prisons, à la lumière de la propagation du nouveau coronavirus».

    «Avec l'escalade de la pandémie de Corona dans diverses parties du monde, y compris le Royaume du Maroc, la situation de ces prisonniers laisse présager une évolution dangereuse, en ce qui constitue une menace réelle pour leur vie, en raison des conditions de vie difficiles dans les prisons de l'Etat d'occupation marocain», abonde-t-il.

    Et d’assurer, sans jamais avoir mis les pieds dans une prison marocaine, que «la propagation de l'épidémie de ce virus dangereux et les mesures urgentes nécessaires, notamment pour éviter les grands rassemblements et la surpopulation, sont en totale contradiction avec la situation dans laquelle ces prisonniers civils se trouvent dans des prisons marocaines réputées pour leur surpopulation».

    «La communauté internationale ne peut rester indifférente à un tel mépris de la vie humaine», conclut-il sa lettre.

    A rappeler que la Direction générale de l’administration pénitentiaire et de la réinsertion a annoncé, la semaine dernière, une batterie de mesures justement destinées à lutter contre la propagation du nouveau coronavirus.

    Ya...bi

  • #2
    Helas !!! personne ne les entend.

    Autant dire qu'ils lancent des messages a eux-meme.

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    • #3
      Des milliers de gens dans le monde sont entrain de mourir et les harkis traîtres nous parasitent avec quelques egorgeurs assoiffés de sang qui injustement vivent la belle vie dans la prison alors qu'ils auraient du être exécutés.
      Et les chitas qui les soutiennent qui n'ont aucune honte de relayer leurs parasitages ici et ailleurs ne valent pas mieux.

      Commentaire


      • #4
        " Helas !!! personne ne les entend.

        Autant dire qu'ils lancent des messages a eux-meme.
        ".

        Du tout. Tant les Palestiniens que les Sahraouis doivent dénoncer les conditions dans lesquelles sont incarcérés leurs révolutionnaires par les deux immondes dictatures que sont le Maroc et Israël.

        Commentaire


        • #5
          On sait que le Maroc est déjà une prison et pourquoi donc incarcérer des militants?

          Afin que le narcotrafiquant et additif à la coke M6 puisse les gracier lors d'un événement!:22:

          - Les prisons marocaines face au danger de propagation du coronavirus

          Alors que la distanciation sociale est devenue une recommandation essentielle du ministère de la Santé pour la prévention contre le nouveau coronavirus, le milieu carcéral pourrait constituer le talon d'Achille du confinement en pétiode d'Etat d'urgence sanitaire.


          Une mesure sanitaire et humanitaire urgente en temps de pandémie du coronavirus, une chance historique pour une réparation aux détenus politiques et d’opinion, la remise en liberté de prisonniers se pose de plus en plus. Si l’état d’urgence sanitaire a pris effet vendredi dernier au Maroc, la Direction générale à l’administration pénitentiaire et à la réinsertion (DGAPR) n’a pas annoncé de remise en liberté concernant principalement ces deux catégories, mais plutôt des mesures préventives dans les prisons.

          Parmi ces démarches, la fréquence des visites familiales a été fixée à une fois par mois, avec la désignation d’un visiteur unique par détenu. Aussi, les nouveaux admis dans les prisons sont isolés durant 14 jours, avant qu’une cellule ne leur soit attribuée. Selon la DGAPR, le personnel carcéral est pour sa part muni de masques et veille au respect des distances nécessaires à éviter tout contact, lors des visites.

          Mais pour des proches de détenus ainsi que les acteurs de la société civile qui suivent la situation carcérale du pays, ces mesures n’excluent pas un risque de contagion qui deviendrait vite dramatique en milieu clos.
          Eviter que les prisons soient cernées par le virus

          C’est justement ce sur quoi alerte l’Observatoire marocain des prisons (OMP). En plus des dispositions annoncées par la DGAPR, il recommande de «mettre à disposition des détenus les produits désinfectants et d’hygiène recommandées, de réduire le nombre de détenus par cellules et de veiller à la désinfection des locaux».

