Annonce

Réduire
Aucune annonce.

TABOU/Human Right Watch : La peine d’un leader d’opposition doublée la veille de sa libération

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • TABOU/Human Right Watch : La peine d’un leader d’opposition doublée la veille de sa libération

    TABOU/ Human Right Watch :
    La peine d’un leader d’opposition doublée la veille de sa libération

    Karim Tabbou sera jugé le 6 avril pour d’autres chefs d’accusation




    (Tunis) - Le 24 mars 2020, au terme d’un procès manifestement inéquitable, une cour d’appel a condamné un opposant algérien à un an de prison, pour des propos défiants mais pacifiques, a déclaré aujourd’hui Human Rights Watch. Figure de l’opposition, Karim Tabbou était accusé de critiquer l’armée et de soutenir le Hirak, mouvement qui œuvre en faveur d’un changement démocratique.

    Le tribunal d’Alger a rendu son verdict la veille de la libération prévue de Tabbou, après qu’il ait purgé les six mois de prison auxquels le tribunal de première instance l’avait condamné. Dans le but apparent de le museler et de faire un exemple, les autorités ont intenté à Tabbou, toujours pour délit d’expression, un autre procès qui s’ouvrira 6 avril.

    « Tandis que plusieurs gouvernements à travers le monde libèrent des prisonniers pour réduire les risques de propagation du COVID-19 dans les prisons, l’Algérie continue d’incarcérer des dissidents comme Karim Tabbou, simplement parce qu’ils ont exprimé des opinions politiques », a déclaré Eric Goldstein, Directeur Moyen-Orient et Afrique du Nord par intérim à Human Rights Watch.

    Le 1er avril, le président Abdelmadjid Tebboune a gracié par décret 5 037 prisonniers, apparemment dans le but de lutter contre la pandémie. Mais les militants du Hirak emprisonnés ne figuraient apparemment pas parmi les bénéficiaires de la grâce.

    Le Hirak a débuté en février 2019 quand des millions d’Algériens sont descendus dans la rue pour exiger que le président d’alors, Abdelaziz Bouteflika, renonce à briguer un cinquième mandat. Après avoir contraint ce dernier à démissionner en avril, le mouvement a poursuivi ses manifestations massives chaque vendredi, réclamant un système de gouvernement plus démocratique.

    Le mouvement s’est opposé à l’élection présidentielle que Tebboune, un ancien Premier ministre de Bouteflika, a remporté le 13 décembre avec un taux d’abstention record de 60%. Peu après, Tebboune a déclaré que son gouvernement « consoliderait la démocratie, l’État de droit et le respect des droits de l’Homme ».

    Les manifestations se sont poursuivies chaque semaine jusqu’à ce que les autorités les interdisent pour lutter contre la pandémie de coronavirus, et que le Hirak annonce, à son tour, qu’il suspendait ses rassemblements.

    Selon le Comité national pour la libération des détenus, au moins 173 personnes sont toujours en instance de jugement pour avoir participé aux manifestations ou les avoir couvertes.

    Parmi eux figurent des journalistes éminents, comme le correspondant de TV5 Monde et de Reporters sans frontières Khaled Drareni, arrêté le 29 mars, et des activistes réputés de la société civile comme Abdelouhab Fersaoui, qui se trouve en détention provisoire depuis le 10 octobre.

    Le 11 septembre, les forces de sécurité ont arrêté à son domicile Tabbou, coordinateur national de l’Union démocratique et sociale, un parti politique non reconnu. Un juge d’instruction du tribunal de Koléa, dans la province de Tipaza, a ordonné sa détention pour « atteinte au moral des armées », délit passible de 10 ans de prison, en vertu de l’article 75 du code pénal.

    L’accusation se fonde sur des propos tenus par Tabbou le 9 mai dans la ville de Kherrata, lors d’une conférence pendant laquelle il avait critiqué l’armée pour avoir excédé ses prérogatives constitutionnelles, selon son avocat Abderrahmane Salah.

