Comment encourager nos praticiens médicaux à ne pas abandonner leurs postes, malgrè le grave manque de moyens pour agir ?
On se retrouve devant la grave réalité d'un système de santé complètement anarchique et à la ramasse, incapable de prendre en charge des algériens malades en temps normal. Il est normal qu'en cette période de début d'épidémie, on va subir très gravement cet état de fait. Les prochains jours risquent d'être les PIRES ! :22:
Nos médecins et paramédicaux n'ont ainsi :
Nos médecins risquent d'accueillir des malades dans nos hopitaux juste pour les regarder mourir(même des personnes plutot jeunes.:22:), sans qu'ils puissent faire quoi que ce soit.
Une conséquence directe de cet état de fait et qui commence à se sentir dans nos Hopitaux est que beaucoup de praticiens quittent leurs lieux de travail. Et ce n'est certainement pas une allocation de risque de 20.000 DA mensuel qui va pousser nos praticiens de la Santé à avoir moins peur ou avoir les moyens d'agir et de traiter les malades.
Alors comment faire ? :22:
TEMOIGNAGE : Cri d'un médecin au CHU Frantz Fanon BLIDA:
Arretez avec ces arrêts de travail de complaisance !
طبيبة في مستشفى فرانز فانون بـ البليدة توجه رسالة إنسانية لزملائها
On se retrouve devant la grave réalité d'un système de santé complètement anarchique et à la ramasse, incapable de prendre en charge des algériens malades en temps normal. Il est normal qu'en cette période de début d'épidémie, on va subir très gravement cet état de fait. Les prochains jours risquent d'être les PIRES ! :22:
Nos médecins et paramédicaux n'ont ainsi :
- - aucun moyen pour se protéger et protéger leur familles respectives contre la contamination par le CORONAVIRUS
- - surtout, aucun matériel pour soulager les malades en détresse respiratoire qui vont submerger nos hopitaux.
Nos médecins risquent d'accueillir des malades dans nos hopitaux juste pour les regarder mourir(même des personnes plutot jeunes.:22:), sans qu'ils puissent faire quoi que ce soit.
Une conséquence directe de cet état de fait et qui commence à se sentir dans nos Hopitaux est que beaucoup de praticiens quittent leurs lieux de travail. Et ce n'est certainement pas une allocation de risque de 20.000 DA mensuel qui va pousser nos praticiens de la Santé à avoir moins peur ou avoir les moyens d'agir et de traiter les malades.
Alors comment faire ? :22:
TEMOIGNAGE : Cri d'un médecin au CHU Frantz Fanon BLIDA:
Arretez avec ces arrêts de travail de complaisance !
طبيبة في مستشفى فرانز فانون بـ البليدة توجه رسالة إنسانية لزملائها
Commentaire