Ay afroukh ifirelles ( Ô oiseau hirondelle )
Va, ô oiseau hirondelle
Renseigne-moi, à tire- d'ailes
Monte et plane dans le ciel
Du pays, apporte des nouvelles.
Ton chemin est évident
Par les airs, t'en approchant.
Pense au saint patron d'Alger
Il habite face à la baie
Prie-le de nous préserver
On souffre, en exil, paumés
Salue les amis restés...
On espère se retrouver.
Tu t'élèves bien et puis
Tu y vas directement
Au pays de Kabylie
Visite-le totalement
Les montagnes et les vallées
Les villages et les forêts
Salue tous les gens aimés
Chacun où il puisse se trouver.
Va, ô oiseau hirondelle
Renseigne-moi, à tire- d'ailes
Monte et plane dans le ciel
Du pays, apporte des nouvelles.
Ton chemin est évident
Par les airs, t'en approchant.
Pense au saint patron d'Alger
Il habite face à la baie
Prie-le de nous préserver
On souffre, en exil, paumés
Salue les amis restés...
On espère se retrouver.
Tu t'élèves bien et puis
Tu y vas directement
Au pays de Kabylie
Visite-le totalement
Les montagnes et les vallées
Les villages et les forêts
Salue tous les gens aimés
Chacun où il puisse se trouver.