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La gestion criminelle de la pandémie par les pays capitalistes

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  • La gestion criminelle de la pandémie par les pays capitalistes

    1ère partie

    Le Coronavirus a mis en lumière d'une manière éclatante les limites des sociétés capitalistes à faire face à la pandémie. Le cas de l'Europe et des États-Unis est un exemple éloquent à cet égard. Mais cette catastrophe sanitaire a mis surtout en exergue, plus encore qu'en temps ordinaire, la faillite du capitalisme lui-même. La gestion, pour le moins chaotique de cette crise, s'explique davantage par cette recherche sans fin du profit que par l'incompétence et l'impréparation des dirigeants, même s'ils ont leur part de responsabilité. Car en dernière analyse les gouvernements ne sont que des serviteurs zélés de la classe dominante, la bourgeoisie. En choisissant, en ces temps de pandémie, de sauver les bénéfices des entreprises au détriment de la santé et de la vie de la population, ces gouvernements sont tout à fait dans leur rôle de serviteurs des puissants. La santé n'est pour eux qu'une marchandise qui doit se vendre et s'acheter sur le marché des soins. Même l'hôpital public, lorsqu'il existe, n'échappe pas à cette logique marchande. Ce sont eux qui ont semé les graines de la mort en introduisant le virus du profit au cœur même du système de santé à travers des politiques d'austérité et de privatisations. Sans cette logique capitaliste criminelle, combien de vies humaines auraient pu être sauvées ?

    Ainsi, dans un premier temps, le gouvernement britannique a tout simplement décidé de ne rien faire pour combattre le Covid-19. Selon l'approche officielle « il faudrait qu’environ 60 % de la population britannique contracte le virus pour qu’elle développe cette immunité collective permettant d’éviter de futures épidémies » (1). Boris Johnson comptait bel et bien au départ sur cette « immunité collective », sur ce laisser aller, laisser faire, cher aux libéraux, pour lutter contre le Coronavirus. Il ne fallait surtout pas perturber ou ralentir l'activité économique par des mesures strictes de confinement. C'est un choix criminel qui sacrifie ainsi une partie de la population pour permettre aux entreprises de produire et, partant, de réaliser des bénéfices. La presse rapporte que cette stratégie pourrait coûter la vie à 70 000 personnes de plus cette année (2).

    A cela s'ajoute l'état de délabrement dans lequel se trouve le système public de santé qui, à l'évidence, ne pourrait faire face à la pandémie si l'afflux des malades devenait massif. Il n'est pas inutile de rappeler que cette situation déplorable du National Health Service (NHS) s'explique dans une large mesure par des années d'austérité des gouvernements successifs qui ont ainsi contribué à la dégradation de la santé des citoyens (3). Or derrière ces politiques se cachent les intérêts de la classe dirigeante. L'austérité consiste, pour simplifier au maximum, à réduire la part des dépenses publiques dans l’activité économique : baisse des budgets publics, privatisation des services publics, gel des salaires, suppressions des postes de fonctionnaires, baisse des impôts pour les plus riches etc. Elle est une parfaite illustration d'une politique entièrement au service des puissants.


    Sous la pression des décès qui ne cessent d'augmenter dans la population, le gouvernement a fait marche arrière en renonçant à sa stratégie « d'immunité collective ». En effet, Il a fallu attendre le 23 mars 2020 pour que le premier ministre accepte enfin le confinement de la population (4).

    Entre temps, beaucoup d'hommes et de femmes ont perdu la vie sacrifiés sur l'autel du profit.

    Ironie du sort, Boris Johnson atteint lui aussi par le Covid-19 a été admis en soins intensifs à l'hôpital public (5) qu'il a tant méprisé

    Aux États-Unis, Donald Trump faisait croire au départ que le Covid-19, qu'il appelait le virus chinois, n'allait pas toucher son pays malgré les avertissements des services de renseignements (6).

    Aujourd'hui, les États-Unis sont devenus l'épicentre de l'épidémie avec des centaines de milliers de personnes contaminées et des milliers de morts (7).

