Je voudrais faire lire à quelqu'un ce que d'autres n'ont jamais lu, peut-être par manque de courage, ou seulement par ce que comme dit le titre... insensé !
"Je t'aime pour tous ces regards tendre,
que sans souciance,
ton innocence me lance.
Ton amour, c'est à la manière d'un voleur,
que j'attendrai impatiemment l'heure
de pouvoir un jour y prétendre.
Je t'aime de mille feux.
Je t'aime de tout mon coeur,
tremblant des moindres caresses
que tes yeux, souriant de bonheur
m'adressent de tendresses.
Je t'aime pour nous deux.
Je t'aimerais dans l'ombre que je deviendrais
pour t'appartenir à tout jamais,
respectueux de chacun de tes pas.
Je t'aimerais d'un amour véritable,
Brutal, rebelle, et sans doute improbable,
Mais je t'aimerais simplement pour toi."
Dans la même lignée, muse et époque, voici ce que certains pourraient appeler une métaphore filée...
"Je taime comme la terre aime le soleil,
car il la réchauffe lorsqu'elle a froid,
et la guide lorsqu'elle est perdue.
Comme les saisons, il fait défiler ses sentiments
et l'éclaire de sa raison à travers la passion.
Il gouverne à sa guise sur son empire
faisant de l'hivers une douce mélancolie
et du printemps un renouveau des sens.
Il fait pousser son espoir qui n'a pas lieu d'être
et dans ses désillusions lentement l'empêtre.
Et elle, tout comme cette terre aride,
sans cesse lui tourne autour,
pour mendier un peu,
juste un peu d'essentiel.
Il est l'essence même de son existence
car il lui donne la vie et,
de sa cruauté lui ôte chaque nuit,
chaque nuit qu'il disparaît car,
elle est l'ombre de tant de rêves qui,
chaque nuit se façonnent pour lui être fidèle
pas à pas car sans lui, elle n'a pas lieu d'être."
"Je t'aime pour tous ces regards tendre,
que sans souciance,
ton innocence me lance.
Ton amour, c'est à la manière d'un voleur,
que j'attendrai impatiemment l'heure
de pouvoir un jour y prétendre.
Je t'aime de mille feux.
Je t'aime de tout mon coeur,
tremblant des moindres caresses
que tes yeux, souriant de bonheur
m'adressent de tendresses.
Je t'aime pour nous deux.
Je t'aimerais dans l'ombre que je deviendrais
pour t'appartenir à tout jamais,
respectueux de chacun de tes pas.
Je t'aimerais d'un amour véritable,
Brutal, rebelle, et sans doute improbable,
Mais je t'aimerais simplement pour toi."
Dans la même lignée, muse et époque, voici ce que certains pourraient appeler une métaphore filée...
"Je taime comme la terre aime le soleil,
car il la réchauffe lorsqu'elle a froid,
et la guide lorsqu'elle est perdue.
Comme les saisons, il fait défiler ses sentiments
et l'éclaire de sa raison à travers la passion.
Il gouverne à sa guise sur son empire
faisant de l'hivers une douce mélancolie
et du printemps un renouveau des sens.
Il fait pousser son espoir qui n'a pas lieu d'être
et dans ses désillusions lentement l'empêtre.
Et elle, tout comme cette terre aride,
sans cesse lui tourne autour,
pour mendier un peu,
juste un peu d'essentiel.
Il est l'essence même de son existence
car il lui donne la vie et,
de sa cruauté lui ôte chaque nuit,
chaque nuit qu'il disparaît car,
elle est l'ombre de tant de rêves qui,
chaque nuit se façonnent pour lui être fidèle
pas à pas car sans lui, elle n'a pas lieu d'être."
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