          Plus que cela, il appelle à la mise en œuvre de «mesures urgentes», comme la libération «avant expiration de leurs peines» les détenus censés sortir courant mars 2020. L’association préconise également de «libérer les mineurs en attente de leurs procès», les personnes «âgées de plus de 65 ans» et «les prisonniers d’opinion et les militants pacifiques» pour diminuer la densité carcérale.

          Dans un espace déjà clos, l’urgence sanitaire risque en effet de cloîtrer davantage les prisonniers. D’ailleurs, l’OMP a annoncé, dès le 17 mars, être «dans l’obligation de suspendre momentanément ses activités publiques ainsi que ses activités dans le milieu carcéral, telles que les activités de sensibilisation en direction des détenus et de leurs familles». Sont également suspendues l’«assistance juridique aux détenus et la mise en œuvre des microprojets de réinsertion portés par des organisations de la société civile».
          Les craintes que les populations carcérales soient ainsi plus marginalisées en temps de pandémie s’est illustré de différentes manières, dans les autres pays. En Italie, certaines prison ont ainsi été le théâtre de mutineries, enregistrant au moins dix morts parmi les détenus et des dizaines d’évasions. En France, les détenus se plaignent également des conditions d’hygiène malgré les mesures préventives obligatoires.

          Diminuer la population carcérale pour une meilleure prise en charge sanitaire
          L’appel des organisations marocaines au sujet des prisons du royaume fait écho à celui d’Ahmed Zefzafi, président de l’Association Tafra pour la solidarité et la fidélité, qui regroupe les familles des détenus du Hirak du Rif.

          Père de Nasser Zefzafi, il déclare ce lundi à Ya..bi que «ces militants-là sont des innocents, que l’Etat gagnera à libérer en ces temps de crise sanitaire, d’abord parce qu’ils n’ont rien fait, mais aussi parce que les mesures préventives contre le virus dans les prisons ne sont pas efficaces».

          Préconisant que ces circonstances soient l’occasion de revoir la politique carcérale, l’Association marocaine des droits humains (AMDH) a appelé, dès ce week-end, à prioriser la libération des détenus d’opinion et ceux arrêtés lors de contestations sociales. «En cas d’infection dans les prisons et de propagation parmi les détenus, le droit à la vie des ces catégories sera encore plus menacé, surtout que l’état de santé de nombre parmi eux est fragilisé par des grèves de la faim répétées», indique l’ONG dans son appel parvenu à Ya….bi.

          Dans ce sens, le Comité national de solidarité avec Omar Radi, les détenus d’opinion et pour la liberté d’expression au Maroc a appelé, dimanche, à une libération urgente. Il rappelle les recommandations du Conseil des droits de l’Homme de l’ONU, soulignant que «la lutte contre l’épidémie doit être menée dans le respect des droits humains». Le Comité rappelle également que l’instance onusienne estime que «les forces publiques ne doivent pas profiter des mesures spéciales nécessaires à affronter le virus pour viser des militants ou restreindre des libertés» élémentaires.

          Membre du comité central de l’AMDH, ancienne présidente de l’ONG et actuellement coordinatrice du secrétariat du Comité national de solidarité, Khadija Riadi estime auprès de ******** que «des mesures salutaires comme la libération de 250 mineurs et la suspension des comparutions non-urgentes par le ministère public ont été mises en œuvres», mais que «cela n’est pas encore suffisant pour garantir les conditions sanitaires spécifiques à la prévention contre le coronavirus» dans les prisons.

          «Commençons par la libération des détenus politiques et d’opinion, car leurs vies sont doublement en danger», estime-t-elle.

          «La situation des prisons au Maroc était déjà alarmante avant la crise sanitaire liée à la pandémie, que ce soit au niveau de la surpopulation, des conditions d’hygiène, de soins, d’alimentation. Cela rend la population carcérale extrêmement vulnérable et donc en proie au virus.»
          Khadija Riadi

          La militante tient à souligner que «ce n’est pas un appel à libérer des personnes ayant commis des crimes de sang avérés, de banditisme et d’agressions punies par la loi». Pour elle, «il s’agit d’améliorer les conditions de détention de ces personnes-là, notamment dans le contexte de la pandémie, en libérant ceux détenus arbitrairement, ou encore en détention préventive alors qu’ils remplissent les garanties nécessaires à leur comparution».

