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Chirac dénonce le "procédé scandaleux" du Canard Enchaîné

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  • Chirac dénonce le "procédé scandaleux" du Canard Enchaîné

    «Procédé scandaleux et inacceptable», «allégations totalement infondées et mensongères»... Fait rare, l'Elysée a réagi à deux reprises mercredi aux allégations du Canard Enchaîné, «qui sont strictement sans fondement, [et] n'appellent aucun commentaire».

    En cause : un article où l’hebdomadaire affirme qu’un accord a été passé entre Nicolas Sarkozy et Jacques Chirac. En échange du soutien du chef de l’Etat, le candidat de l’UMP se serait engagé, s’il est élu, à faire le nécessaire pour lui éviter d’être confronté à la justice.

    Selon les informations du Canard, qui cite un «familier du chef de l’Etat», Nicolas Sarkozy a refusé l’idée d’une amnistie spécifique. Il aurait en revanche envisagé d’intégrer au projet de loi destiné à renforcer la lutte contre la délinquance un article spécifique. Selon un «chiraquien» cité par l’hebdomadaire, ce texte «imposera aux juges de clore leurs dossiers dans des délais très stricts […], pas plus d’une dizaine d’années», pour les délits.

    Pour appuyer sa thèse, le journal satirique cite également un article du Figaro, qui évoque les discussions régulières entre le chef de l’Etat et Nicolas Sarkozy à propos de «emplois fictifs de la Ville de Paris et de l'éventuelle implication de Jacques Chirac».

    Trois «affaires» concernées ?

    Une réforme des délais d’instruction, réclamée par la Cour européenne des Droits de l’Homme, permettrait à Jacques Chirac d’éviter trois affaires qui remontent à plus d’une décennie : l’emploi fictif d’une secrétaire au RPR ; les fausses factures présumées de l’imprimerie municipale Sempap ; et d’autres salariés «fantômes» de la mairie de Paris.

    Les affirmations du Canard ont déclenché une tempête de réactions à gauche et au centre. De son côté, Nicolas Sarkozy a vivement critiqué cet article, «grotesque, blessant, mensonger». Xavier Bertrand, l’un des porte-paroles du candidat, a quant à lui accusé l'hebdomadaire satirique de «tirer la campagne vers le bas».

    Par Le figaro

  • #2
    A ce point? il n'y a que la vérité qui fache....

    Commentaire

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