    Le tribunal a remis Tabbou en liberté le 25 septembre, dans l’attente de son procès. Mais il a été de nouveau arrêté le lendemain, avant qu’un procureur l’inculpe en vertu des articles 74 et 79 du code pénal, pour « incitation à commettre des actes de violence en vue de nuire à la défense nationale » et « atteinte à l’unité nationale en préparant et en mettant en ligne des vidéos sur les réseaux sociaux », deux délits passibles de 10 ans de prison chacun.

    Tabbou a été jugé pour la première fois le 11 mars pour cette deuxième série d’accusations, devant le tribunal de première instance de Sidi M’hamed.

    Le 6 avril, il sera jugé pour « atteinte au moral des armées ».


    Lors du procès du 11 mars, Tabbou a confirmé les propos qui lui ont été attribués, tout en arguant qu’ils ne violaient aucune loi. Dans son jugement écrit, le tribunal a cité des propos de Tabbou tirés d’une vidéo publiée sur Facebook le 26 avril, alors que le mouvement Hirak organisait de grandes manifestations pacifiques hebdomadaires. Dans cette vidéo, Tabbou demandait :


    « Hey Gaid [Ahmed Gaid Salah, chef d’état-major des armées devenu l’homme fort de l’Algérie après l’éviction du président Abdelaziz Bouteflika], de quel droit fermes-tu les routes des Algériens, bloques-tu Internet aux Algériens, prives-tu les Algériens de transports en commun … (De quel droit) imposes-tu ta volonté aux Algériens ?»
    Dernière modification par Pomaria, 06 avril 2020, 23h29.
    Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

    Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

  • #2
    « Hey Gaid [Ahmed Gaid Salah, chef d’état-major des armées devenu l’homme fort de l’Algérie après l’éviction du président Abdelaziz Bouteflika], de quel droit fermes-tu les routes des Algériens, bloques-tu Internet aux Algériens, prives-tu les Algériens de transports en commun … (De quel droit) imposes-tu ta volonté aux Algériens ?»

    Dans son jugement écrit, le tribunal a conclu que tels propos relevaient de l’incitation publique à affronter les forces de sécurité.
    Le tribunal a également invoqué la conférence donnée par Tabbou le 9 mai à Kherrata, dans laquelle il faisait référence à de hauts gradés comme membres du « gang », terme utilisé pour désigner ceux qui détenaient le véritable pouvoir en Algérie sous Bouteflika :
    « Des jeunes officiers de l’armée… libéreront l’institution [militaire]… d’une manière conforme (aux idéaux du) Hirak…
    De jeunes officiers compétents seront en mesure de libérer [l’Algérie] du gang… y compris
    le gang qui se trouve au sein de cette institution ».
    Le tribunal a estimé que ces propos démontraient l’intention de Tabbou de « diviser l’institution militaire et inciter au chaos en son sein ... à un moment où le pays est instable ».

    Le tribunal a déclaré Tabbou coupable d’« atteinte à l’intégrité de l’unité nationale », mais l’a acquitté d’« incitation à commettre des actes de violence ». Le tribunal l’a condamné à une amende et à 12 mois de prison, dont six avec sursis.

    La peine sciemment doublée à la veille de sa libération

    Mais la veille du 25 mars, jour où Tabbou devait être remis en liberté, la Cour d’appel de Ruisseau a converti son sursis en prison ferme et l’a renvoyé en prison.
    Sa défense a protesté, affirmant que les autorités judiciaires n’avaient informé Tabbou de la date de son procès en appel que le matin même de l’audience, ce dont ses avocats n’ont pris connaissance que par hasard :
    « Une consœur avocate, qui se trouvait au tribunal de Ruisseau ce jour-là pour d’autres affaires, a aperçu Tabbou et m’a appelé ainsi que d’autres membres de son équipe de défense, vers 11 heures du matin, pour nous informer que son audience en appel avait déjà commencé », a déclaré Madjid Hachour, l’un des avocats de Tabbou, à Human Rights Watch.

    Ceux qui le pouvaient se sont précipités au palais de justice, et y ont trouvé Tabbou en train d’être conduit vers une clinique.

