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Financements étrangers de la presse algérienne

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  • Financements étrangers de la presse algérienne

    Le ministère de la Communication a appelé, dimanche, la presse nationale au « strict respect » du droit en matière de financements étrangers, rapporte l’agence officielle APS.

    « Dans l’attente d’une remise à plat des textes législatifs et réglementaires régissant le secteur de la presse et de la communication, sur la base de la future Constitution et en prenant en compte un contexte en perpétuelles et rapides mutations dans le secteur », le ministère de la Communication appelle tous les acteurs de la presse nationale au « respect rigoureux des lois en vigueur dans la phase de transition actuelle ».


    Le ministère rappelle, dans un communiqué, que « les financements étrangers de la presse nationale (tous supports confondus), de quelque nature que ce soit et de quelque provenance que ce soit, sont absolument interdits ».

    « Ces financements sont prohibés en vertu de la loi organique 12-05 du 1er janvier 2012 relative à l’Information et de la loi 14-04 du 24 février 2014 inhérente à l’activité audiovisuelle », note le ministère, ajoutant que l’article 29 de la loi sur l’Information souligne, de manière claire et précise, que « l’aide matérielle directe et indirecte de toute partie étrangère est interdite ».

    Le même article oblige tous les médias écrits et audiovisuels à « déclarer ou à justifier l’origine des fonds constituants leur capital social et ceux nécessaires à leur gestion, conformément à la législation en vigueur », poursuit le ministère.

    S’agissant précisément des télévisions et des radios hertziennes ou satellitaires et des WebTV et des Web-radios, la loi 14-04 du 24 février 2014 énonce, par ailleurs, et de manière nette, « la stricte obligation de justifier de l’exclusivité nationale du capital social, ainsi que de l’origine des fonds investis », relève la même source.

    Le ministère fait remarquer que le non-respect de ces différentes dispositions « exposera nécessairement leurs auteurs éventuels aux sanctions prévues par les textes ad hoc », précisant que « Radio M est dans cette catégorie ». Le site de radio M est bloqué en Algérie depuis jeudi 9 avril.

    « Cette radio a été lancée grâce à une addition de fonds issus éventuellement d’une collecte publique organisée dans le cadre d’une opération de crowdfunding et de dons en provenance de l’étranger, par le canal d’organismes se donnant pour vocation affichée de renforcer les processus dits de +modernisation+ et de +démocratisation+ », souligne le ministère de la Communication.

    « Il s’agit, comme on le comprend bien, d’un élément du soft power étranger, du bras armé culturel et médiatique de diplomaties étrangères qui interviennent dans ces processus appelés de +démocratisation+ dans les pays du Sud en encourageant des acteurs triés sur le volet et considérés comme étant des agents d’influence réels ou potentiels à encourager et à soutenir », conclut le ministère.
    TSA

  • #2
    « Il s’agit, comme on le comprend bien, d’un élément du soft power étranger, du bras armé culturel et médiatique de diplomaties étrangères qui interviennent dans ces processus appelés de +démocratisation+ dans les pays du Sud
    Ah cette main étrangère qui veut tant de mal à l'Algérie !

    Bella7mer nous parle de transition ! de transition de quoi vers quoi au juste ?
    Des Bghal dial Boutoz aux Bghal dial Tebboune ?

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    • #3
      S’agissant précisément des télévisions et des radios hertziennes ou satellitaires et des WebTV et des Web-radios, la loi 14-04 du 24 février 2014 énonce, par ailleurs, et de manière nette, « la stricte obligation de justifier de l’exclusivité nationale du capital social, ainsi que de l’origine des fonds investis », relève la même source.

      Le ministère fait remarquer que le non-respect de ces différentes dispositions « exposera nécessairement leurs auteurs éventuels aux sanctions prévues par les textes ad hoc », précisant que « Radio M est dans cette catégorie ». Le site de radio M est bloqué en Algérie depuis jeudi 9 avril.