    La gestion de la pandémie dans ce pays se fait, malgré les spécificités locales, sur les mêmes bases idéologiques qu'au Royaume Uni : l'économie ou plus précisément le profit doit passer avant la santé et la vie des citoyens. Pour le milliardaire Trump, tant que le Covid-19 n'est pas encore source de profit, le virus ne fait que perturber l'activité économique dans son ensemble.

    Aux États-Unis la santé est considérée comme un article de commerce qui s'achète et se vend sur le marché des soins. Le système obéit, pour l'essentiel, à cette logique marchande. La majorité des américains sont couverts par une assurance privée, le plus souvent proposée par les employeurs. La couverture maladie universelle est quasiment absente. Contrairement à la France, il n'existe donc pas de véritable service public de santé aux États-Unis. Conséquences, les chômeurs et les plus pauvres des américains, privés de toute protection, sont les premières victimes du virus (8)

    On comprend pourquoi dans ces conditions, Trump et son administration redoutaient cette pandémie et ont réagi tardivement sacrifiant ainsi la vie d'une partie des patients. Ils savaient pertinemment que leur système de santé, tourné vers le privé, était incapable de faire face au Covid19. Mais ce que le gouvernement fédéral craint par dessus tout, c'est l'arrêt ou même le ralentissement de l'activité économique, source de profit pour les patrons : « Notre pays n’a pas été construit pour être fermé. Notre peuple est plein de vigueur, d’énergie, les gens ne veulent pas être enfermés dans une maison ou un appartement. On n’est pas faits comme ça. Et vous savez, on peut détruire un pays en le fermant comme ça. C’est très douloureux pour notre pays et très déstabilisant. Beaucoup de gens, et selon moi plus de gens, vont mourir si on laisse cette situation se poursuivre et nous devons retourner au travail » a déclaré Trump lors d’un entretien sur la chaîne de télévision Fox News. Pour lui « Le remède ne doit pas être pire que le mal » (9).

    Ainsi le modèle économique de la première puissance se révèle au grand jour incapable de faire face à la pandémie. Le nombre de victimes du virus est tel que la ville de New York par exemple enterre ses morts dans des fosses communes (10). Le « keep America great » de Trump, qui a minimisé l'ampleur de la catastrophe sanitaire et son terrible bilan humain, est désormais vide de tout sens.

    En Italie, le manque cruel de moyens de l'hôpital public obligeait le personnel soignant à trier les patients mettant gravement en danger la vie de ceux qui n'ont pas été « choisis » :

    « Malheureusement, on fera des choix basés sur l’espérance de vie. Si les respirateurs en soins intensifs sont saturés [...], alors on fera un choix plus éthique que clinique. Entre une femme de 50 ans sans maladie et une femme, même plus jeune, qui a eu un cancer, on choisira la femme en bonne santé » (11). Ainsi dans un pays riche comme l'Italie, les patients meurent par manque de moyens ! Ce constat tragique est le résultat, comme dans tous les pays de l'Union Européenne, de décennies de politiques d'austérité imposées par l'Union Européenne et appliquées avec zèle par les gouvernements successifs. En plus de l'austérité, le système de santé national italien (SSN) est géré d'une manière décentralisée où les régions disposent de larges attributions : « introduction d’un ticket modérateur basé sur les revenus pour les services médicaux, application de montants forfaitaires sur les médicaments payés par les consommateurs quels que soient leurs revenus, éviction des mairies de la gestion des établissements de santé, les pouvoirs étant regroupés au niveau régional » (12). Cette régionalisation du système de santé a contribué à créer des inégalités au niveau de l'accès, de la qualité et des coûts des soins non seulement entre les régions, mais aussi entre les citoyens. Ajoutons également que les hôpitaux italiens sont gérés comme des entreprises privées : « Chacun de ces hôpitaux est organisé et géré comme une entreprise, autonome en termes d’organisation, d’administration, de patrimoine, de comptabilité, de gestion technique et professionnelle » (12).

    Ainsi l'austérité, la régionalisation et la gestion privée des hôpitaux ont rendu le système de santé italien inadapté et incapable de faire face à la pandémie du Covid-19. Des vies humaines auraient pu être sauvées sans cette logique capitaliste criminelle.