    Ils ont appris qu’il s’était effondré après que le juge ait rejeté sa demande de report du procès pour cause d’absence de sa défense, a raconté Hachour.
    Les avocats qui venaient d’arriver ont demandé au juge de reporter le procès au vu de l’état de leur client, et pour leur laisser le temps de se préparer. Ils ont également noté que le dossier de Tabbou ne contenait pas, comme l’exige la loi, une copie du jugement écrit du procès en première instance, ont précisé Hachour et Noureddine Ahmine, un autre avocat de la défense, à Human Rights Watch.

    Lorsque le juge a rejeté la demande de report, Tabbou a refusé de répondre aux questions du tribunal. Ses avocats ont décidé de boycotter l’audience.
    Le tribunal a annoncé son verdict plus tard dans la journée.

    Et malgrè tout ce qui s'est passé, le procureur d’Alger a osé déclarer que le procès s’était déroulé conformément à la loi !

    Tabbou n’aurait pas dû être jugé, d’emblée, pour ses propos, a déclaré Human Rights Watch.

    Le droit international des droits humains garantit le droit à la critique pacifique de la légitimité des dirigeants et des institutions, y compris l’armée.
    Les États ne sont autorisés à sanctionner les discours que dans des circonstances étroitement définies, telles que l’incitation directe à la violence.


    L’Algérie est partie au Pacte international relatif aux droits civils et politiques. Dans son Observation générale n° 34 relative à l’interprétation de ce traité, le Comité des droits humains des Nations Unies indique que :
    Dans le cadre des débats publics concernant des personnalités du domaine public et politique, le Pacte accorde une importance particulière à l’expression sans entraves. […]
    Les États parties ne doivent pas interdire la critique des institutions telles que l’armée
    .
    En outre, le procès en appel de Tabbou semble violer les principes fondamentaux d’un procès équitable, comme le prévoient, par exemple, les Directives et principes sur le droit à un procès équitable et à l’assistance judiciaire en Afrique.

    Celles-ci prévoient que la défense dispose d’un délai raisonnable pour préparer ses arguments et d’un accès, dans des délais suffisants avant la tenue du procès, à tous les dossiers et documents relatifs à l’affaire, y compris le jugement écrit du tribunal de première instance dont les avocats ont fait appel.

    « Alors que le Hirak suspend ses manifestations pacifiques pour cause de pandémie,
    les autorités en profitent pour emprisonner l’un de ses dirigeants au terme d’un procès expéditif et inéquitable
    »
    , a conclu Eric Goldstein.
    Dernière modification par Pomaria, 06 avril 2020, 22h45.
    Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

    Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

    Commentaire


    • #3
      IGNOBLE de doubler sa peine à la veille de sa sortie de PRISON

      IGNOBLE de le ré+emprisonner, le lendemain de sa sortie de PRISON en septembre

      IGNOBLE de lui faire subir des TORTURES par des AGENTS DU DRS

      IGNOBLE de lui faire subir un ACCIDENT de voiture lors de son transport au Tribunal le 11 MARS 2020

      IGNOBLE de le forcer à faire un procès sans l'avertir et sans avertir ses avocats

      IGNOBLE de lui fait subir un Accident Vasculaire Cérébrale avant son procès du 25 MARS 2020

      IGNOBLE de le juger en son absence alors qu'il est dans un lit d'HOPITAL

      IGNOBLE de lui faire plusieurs procès pour la même affaire

      IGNOBLE pour ces services du DRS de harceler sa femme et de tenter d'atteindre sa personne

      IGNOBLE de l'emprisonner parce qu'il veut une VRAIE justice pour son peuple.

      IGNOBLE de libérer 5000 VOYOUS de peur de la contamination par le VIRUS, mais garder en PRISON les PATRIOTES comme TABBOU pour espérer les voir crever dedans !


      ...etc

      Le grand Patriote TABBOU est en prison car l'injustice règne dans ce pays....

      Il est en prison pour son peuple et sa liberté.....