      Hichem Aboud clash Ammar Belhimer, ministre de Communication et Porte parole du gouvernement , pour avoir interdire sous ordres des Généraux le journal Maghreb émergent et la Radio M dirigés par Ihsane El Kadhi qui était sur les bancs du lycée avec Ammar Belhimer et Hichem Aboud



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      • #4
        les pions de Roschild - juste un peu d argent pour ne pas eveiller ....

        http://www.algerie-dz.com/forums/sho...d.php?t=460562



        maintenant la Libye appartient a la famille Roschild ( via Haftar ou autre ? )

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        • #5
          Le financement occulte est interdit par la loi

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          • #6
            « les financements étrangers de la presse nationale (tous supports confondus), de quelque nature que ce soit et de quelque provenance que ce soit, sont absolument interdits ».

            Le financement étranger a pour effet entre autre de court-circuiter les pouvoirs publics qui ne pourraient plus faire pression sur les médias algériens , mais en même temps donne des pouvoirs a des étrangers qui pourraient s'immiscer dans les affaires du pays.

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            • #7
              Ce système MAFIEUX est en train d'écraser :
              - toutes voix
              - tous journalistes propres
              - tous journal
              qui les dénoncent et les mettent nue leur gabegie, leur "Mafiocratie" et leurs rapines à tous les échellons et à tous les niveaux
              1. La censure et l'arrêt de tous les journaux LIBRES,
              2. La mise en pas de journaux comme EL KHABAR, EL WATAN, ...
              3. L'arrestation de JOURNALISTE irréductible, comme DRARENI
              4. L'arrestation et l'EMPRISONNEMENT tout azimut de tout les lanceurs d'ALERTE sur les réseaux sociaux
              5. La mise au pas, et l'arret de plusieurs chaines télé privées
              6. La censure de blog et la suppression de PAGES FACEBOOK depuis les EMIRATS
              7. La suppression de compte YOUTUBE et FACEBOOK par attaque massive des doubabs
              8. avec l'armée de DOUBAB ELECTRONIQUE DU GENERAL LACHKHAM

              rentrent tous dans cette stratégie de BAILLONAGE de toute opposition au REGIME MAFIEUX.


              Sinon et comme à ses habitudes passés, ces opposants sont déclarés par ces MAFIEUX comme étant :

              la MAIN DE L'ETRANGER....L'ETRANGER....TRANGER....GER...GER...ger

              Dernière modification par Pomaria, 12 avril 2020, 20h51.
              Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

              Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

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              • #8
                Ammar Belhimer est un petit Chayat du pouvoir qui n'a aucun principe.

                Voici un article lorsqu'il vantait la réussite de Sellal. Galek, il est le produit de la méritocratie

                Comme dit Hichem Aboud, un "Rkhiss" reste un "Rkhiss"

                Abdelmalek Sellal, Premier ministre
                Les secrets d'une réussite


                Par Ammar Belhimer

                Il s’est révélé sur le terrain et ne doit ses succès qu’à son application à la tâche. Il est le produit même de la méritocratie tant espérée et pas encore toujours évidente. Plus généralement, l’homme est souple, jovial, lisse. Cela donne une synthèse de grand frère idéal, de bonus pater familias et d’artisan laborieux et méticuleux.

                La démarche incarne une profonde conviction que le développement, le progrès, résulte d’efforts cumulatifs et par/dans la durée. Il l’aura notamment expérimentée au cours de son long passage à la tête du secteur de l’hydraulique.

                En effet, le pari gagné du nouveau Premier ministre, qui aura pesé tout autant que sa direction de campagne présidentielle du président de la République, a certainement trait à la bataille de l’eau. La guerre de l’eau, dit-on sous d’autres cieux, tant la ressource peut consolider, comme elle peut la fragiliser, la stabilité des États. On se rappellera qu’en Octobre 1988, « la goutte qui avait fait déborder le vase », l’expression n’aura jamais été aussi appropriée, se rapportait aux manifestations qui avaient allumé l’est algérien en réaction à des pénuries prolongées et quotidiennes d’eau.

