Cher(e) ami(e) de la Santé,
Je continue d’être révolté par le fait que le gouvernement n’ait toujours pas distribué à tous les plus de 65 ans des flacons de vitamine D, gratuitement.
C’est un des remèdes préventifs les plus prometteurs contre le Covid-19 et ses complications[1].
Il ne présente aucun risque et ne coûte quasiment rien.
Alors pourquoi ne le fait-on pas ?
Parce que donner des remèdes naturels en prévention, c’est impensable pour la plupart des médecins.
Manipulés malgré eux par Big Pharma, ils ne croient qu’aux vaccins et médicaments chimiques, de préférence récents et hors de prix.
La bonne nouvelle est que cette crise va peut-être changer la donne, pour le futur :
Des chercheurs italiens sont déjà en train de tirer la sonnette d’alarme : les malades italiens qui ont le plus de risques de complication du coronavirus sont, comme on pouvait s’y attendre, souvent carencés en vitamine D.[2]
Aux États-Unis, un ancien chef du CDC, la plus haute autorité de santé américaine (!) a appelé publiquement les Américains carencés à prendre de la vitamine D contre le coronavirus.[3] C’est historique !
Et des chercheurs viennent de pré-publier une étude qui confirme que la vitamine D est une excellente arme de prévention contre la grippe, la pneumonie… et le nouveau coronavirus[4].
Grâce à cette crise, peut-être que les autorités vous conseilleront la vitamine D, chaque automne, pour prévenir les infections hivernales !
Comptez sur moi, en tout cas, pour essayer de pousser cette révolution des mentalités, à mon niveau.
Mais aujourd’hui, je voudrais vous parler d’une autre révolution positive, causée par la crise.
Grâce au Covid-19, les autorités françaises ont reconnu publiquement ce qu’on sait depuis des années :
IL NE FAUT PAS PRENDRE D’ANTI-INFLAMMATOIRES EN CAS D’INFECTION !
Et là encore, c’est le Dr Ménat qui en parle le mieux, dans une vidéo accessible gratuitement sur Youtube :
Incroyable coup de gueule du Dr Ménat sur les anti-inflammatoires et le paracétamol !
Je vous invite à regarder maintenant sa vidéo, cela dure 7 minutes, c’est totalement gratuit, et c’est incroyablement bien dit :
Dr Ménat
Quand vous l’aurez vue, n’oubliez pas de la partager d’urgence avec tous vos contacts, cela pourrait sauver des vies !
Comme le dit le Dr Ménat, cela fait des années qu’on sait qu’il faut éviter de prendre des médicaments anti-inflammatoires en cas d’infections.
Mais on ne vous le disait pas… jusqu’à ce que la crise du Covid-19 éclate.
De ce point de vue, les déclarations récentes me remplissent d’espoir pour la suite !
Oui, les plus grands pharmacologues français sont en train de monter au créneau contre les dégâts de l’ibuprofène et autres anti-inflammatoires !
Voici ce qu’explique le Pr Bernard Begaud, dans le Figaro de ce week-end :
« A l’heure actuelle, nous n’avons pas de démonstration claire que les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) augmentent le risque d’infection et augmentent le risque de forme grave ou de mortalité.
Mais nous savons que l’inflammation est une réponse normale de l’organisme en cas d’infection, c’est un mécanisme de défense. En prenant un anti-inflammatoire, on peut bloquer ce mécanisme de défense »[5]
C’est évident, mais ça fait du bien de l’entendre dire publiquement !
Oui, l’inflammation aiguë est une réaction naturelle de l’organisme, qui est là pour nous soigner.
Il est donc mauvais d’interférer avec cette réaction naturelle, surtout avec un médicament chimique aux effets puissants et mal maîtrisés.
Le même discours salvateur est tenu en ce moment par le Pr Jean Louis Montastruc, membre de l’Académie nationale de médecine :
« Éviter l’ibuprofène est une mesure de précaution. La situation est tellement grave qu’il ne faut pas jouer avec le feu ».[6]
Vous voyez : la crise actuelle permet de dire tout haut qu’on savait depuis longtemps !
Écoutez bien l’aveu de la Pr Joëlle Micallef, citée par le Figaro de ce week-end également :
« Il y a un an, une étude menée par les centres de pharmacovigilance avait démontré qu’en cas d’infection virale, comme une grippe, la prise d’ibuprofène ou de kétoprofène augmentait le risque de surinfection bactérienne ».
C’est important à savoir, en pleine épidémie de Covid-19 !
Car selon le journal médical The Lancet, la moitié des morts du Covid-19 avaient une surinfection bactérienne contre moins de 1 % chez les survivants ! [7]
Mais dites-moi : aviez-vous entendu parler de ces dangers de l’ibuprofène avant la crise actuelle ?
Les pharmaciens avaient-ils arrêté massivement de donner de l’ibuprofène aux clients qui arrivaient avec un état grippal ?
NON, PAS DU TOUT !
Tout ce qu’ont fait les autorités, c’est obliger les pharmaciens à placer l’ibuprofène et d’autres anti-inflammatoires « derrière le comptoir ».