      Il est en prison pour faire valoir les droits du peuple......
      Il est en prison parcequ'il a fait front à cette GANG MAFIEUSE qui ne veut pas lacher le pouvoir et les richesses de ce pays.
      Il est en prison parcequ'il a dit qu'il est et sera le cauchemar qui en finira avec ces Mafieux
      Il est en prison mais ils l'ont rendu un leader incontesté dans tous le pays, un chef que l'on attend tous avec impatience et fierté..... sauf pour les larbins du système Mafieux qui s'y reconnaissent !

      Ce peuple regarde silencieux cette ignominie mafieuse et criminelle qui profite lâchement de cette période de confinement pour le réprimer,
      mais ce peuple ne lâchera jamais ses enfants qui le défendent !

      Totale solidarité et Liberté pour ce grand homme et pour tous les autres patriotes de ce pays.
      Dernière modification par Pomaria, 06 avril 2020, 23h11.
      Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

      Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

      Commentaire


      • #4
        « Tandis que plusieurs gouvernements à travers le monde libèrent des prisonniers pour réduire les risques de propagation du COVID-19 dans les prisons, l’Algérie continue d’incarcérer des dissidents comme Karim Tabbou, simplement parce qu’ils ont exprimé des opinions politiques », a déclaré Eric Goldstein, Directeur Moyen-Orient et Afrique du Nord par intérim à Human Rights Watch .
        Goldstein parle de choses dont il n’a aucune connaissance, ou pire, il manipule une information a fin de manipuler les opinions.

        Tabbou n’est pas un dissident, Tabbou n’est pas incarcéré pour avoir exprimé une opinion politique.
        Parmi toutes les accusations qu’il avait porté contre un chef d’état major des armées en place et contre l’ANP, Il a traité l’ANP d’armée de colonisation, il a aussi et surtout appelé les jeunes officiers de l’armée de faire leur hirak à l’intérieur de l’institution militaire afin de libérer l’institution militaire de la mafia qui la dirige.

        Ses propos sont tellement inappropriés que même certains de ses proches, ceux qui étaient assis juste côté de lui dans cette conférence se sont désassociés de ses déclarations. Samir Ben Larbi avait déclaré plus tard dans une de ses conférences, qu’il rejetait totalement les propos de Tabou et que ses propos n’engageaient que lui et que Tabou devra assumer sa responsabilité pour ses déclarations.

        Je crois que Goldstein fait dans la manipulation, il doit connaitre très bien cette histoire, c’est son travail. De toute façon cette ONG a toujours eu des problèmes avec l’Algérie, cela ne date pas d’aujourd’hui.

        Commentaire


        • #5
          elbieroi
          Goldstein parle de choses dont il n’a aucune connaissance, ou pire, il manipule une information a fin de manipuler les opinions.
          NON

          Il n'y a pas PIRES MANIPULATEURS ET VOYOUS que cette DICTATURE MILITAIRE MAFFIEUSE.

          Toutes les instituons de l"état sont actuellement à la solde de ces Généraux qui ont mis à bas tout le pays.

          Et maintenant, ils osent profiter du confinement du HIRAK pour ASSOUVIR LEUR VENGEANCE du HIRAK !

          et tenter de casser ce peuple et ses enfants PATRIOTES
          .

          Mais ils n'y pourront rien du tout. Rien du tout.


          Comme il l'a dit si bien :
          "TABBOU est, et sera le cauchemar de cette ISSABA" Et les Tabbou il y en a dans ce pays. Ne t'inquiète pas !


          Dernière modification par Pomaria, 08 avril 2020, 12h03. Motif: ass
          Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

          Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

          Commentaire


          • #6
            Le Régime Mafieux profite de l'épidémie pour se venger de ses opposants






            Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

            Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

            Commentaire


            • #7
              El bierois
              Je serais bien curieux de voir comment tu broderas au sujet de Drareni

              Fais-nous rigoler, laisse-toi aller.

              Commentaire


              • #8
                El bierois
                Je serais bien curieux de voir comment tu broderas au sujet de Drareni
                On pale de cette ONG et de son directeur qui raconte n'importe quoi, que vient faire Drareni, cette ONG ne parle pas de Drareni.