          Dans le même sens, Khadija Riadi rappelle que pour améliorer en urgence les services sanitaires carcéraux, d’autres pays touchés par le coronavirus, comme l’Iran et la Turquie, ont remis en liberté des milliers de prisonniers. Pour la militante, «c’est le moment de régler la problématique des détentions préventives, qui sont l’une des causes principales de cette surpopulation», comme l’ont mentionné précédemment l’OMP ou encore le Conseil national des droits de l’Homme (CNDH).

          Ahmed Zefzafi conclut en adressant un message aux autorités : «C’est à l’Etat de montrer l’exemple et de nous faire savoir si, dans ce contexte de pandémie, il se préoccupe de la vie de ses détenus».

          Ya...bi

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          • #6
            Une preuve supplémentaire que le Maroc est une dictature aboutie. Sinon, pourquoi elle enferme autant de gens (les prisons marocaines sont davantage peuplées que celle française)?

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            • #7
              des rago ..ts

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              • #8
                " des rago ..ts "

                Bof, je n'accorde aucun crédit à un maroquin et qui plus est malade psychotique.

                - El Ouardi: «48,9% des Marocains souffrent de troubles psychiques»

                Tel Quel.ma

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                • #9
                  Le Polisario surfe sur la vague
                  Surfe!!!
                  Que connaît il du surf, il n'y a pas la mer à tindouf, rien que du sable des cailloux qui les lui feront se casser la gueule s'il ''surfe'' la bas.

                  La honte de profiter d'un drame planétaire pour des buts politiques ne le fait évidemment pas rougir, ni lui ni les chitas qui le soutiennent ici et ailleurs.
                  Wjouh qazdir.

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                  • #10
                    Chameau rago,regardes ta bosse avant de critiquer


                    L’opposant algérien Karim Tabbou condamné à un an de prison en appel
                    Conduit au tribunal sans la présence de ses avocats, il a été victime d’un malaise à la barre et a dû être évacué avant l’énoncé du verdict.

                    Par Madjid Zerrouky Publié hier à 21h42
                    Le Monde
                    Manifestation pour la libération de Karim Tabbou dans les rues d’Alger, le 24 janvier 2 020 (Photo by RYAD KRAMDI / AFP)
                    Manifestation pour la libération de Karim Tabbou dans les rues d’Alger, le 24 janvier 2 020 (Photo by RYAD KRAMDI / AFP) RYAD KRAMDI / AFP
                    Dans un message diffusé par sa famille il y a quelques jours, l’opposant algérien Karim Tabbou appelait ses sympathisants à ne pas se présenter aux portes de sa prison pour célébrer sa libération, prévue le 26 mars, afin de respecter les mesures de prévention liées à l’épidémie du coronavirus. Ils ne viendront pas. Et lui ne sortira pas.

                    Au terme d’un procès surprise et expéditif, le fondateur de l’Union démocratique et sociale (UDS) et ancien premier secrétaire du Front des forces socialistes (FFS), le plus ancien parti d’opposition, a été condamné en appel, mardi 24 mars, à une année de prison ferme. En son absence. Victime d’un malaise à la barre, il a dû être évacué avant l’énoncé du verdict.

                    Arrêtée en septembre, cette figure du Hirak, le mouvement populaire, avait été condamnée à une peine d’un an de prison, dont six mois ferme, le 11 mars pour « atteinte à la sécurité nationale ». Il devait donc être libéré jeudi, mais le procureur avait fait appel de sa première condamnation. Mardi matin, à la stupeur de ses avocats, M. Tabbou a été présenté devant la cour d’Alger sans que ces derniers n’en soient informés. Ils ont finalement appris la nouvelle par sa famille, et notamment via un appel sur les réseaux sociaux lancé pas son frère : « Alerte : programmation du procès en appel dans l’affaire Karim Tabbou aujourd’hui sans que la défense soit au courant (). J’appelle tous les avocats à rejoindre la cour de Ruisseau pour faire face à cet acharnement de la justice contre Karim Tabbou ».