C’est toujours ça de pris, mais cela n’a pas empêché les pharmaciens de continuer à les distribuer comme des bonbons…
…et cela n’a pas empêché le grand public de continuer à les acheter au moindre coup de froid !
Et pourtant, c’est un geste qui cause des morts, chaque hiver, c’est une certitude.
Mais en temps normal, ces morts passent totalement inaperçus.
Il a fallu la crise du Covid-19 pour qu’on reconnaisse ENFIN qu’il faut éviter les anti-inflammatoires en cas d’infection virale !
Et encore, il a fallu attendre les premiers morts du Covid-19 pour que le Ministre de la Santé se réveille.
Alors qu’il aurait pu le dire dès le début de l’épidémie, au mois de février !
Figurez-vous qu’en janvier dernier a eu lieu le Congrès de pneumologie de langue française à Paris.
Et savez-vous ce qu’ils en ont conclu, publiquement ?
Que les anti-inflammatoires comme l’ibuprofène peuvent causer des complications infectieuses pulmonaires sévères !
Voici ce qu’a déclaré, le 27 janvier dernier, la Pr Muriel Fartoukh, de l’hôpital Tenon à Paris :
« Les premiers à donner l’alerte ont été les pédiatres, après avoir constaté la survenue de complications chez des enfants ayant pris de l’ibuprofène alors qu’ils avaient des signes respiratoires comme une toux. Ils observaient la survenue plus fréquente de pleurésies purulentes, des infections de l’enveloppe des poumons ».[8]
Donc, les anti-inflammatoires en cas d’état grippal, il faut arrêter, définitivement.
Maintenant, ne soyons pas naïf.
Savez-vous pourquoi nos autorités françaises sont les seules à dire cela haut et fort ?
Choquant : pourquoi la France est la SEULE à dénoncer l’ibuprofène
Croyez-le ou non, cet avertissement de bon sens contre l’ibuprofène est contesté par :
L’Agence européenne du médicament, qui a déclaré qu’il n’y avait « aucune preuve scientifique » des dangers de l’ibuprofène en cas de Covid-19 ;
L’Organisation mondiale de la Santé[9], qui préfère attendre d’avoir davantage de preuves avant de faire une recommandation formelle ;
Et on observe le même discours officiel au Canada[10] et chez certains experts infectiologues américains.[11]
Toutes ces autorités, tous ces « pontes » font ce qu’ils ont l’habitude faire : minimiser les risques des médicaments et protéger l’industrie pharmaceutique.
Je continue d’être révolté par le fait que le gouvernement n’ait toujours pas distribué à tous les plus de 65 ans des flacons de vitamine D, gratuitement.
C’est un des remèdes préventifs les plus prometteurs contre le Covid-19 et ses complications[1].
Il ne présente aucun risque et ne coûte quasiment rien.
Alors pourquoi ne le fait-on pas ?
Parce que donner des remèdes naturels en prévention, c’est impensable pour la plupart des médecins.
Manipulés malgré eux par Big Pharma, ils ne croient qu’aux vaccins et médicaments chimiques, de préférence récents et hors de prix.
La bonne nouvelle est que cette crise va peut-être changer la donne, pour le futur :
Des chercheurs italiens sont déjà en train de tirer la sonnette d’alarme : les malades italiens qui ont le plus de risques de complication du coronavirus sont, comme on pouvait s’y attendre, souvent carencés en vitamine D.[2]
Aux États-Unis, un ancien chef du CDC, la plus haute autorité de santé américaine (!) a appelé publiquement les Américains carencés à prendre de la vitamine D contre le coronavirus.[3] C’est historique !
Et des chercheurs viennent de pré-publier une étude qui confirme que la vitamine D est une excellente arme de prévention contre la grippe, la pneumonie… et le nouveau coronavirus[4].
Grâce à cette crise, peut-être que les autorités vous conseilleront la vitamine D, chaque automne, pour prévenir les infections hivernales !
Comptez sur moi, en tout cas, pour essayer de pousser cette révolution des mentalités, à mon niveau.
Mais aujourd’hui, je voudrais vous parler d’une autre révolution positive, causée par la crise.
Grâce au Covid-19, les autorités françaises ont reconnu publiquement ce qu’on sait depuis des années :
IL NE FAUT PAS PRENDRE D’ANTI-INFLAMMATOIRES EN CAS D’INFECTION !
Et là encore, c’est le Dr Ménat qui en parle le mieux, dans une vidéo accessible gratuitement sur Youtube :
Incroyable coup de gueule du Dr Ménat sur les anti-inflammatoires et le paracétamol !
Je vous invite à regarder maintenant sa vidéo, cela dure 7 minutes, c’est totalement gratuit, et c’est incroyablement bien dit :
Dr Ménat
Quand vous l’aurez vue, n’oubliez pas de la partager d’urgence avec tous vos contacts, cela pourrait sauver des vies !
Comme le dit le Dr Ménat, cela fait des années qu’on sait qu’il faut éviter de prendre des médicaments anti-inflammatoires en cas d’infections.
