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MERCREDI 1 AVRIL 2020 À 13:50
Le ministre de la Santé, Abdrahman Ben Bouzid, a confirmé aujourd’hui mercredi qu’il avait reçu le Dr Lot Bonatero dans son propre bureau .
« J’ai reçu le Dr Bonatero, et il m’a dit que j’avais un médicament ou un vaccin contre Coronavirus », a-t-il ajouté lors de sa présentation sur les derniers développements du Coronavirus en Algérie, à l’Assemblée populaire nationale.
Le ministre a ajouté, » j’ai demandé à Bonatero, si le vaccin était soumis à la méthode scientifique légale, alors il m’a dit que j’avais des médecins, qui ont confirmé son efficacité ».
« J’ai ordonné à Bonatero de se rendre à l’Institut Pasteur, où il lui a été demandé de fournir le dossier médical, sa composition naturelle et chimique, d’autant plus qu’il est nouveau, et son dossier contenait seulement deux pages « , a souligné le ministre.
« J’ai dit à Bonatero, nous ne pouvons pas tester le médicament directement sur l’homme, par crainte de complications », a déclaré Ben Bouzid. « Sa composition doit être connue d’abord, puis testée sur l’animal, pendant une période d’au moins 10 jours jusqu’à ce que nous voyions ses effets secondaires. »
En outre, Ben Bouzid a indiqué qu’il a recontacté hier le Dr Lot Bonatero au sujet de son acceptation des conditions pour essayer le vaccin ou non, mais il n’a pas reçu de réponse.
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Le ministre de la Santé, Abdrahman Ben Bouzid, a confirmé aujourd’hui mercredi qu’il avait reçu le Dr Lot Bonatero dans son propre bureau .
« J’ai reçu le Dr Bonatero, et il m’a dit que j’avais un médicament ou un vaccin contre Coronavirus », a-t-il ajouté lors de sa présentation sur les derniers développements du Coronavirus en Algérie, à l’Assemblée populaire nationale.
Le ministre a ajouté, » j’ai demandé à Bonatero, si le vaccin était soumis à la méthode scientifique légale, alors il m’a dit que j’avais des médecins, qui ont confirmé son efficacité ».
« J’ai ordonné à Bonatero de se rendre à l’Institut Pasteur, où il lui a été demandé de fournir le dossier médical, sa composition naturelle et chimique, d’autant plus qu’il est nouveau, et son dossier contenait seulement deux pages « , a souligné le ministre.
« J’ai dit à Bonatero, nous ne pouvons pas tester le médicament directement sur l’homme, par crainte de complications », a déclaré Ben Bouzid. « Sa composition doit être connue d’abord, puis testée sur l’animal, pendant une période d’au moins 10 jours jusqu’à ce que nous voyions ses effets secondaires. »
En outre, Ben Bouzid a indiqué qu’il a recontacté hier le Dr Lot Bonatero au sujet de son acceptation des conditions pour essayer le vaccin ou non, mais il n’a pas reçu de réponse.
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