                    Un dérapage grave
                    Transféré depuis sa cellule, l’opposant se serait effondré, victime d’un problème de tension artérielle. « Karim Tabbou est actuellement dans une infirmerie. Il souffre d’une paralysie faciale après un pic de tension et le juge veut quand même maintenir le procès », a témoigné l’avocat Me Abdelghani Badi, accouru sur place. « C’est un dérapage grave et le pouvoir judiciaire et politique en portent la responsabilité », s’indigne l’avocate Zoubida Assoul. « Le comportement de la justice est sans précédent depuis l’indépendance », ajoute son confrère Moustapha Bouchachi, lui aussi membre du collectif d’avocats qui défendent l’opposant.
                    « Arrivé sur les lieux, le prévenu Karim Tabbou a refusé de comparaître sans la présence de ses avocats en usant de ses droits (…). Le juge lui a dénié ce droit et, sous la pression, Karim Tabbou a fait un malaise devant ses yeux et refusé la demande de renvoi du procès. Le procès en deuxième instance a été programmé pour l’empêcher de quitter la prison », juge la Ligue algérienne pour la défense des droits de l’homme (LADDH). « Ce qui s’est passé aujourd’hui est un précédent grave, qui s’ajoute à tous les dysfonctionnements et égarements du système judiciaire algérien qui, visiblement, n’arrive pas à se libérer de l’emprise de l’exécutif », ajoute l’organisation. Elle souligne que le procès a été programmé en pleine trêve sanitaire observée par le Hirak - les opposants ayant suspendu les manifestations - suite à l’apparition de l’épidémie du Covid-19.
                    Believe YOU CAN & you're HALFWAY there

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                    • #11
                      Maroc: 20 ans de prison pour les meneurs du "Hirak"


                      Les meneurs du "Hirak", le mouvement de contestation sociale qui a agité le Maroc en 2016-2017, ont été condamnés mardi soir à Casablanca à des peines allant jusqu'à 20 ans de prison, à l'issue d'un procès-fleuve de neuf mois.

                      Le leader du mouvement, Nasser Zefzafi, ainsi que trois autres meneurs, Nabil Ahmjiq, Ouassim Boustati et Samir Ighid, ont écopé de la peine la plus lourde pour "complot visant à porter atteinte à la sécurité de l'Etat", un chef d'accusation passible selon les textes de la peine de mort.

                      Au total, 53 personnes comparaissaient lors de ce procès. La peine la moins lourde se limite à un an de prison, couvrant la détention préventive, et 5.000 dirhams (environ 450 euros) d'amende, selon le verdict prononcé par la chambre criminelle de la cour d'appel de Casablanca en l'absence des accusés.

                      Trois d'entre eux, Mohamed Haki, Zakaria Adehchour et Mahmoud Bouhenoud ont été condamnés à 15 ans de prison, sept à 10 ans de prison, également pour "complot visant à porter atteinte à la sécurité de l'Etat".

                      Sous le choc, des proches des accusés, présents dans la salle d'audience, ont poussé des cris de détresse quand les peines les plus lourdes ont été prononcées, a constaté un journaliste de l'AFP. Quelques rares militants ont scandé des slogans de solidarité, comme "vive le Rif" ou "Nous sommes Zefzafi".

                      "Test"

                      "Ce sont des peines très lourdes. L'Etat a échoué dans ce test de respect des droits de l'homme et des libertés essentielles, tout comme l'indépendance de la justice", a déclaré à l'AFP l'un des avocats de la défense, Souad Brahma-.

                      Le Point.fr

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                      • #12
                        rago @

                        Pomaria est plus courageuse que toi.Vas faire un petit tour sur son post.

                        Pomaria
                        FA. legend

                        Le Procureur général du Régime MAFFIEUX refuse d'accueillir les avocats de TABOU pour se renseigner sur sa santé

                        Quelle justice..!!!!

                        SAUVONS Karim TABOU de ces Criminels MAFFIEUX

                        Après avoir laissé sciemment le Coronavirus se propager parmi la population dans tout le pays

                        voilà qu'il est en train de s'attaquer et de chercher à éliminer tous les PATRIOTES de ce pays !

                        On se rend compte maintenant que CE RÉGIME CRIMINEL MAFFIEUX est bien PIRE que tout ce qu'on pouvait imaginé avant !
                        Believe YOU CAN & you're HALFWAY there

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