Mais on ne vous le disait pas… jusqu’à ce que la crise du Covid-19 éclate.
De ce point de vue, les déclarations récentes me remplissent d’espoir pour la suite !
Oui, les plus grands pharmacologues français sont en train de monter au créneau contre les dégâts de l’ibuprofène et autres anti-inflammatoires !
Voici ce qu’explique le Pr Bernard Begaud, dans le Figaro de ce week-end :
« A l’heure actuelle, nous n’avons pas de démonstration claire que les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) augmentent le risque d’infection et augmentent le risque de forme grave ou de mortalité.
Mais nous savons que l’inflammation est une réponse normale de l’organisme en cas d’infection, c’est un mécanisme de défense. En prenant un anti-inflammatoire, on peut bloquer ce mécanisme de défense »[5]
C’est évident, mais ça fait du bien de l’entendre dire publiquement !
Oui, l’inflammation aiguë est une réaction naturelle de l’organisme, qui est là pour nous soigner.
Il est donc mauvais d’interférer avec cette réaction naturelle, surtout avec un médicament chimique aux effets puissants et mal maîtrisés.
Le même discours salvateur est tenu en ce moment par le Pr Jean Louis Montastruc, membre de l’Académie nationale de médecine :
« Éviter l’ibuprofène est une mesure de précaution. La situation est tellement grave qu’il ne faut pas jouer avec le feu ».[6]
Vous voyez : la crise actuelle permet de dire tout haut qu’on savait depuis longtemps !
Écoutez bien l’aveu de la Pr Joëlle Micallef, citée par le Figaro de ce week-end également :
« Il y a un an, une étude menée par les centres de pharmacovigilance avait démontré qu’en cas d’infection virale, comme une grippe, la prise d’ibuprofène ou de kétoprofène augmentait le risque de surinfection bactérienne ».
C’est important à savoir, en pleine épidémie de Covid-19 !
Car selon le journal médical The Lancet, la moitié des morts du Covid-19 avaient une surinfection bactérienne contre moins de 1 % chez les survivants ! [7]
Mais dites-moi : aviez-vous entendu parler de ces dangers de l’ibuprofène avant la crise actuelle ?
Les pharmaciens avaient-ils arrêté massivement de donner de l’ibuprofène aux clients qui arrivaient avec un état grippal ?
NON, PAS DU TOUT !
Tout ce qu’ont fait les autorités, c’est obliger les pharmaciens à placer l’ibuprofène et d’autres anti-inflammatoires « derrière le comptoir ».
C’est toujours ça de pris, mais cela n’a pas empêché les pharmaciens de continuer à les distribuer comme des bonbons…
…et cela n’a pas empêché le grand public de continuer à les acheter au moindre coup de froid !
Et pourtant, c’est un geste qui cause des morts, chaque hiver, c’est une certitude.
Mais en temps normal, ces morts passent totalement inaperçus.
Il a fallu la crise du Covid-19 pour qu’on reconnaisse ENFIN qu’il faut éviter les anti-inflammatoires en cas d’infection virale !
Et encore, il a fallu attendre les premiers morts du Covid-19 pour que le Ministre de la Santé se réveille.
Alors qu’il aurait pu le dire dès le début de l’épidémie, au mois de février !
Figurez-vous qu’en janvier dernier a eu lieu le Congrès de pneumologie de langue française à Paris.
Et savez-vous ce qu’ils en ont conclu, publiquement ?
Que les anti-inflammatoires comme l’ibuprofène peuvent causer des complications infectieuses pulmonaires sévères !
Voici ce qu’a déclaré, le 27 janvier dernier, la Pr Muriel Fartoukh, de l’hôpital Tenon à Paris :
« Les premiers à donner l’alerte ont été les pédiatres, après avoir constaté la survenue de complications chez des enfants ayant pris de l’ibuprofène alors qu’ils avaient des signes respiratoires comme une toux. Ils observaient la survenue plus fréquente de pleurésies purulentes, des infections de l’enveloppe des poumons ».[8]
Donc, les anti-inflammatoires en cas d’état grippal, il faut arrêter, définitivement.
Maintenant, ne soyons pas naïf.
Savez-vous pourquoi nos autorités françaises sont les seules à dire cela haut et fort ?
Choquant : pourquoi la France est la SEULE à dénoncer l’ibuprofène
Croyez-le ou non, cet avertissement de bon sens contre l’ibuprofène est contesté par :
L’Agence européenne du médicament, qui a déclaré qu’il n’y avait « aucune preuve scientifique » des dangers de l’ibuprofène en cas de Covid-19 ;
L’Organisation mondiale de la Santé[9], qui préfère attendre d’avoir davantage de preuves avant de faire une recommandation formelle ;
Et on observe le même discours officiel au Canada[10] et chez certains experts infectiologues américains.[11]
Toutes ces autorités, tous ces « pontes » font ce qu’ils ont l’habitude faire : minimiser les risques des médicaments et protéger l’industrie pharmaceutique.
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