                Fais-nous rigoler, laisse-toi aller
                Parce que tu trouves drôle qu’un chef de parti comme Tabou, ancien secrétaire général d’un des plus grand parti si ce n’est pas le plus grand parti d’opposion dans l’histoire de l’Algérie et ex-député, incapable de faire un discoure sans tomber dans l’illégalité, et surtout tenir des propos pareils. Pour moi c’est un triste constat d’échec de la classe politique algérienne. Que ce que ça va être les autres politiciens qui n’ont pas son parcours.

                Comme il l'a dit si bien : "TABBOU est, et sera le cauchemar de cette ISSABA" Et les Tabbou il y en a dans ce pays. Ne t'inquiète pas
                Je ne suis pas inquiet, au lieu de faire dans du populisme, je préfère qu’il fasse son travail d’homme politique, qu’il prépare un programme ambitieux pour aller convaincre la population à travers le territoire national de voter pour son programme et surtout de s’organiser pour surveiller et pour gagner les élections. Le FIS l’a fait.
                Dernière modification par elbieroi, 07 avril 2020, 02h25.

                Commentaire


                • #9
                  elbieroi
                  Je ne suis pas inquiet, au lieu de faire dans du populisme, je préfère qu’il fasse son travail d’homme politique, qu’il prépare un programme ambitieux pour aller convaincre la population à travers le territoire national de voter pour son programme et surtout de s’organiser pour surveiller et pour gagner les élections. Le FIS l’a fait.

                  Grossier Mensonge !

                  Son discours n'a strictement rien de populiste, bien au contraire. Son franc parler, il est plus que concret, factuel et a les pieds sur terre.

                  Contrairement aux discours des Tebbounerie et Co.

                  D'ailleurs, rien que le dernier discours de TEBBOUNE, a été une catastrophe de la catastrophe !
                  Pire que de tous les discours populistes de BOUTEF.
                  Certains de ses propos n'ont ni queue ni tête ! ha ha ha !


                  Tabou gagnera surement des élections Inchallah.
                  Mais le problème, c'est ces Généraux Maffieux qui tiennent les règnes et les institutions de tout le pays.
                  Toutes les institutions de l'état sont à leur merci.
                  Les hauts fonctionnaires de l'état triés sur le volet par les généraux du DRS pour gérer ces institutions pour leurs propres interets, les ont rendus ainsi archi-pourries !

                  elbieroi
                  que vient faire Drareni, cette ONG ne parle pas de Drareni.
                  Comme la justfication que tu as tenter de donner pour le procès illégale et IGNOBLE contre TABBOU,

                  Bachi
                  veux juste te demander quelle argumentaire tu vas nous donner encore pour justifier l'arrestation de DRARENI par ces Généraux Maffieux !



                  Dernière modification par Pomaria, 07 avril 2020, 17h09.
                  Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

                  Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

                  Commentaire


                  • #10
                    au lieu de faire dans du populisme, je préfère qu’il fasse son travail d’homme politique, qu’il prépare un programme ambitieux
                    Faire de la politique en Algérie ? Elle est bonne, celle-là !
                    et depuis quand fait-on la politique dans ce pays?

                    - On a vu comment ca a fini quand le FIS a fait de la politique.
                    - On a vu aussi le malheureux Boudiaf, mis au pouvoir sans faire la moindre politique, mais dès qu'il a commencé à faire de la politique et à déplaire, on l'a tué.
                    Qui donc a fait de la politique dans ce pays ?
                    Ouyahia, le fraudeur et voleur?
                    Sellal, le clown voleur?
                    Peut-être Ghoul ? Peut-être Saidani ou Ould Abbas?

                    A Tabou, on ne lui a même pas donné accréditation à son parti, interdit tout meeting et tu voudrais qu'il fasse de la politique!


                    Laisse donc tomber au lieu de raconter des bêtises.

                    Dans ce pays, il y a la politique de la qazoula et de la mitraillette, si tu plais au quarteron de généraux, tu passes direct, pas besoin de politique. Si tu plais pas, ferme-toi la gueule ou exile-toi! Et si tu résistes comme Tabou et d'autres, c'est la prison !

                    Commentaire


                    • #11
                      Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

                      Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

                      Commentaire

                      Chargement...
                      X