                Depuis, rien de notable n’aura été fait jusqu’en janvier 2005, lorsque le Conseil des ministres a mis la touche finale au projet de loi sur l’eau qui sera soumis à l’Assemblée populaire nationale au cours de la même année.

                Deux fronts sont alors ouverts : améliorer le système de gestion et accroître les disponibilités hydriques.

                Premier front : la rupture avec l’ancien système bureaucratique et budgétivore de gestion d’une ressource rare, avec ce qu’il impliquait comme gaspillages et dilapidations. Le projet de loi est un juste équilibre entre le « plus ou tout Etat » et le « moins Etat » ou « tout privé ». L’équilibre tient à un partenariat public-privé construit sur un double mécanisme connu des juristes : d’abord, la concession octroyée par l’Etat aux personnes morales de droit public ; ensuite, un mécanisme complémentaire, la délégation de service public accordée par l’Etat ou les concessions à des opérateurs publics ou privés. La question semble être partout la même : comment concilier « la vertu du public », les missions de service public associées au caractère vital de la ressource, et « l’efficacité du privé », particulièrement au stade de la distribution ?

                Suivant une démarche classique, le « privé » est la preuve de l’efficacité du marché car il fonctionne selon la règle du libre-échange consistant à mettre en relation l’offre et la demande pour parvenir à une solution satisfaisante pour chacune des parties grâce au jeu, dit « universel et général», de la concurrence libre et parfaite (non faussée).

                Il s’agit de parvenir, à un niveau fondamental, à l’exercice plus ou moins régulé de la libre entreprise. La pleine expression de celle-ci requiert, théoriquement, un marché ouvert en permanence – ce qu’il ne peut être que s’il donne une information pure et parfaite aux agents qui s’y trouvent ou qui y accèdent. À défaut, c’est le monopole, la concentration et son corollaire l’arbitraire et la dictature du « premier venu » qui succèdent à la gabegie et au laisser-aller de la gestion administrée et bureaucratique.

                Écartant toute idée de privatisation du service public à travers une cession pure et simple des actifs au secteur privé, l’Algérie a fait appel à l’expertise extérieure, plus particulièrement française, dans le domaine de la distribution, appel comportant un appui au management et à la remise à niveau des systèmes, comme préalable à la concession envisagée.
                Second front : améliorer le ratio entre les ressources renouvelables et la consommation en partant d’un niveau d’alerte. Il est généralement admis qu’en théorie une ressource devient rare lorsqu’elle descend au-dessous de 1000 m3/hab. en année moyenne.

                Dans un pays classé « semi-aride », affichant une reprise de la croissance démographique, après une longue hivernation, et du développement économique et social, après la récession attachée à l’ajustement structurel, la demande en eau devenait problématique. Elle bénéficiera de toutes les attentions, le secteur de l’hydraulique figurant encore aujourd’hui au titre des grandes priorités du plan quinquennal en cours (2010-2014), durant lequel pas moins de 19 nouveaux barrages doivent être construits. Pour rappel, le pays est passé d’une quarantaine de barrages à la fin des années 1970 à 66 aujourd’hui, dont 63 sont déjà en exploitation, au moment de l’annonce des projets du quinquennal en 2010.

                Vingt milliards de dollars US (14,8 milliards d’euros) sont alloués au titre du plan quinquennal 2010-2014 à l’ensemble des investissements dans le secteur des ressources en eau

                Outre les 19 nouveaux barrages, 40 stations d'épuration des eaux usées seront réalisées au cours de la même période, de 2010 à 2014. Cet effort portera la capacité d'épuration à l'horizon 2020 à 1,2 milliard de m3/an.

                Cet effort sans précédent de l’Etat a porté le taux de raccordement aux réseaux d’AEP à 92% et celui du raccordement à l’égout à 86%.

                La dotation quotidienne en eau potable par habitant est de 165 litres distribués au quotidien dans plus de 70% des chefs-lieux de communes.

