Pourquoi Tebboune ne rend pas visite aux médecins pour les encourager et s’enquérir de leurs problèmes face au Coronavirus ?
En pleine crise sanitaire, Emmanuel Macron n’arrête pas de faire des visites aux hôpitaux pour rendre hommage au personnel soignant. Le mercredi 25 mars, il était à Mulhouse, le fief du Coronavirus pour visiter l'hôpital de campagne militaire monté juste à côté de l'hôpital de la ville. Nous avons vu des images similaires du président russe Vladimir Poutine.
Au lieu de cela Tebboune adresse une lettre au personnel de santé pour leur dire qu’il a honte de ne pas être sur le terrain avec eux.
« Je suis avec beaucoup de fierté vos efforts dans la lutte contre l’épreuve de l’épidémie et je vous avoue que, parfois, j’ai honte de ne pas pouvoir être sur le terrain aux côté du spécialiste, du médecin, du résident, de l’agent de permanence, de l’infirmier et de l’infirmière, aux urgences, dans les laboratoires des hôpitaux et des cliniques, avec le conducteur d’ambulance et tous les agents de la santé et les administratifs dont les efforts ne s’estompent pas, partout, jour et nuit »
« Vous êtes sur terrain, voire sur le champ d’honneur, en train de combattre pour sauver les vies des citoyens (…) et je suis certain, car connaissant votre sens élevé d’humanisme, que le plus dur pour vous c’est le moment où vous ne pouvez rien contre la volonté de Dieu »
« Parfois avec des moyens insuffisants, aux avant-postes dans cette guerre féroce, avec une volonté de fer sans limites, pour combattre une épidémie meurtrière, malveillante, qui ne se voit qu’à travers ses résultats, et qui s’estompera inévitablement, mais quand et à quel prix ? Dieu seul le sait. »
En pleine crise sanitaire, Emmanuel Macron n’arrête pas de faire des visites aux hôpitaux pour rendre hommage au personnel soignant. Le mercredi 25 mars, il était à Mulhouse, le fief du Coronavirus pour visiter l'hôpital de campagne militaire monté juste à côté de l'hôpital de la ville. Nous avons vu des images similaires du président russe Vladimir Poutine.
Au lieu de cela Tebboune adresse une lettre au personnel de santé pour leur dire qu’il a honte de ne pas être sur le terrain avec eux.
« Je suis avec beaucoup de fierté vos efforts dans la lutte contre l’épreuve de l’épidémie et je vous avoue que, parfois, j’ai honte de ne pas pouvoir être sur le terrain aux côté du spécialiste, du médecin, du résident, de l’agent de permanence, de l’infirmier et de l’infirmière, aux urgences, dans les laboratoires des hôpitaux et des cliniques, avec le conducteur d’ambulance et tous les agents de la santé et les administratifs dont les efforts ne s’estompent pas, partout, jour et nuit »
« Vous êtes sur terrain, voire sur le champ d’honneur, en train de combattre pour sauver les vies des citoyens (…) et je suis certain, car connaissant votre sens élevé d’humanisme, que le plus dur pour vous c’est le moment où vous ne pouvez rien contre la volonté de Dieu »
« Parfois avec des moyens insuffisants, aux avant-postes dans cette guerre féroce, avec une volonté de fer sans limites, pour combattre une épidémie meurtrière, malveillante, qui ne se voit qu’à travers ses résultats, et qui s’estompera inévitablement, mais quand et à quel prix ? Dieu seul le sait. »
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