Annonce

Réduire
Aucune annonce.

CORONAVIRUS: L’ONU demande la libération de TOUS les prisonniers. Nos MAFFIEUX font le contraire avec le HIRAK !

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • CORONAVIRUS: L’ONU demande la libération de TOUS les prisonniers. Nos MAFFIEUX font le contraire avec le HIRAK !

    Face aux ravages du CORONAVIRUS au niveau des PRISONS:
    L’ONU demande la libération URGENTE de TOUS les prisonniers.
    Nos MAFFIEUX font le contraire le HIRAK





    Coronavirus : l’ONU demande la libération des détenus pour éviter les ravages de la pandémie, l’Algérie remplis ses prisons par des détenus d’opinion

    Algérie Part

    L’ONU a appelé officiellement a libéré les détenus dans les prisons pour éviter les ravages de la pandémie du coronavirus COVID-19.

    La Haut-Commissaire aux droits de l’Homme de l’ONU Michelle Bachelet a appelé mercredi 25 mars à la libération urgente de détenus à travers le monde pour éviter que la pandémie de Covid-19 ne fasse des «ravages» dans les prisons souvent surpeuplées.

    L’Algérie n’a pas répondu favorablement à cet appel puisqu’elle vient de remplir encore davantage ses prisons avec des détenus d’opinion, à savoir des journalistes et des militants pacifiques qui n’expriment que leurs opinions politiques. Une situation inédite.

    Et pourtant, l’ONU exhorte «les gouvernements et les autorités compétentes à travailler rapidement pour réduire le nombre de personnes en détention», en libérant par exemple «les détenus les plus âgés et ceux malades, ainsi que les délinquants présentant un risque faible».

    L’Algérie fait exactement le contraire prenant ainsi le risque de transformer ses prisons en un foyer de propagation du nouveau coronavirus le COVID-19.

    Preuve en est, le prolongement de la détention arbitraire de l’opposant Karim Tabbou à la prison de Koléa, la nouvelle mise sous mandat de dépôt décidée hier par le tribunal de Sidi M’hamed pour le journaliste Khaled DRARENI, la détention arbitraire a été également prolongée pour les militants du Hirak Samir Belarbi et Toufik Hassani.

    D’autres activistes risquent aussi de rejoindre les prisons dans les heures, voire jours à venir à l’image de l’activiste Abdelhak Oubraham, originaire de Souk Oufella (Béjaïa), mais qui vient d’être interpellé et arrêté hier mercredi 25 mars, par les services de sécurité à Ouargla, dans son lieu de travail.

    Il sera présenté aujourd’hui jeudi 26 Mars, au tribunal de la même ville de Ouargla.

    A travers plusieurs autres wilayas du pays, des arrestations et interpellations ont été signalées, déplorées.

    Des militants désarmés et pacifiques finissent automatiquement dans les cellules de prison.

    Selon plusieurs sources judiciaires contactées par Algérie Part, il y a au moins 1200 détenus algériens poursuivis ou incarcérés pour des motifs liés au Hirak. En pleine pandémie du coronavirus, les prisons algériennes sont surpeuplées par des détenus qui ne présentent aucun danger pour la société. Beaucoup d’entre eux sont sous mandat de dépôt et n’ont même pas été encore jugés. Les prisons algériennes, une véritable bombe sanitaire à retardement…




    Dernière modification par Pomaria, 27 mars 2020, 20h17.
    Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

    Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

  • #2
    Cri Mme Fatima Asselah est Professeur en Médecine, ancienne cheffe de service à l’hôpital Mustapha d’Alger.


    Appel à Monsieur le Président de la République pour libérer en urgence les détenus d’opinion




    Tenant compte de la gravité de la pandémie à Coronavirus, de son extrême contagiosité, et du fait que le milieu carcéral est propice à la propagation de l’infection, il est de la responsabilité du premier magistrat du pays de libérer au plus vite les détenus d’opinion.

    Nos prisons sont surpeuplées, et ne peuvent respecter les recommandations de l’OMS pour éviter l’expansion de l’épidémie.
    Par ailleurs, les conditions d’internement affaiblissent le détenu l’exposant à des formes graves voire mortelles de la maladie. Aussi, il serait sage de libérer au plus vite les détenus d’opinion, afin d’éviter des drames dont les répercussions seraient fâcheuses pour eux, pour leurs familles et pour l’ensemble des Algériens.


    Il serait sage de libérer aussi les détenus de délits mineurs, à la fois pour les protéger contre l’infection, et leur éviter une sentence disproportionnée. Ces détenus seront de toute façon libérés à court terme avec de grandes chances d’être infectés, ce qui représenterait un risque pour les gardiens de prisons et le reste de la population.


    Ces mesures permettent de réduire en urgence la dangereuse surpopulation carcérale. Les mesures prises dans le milieu carcéral à Annaba, rapportées dans El Watan du jeudi 19 mars en page 5, visent à couper du monde extérieur les détenus, ce qui aggrave leur détresse psychique sans réduire le risque de contagion, le virus étant vraisemblablement déjà en circulation depuis quelques semaines.


    Des pays, aussi développés que l’Italie, arrivent difficilement à assurer une prise en charge médicale à tous. Comment pourrait-on faire mieux ? Les mesures que nous proposons pour réduire la mortalité et le poids de la prise en charge médicale de nos malades sont urgentes. J’espère, Monsieur le Président, que cet appel trouvera une écoute auprès de vous.

    *Contribution. Mme Fatima Asselah est Professeur en Médecine, ancienne cheffe de service à l’hôpital Mustapha d’Alger.
    Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

    Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

    Commentaire


    • #3
      Afghanistan

      En Afghanistan pays ravagé par lle terrorisme ils vont libérer 80.000 prisonniers à cause du Coronavirus.

      Commentaire

      Chargement...
      X