                L'Algérie devait aussi, au titre du même programme, achever le projet colossal de transfert de l'eau d'In-Salah vers Tamanrasset (centre), lancé en janvier 2008 par le Président Abdelaziz Bouteflika, dans le cadre de la modernisation du réseau d'approvisionnement en eau potable de la région.

                Le projet, qui a nécessité un financement de 197 milliards de dinars algériens (environ 2,7 milliards de dollars américains), comprend 48 forages, 2 conduites de 750 km, 6 stations de pompage, 2 grands réservoirs de 50.000 m3 chacun et une station de déminéralisation de l'eau.

                Trois compagnies chinoises et l'entreprise algérienne Cosider ont été chargées de la réalisation du projet. Les installations assurent une capacité théorique de transfert de 100.000 m3/jour, pour les besoins d'une population estimés entre 15.000 et 20.000 m3/j.

                Reconnaissance universelle

                Le Congrès mondial de l’eau, tenu les 12 et 13 mars 2012 à Marseille, avait inscrit au menu de ses travaux l’expérience algérienne en matière de gestion et de distribution de l’eau.

                Abdelmalek Sellal y avait vu «un rendez-vous important», par lequel la communauté internationale saluait les succès de l’expérience algérienne : «L'Algérie est passée de la mobilisation de la ressource par des moyens conventionnels (nappes et eaux des pluies) à d'autres non conventionnels (dessalement de l'eau de mer)».

                L’Algérie tenait désormais une place centrale dans ce qu’il est convenu d’appeler «l’hydrodiplomatie» et ce qu’elle comporte comme autres déclinaisons majeures, notamment « la sécurité hydraulique » et « l’hydropuissance ». C’est, pour prendre l’exemple de la région MENA, ce qui fait la différence entre des pays qui ont émergé au rang de puissances régionales, comme la Turquie et Israël, d’une part, et l’Arabie saoudite qui peine à trouver ses marques, d’autre part.

                Au delà des autres aspects fondamentaux de la question - comme les catastrophes qu’elle peut provoquer (dégâts causés par les inondations) et sa qualité à la distribution –, l’eau se caractérise par sa rareté. L’absence d’accès à l’eau affecte 1,1 milliard d’êtres humains.

                La gestion du secteur de l’hydraulique au cours de la dernière décennie aura permis à notre pays de prendre la pleine mesure de son caractère vital.
                Ammar Belhimer

                El-Djazair (Le magazine promotionnel de l'Algérie)
                Dernière modification par shadok, 12 avril 2020, 23h45.
                Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

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                • #9
                  Ihsane El Kadi est entrain de payer pour cet article sur Tebboune :

                  Les 100 jours de malheur de Abdelmadjid Tebboune
                  http://www.algerie-dz.com/forums/sho...d.php?t=460011
                  Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

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                  • #10
                    C'est tout a fait logique..avec le temps les pays commencent a savoir toutes trucs et astuce des pays qui les ont précedé..
                    Un civilisation chute lorsque ses methodes vont s'eparpiller a seme le vent comme chez larousse.
                    Une connaissance n'importe laquelle lorsqu'elle redevient publique elle s'autoanule
                    Elle ne seras plus utile.

                    Le monde est entrain de ratrapper l'europe et bientot les usa..

                    Dans de peux de temps y'aura plus d'egemonie et le retour a la violence physique va monter graduelement et vont arriver au stade du pharaon en egypte. Tout croule sous ses pieds..
                    Et Sidna Moussa n'etait qu'un alibie.D'ailleur il n'avait constituer une armee comme le prophete pour lui declarer la guerre. Le pharaon et la civilisation egyptienne croulait ..c'etaitpas la peine de lui declarer la guerre et perdre l'argent et des militaires pour rien
                    Retires toi sur une colline et observes le spectacle...

                    Lorsque le savoir redevient publique y'aura plus de savoir c'est l'ignorance qui s'installe.

                    Je sais ce que tu sais ça y est tu ne pzux rizn faire a moins t'as un autre savoir faits le montrer

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