    En Espagne, le pays le plus touché en nombre de décès par le virus après l'Italie, la situation du système de santé n'est guère meilleure. Là encore, l'austérité et la course à la privatisation c'est à dire au profit, au détriment de la santé de la population, ont détruit l'hôpital public. Et le secteur privé de la santé ne cesse de se développer et reçoit de plus en plus de moyens de la part des gouvernements (13).

    Cette intrusion du privé dans le système de santé s'est faite avec la complicité des gouvernements successifs et des opérateurs privés comme Capio, Adeslas, USP et Quiron associés

    à de grandes banques, des caisses d'épargne et des groupes d'assurances(14).

    Les réformes se sont succédé les unes après les autres pour aboutir aujourd'hui à la situation dramatique dans laquelle se trouve l'hôpital public espagnol (15).

    Le système de santé qui doit à tout prix être rentable, est désormais dans un état de délabrement tel que les moyens les plus élémentaires font défaut : « tout manque, à commencer par les blouses, puisque aujourd’hui, le personnel médical utilise aussi des sacs poubelles en guise de blouses »

    (16).

    En France, à l'instar des autres pays capitalistes, la gestion de la pandémie par Macron et la classe qui l'a installé au pouvoir, est pour le moins chaotique. Mais derrière cette impréparation, ces hésitations, ces décisions contradictoires et ces mensonges, se cache une ferme volonté de sauver, quoi qu'il en coûte comme disait Macron lui-même, l'économie c'est-à-dire le profit des entreprises au détriment de la santé et de la vie de la population (17). Il faut donc absolument que l'économie continue à tourner malgré les appels répétés et contradictoires au confinement (restez confinés, mais allez travailler !). Certes l'activité économique tourne au ralenti, mais pas tant que cela. Selon l'Insee « l’économie française tourne à 65 % par rapport à la normale » (18).

    La chute est importante, mais Macron et son gouvernement, comme on vient de le préciser précédemment, sont déterminés à prendre toutes les mesures nécessaires pour venir en aide au patronat. D'ailleurs c'est ce que réclame la fédération patronale de la métallurgie : « Tout faire pour que le confinement n'empêche pas le redémarrage de l'activité » (19).

    En théorie, seuls les secteurs indispensables doivent continuer leurs activités. Mais en réalité, « Chaque jour, des millions de salarié.es de secteurs non essentiels sont contraint.es d’aller au travail au risque de contracter et de propager le virus » dénoncent des responsables syndicaux et associatifs, chercheur.es et citoyen.nes dans une lettre ouverte à Muriel Pénicaud ministre du Travail et ancienne dirigeante d'entreprise. Il faut produire sans trêve du travail source de profit ! (20).

    Précisons aussi que les entreprises dites « essentielles » pourront faire travailler leurs salariés jusqu'à 60 heures par semaine (21).

    Une nouvelle loi adoptée le 22 mars 2020 permet au gouvernement « d'assouplir » le code du travail afin de « permettre aux employeurs de disposer plus librement de leurs salariés » (22).

    A cette priorité donnée à l'économie au détriment de la santé, il faut ajouter l'état de « dégradation exponentielle du service public hospitalier » comme le souligne un collectif de médecins dans un communiqué adressé au premier ministre (23). Cette dégradation ne date pas d'aujourd'hui. Il est le fruit d'une farouche volonté des gouvernements successifs de détruire le système de santé publique (24).

    La pandémie a eu au moins le mérite, si l'on peut dire, de révéler au grand jour combien ces politiques d'austérité et de privatisation, sources du drame de l'hôpital public, sont criminelles. L'hôpital public aujourd'hui manque de tout. Et c'est dans ces conditions que l'ensemble du personnel soignant affronte courageusement ce terrible virus. Et rien ne présage, malheureusement, la remise en cause de ces politiques après la pandémie. Le premier ministre ne disait-il pas que les plans de réorganisation des hôpitaux étaient seulement suspendus après les déclarations de Christophe Lannelongue, en pleine bataille contre le covid. En effet, ce dernier, directeur de l’ARS, déclarait vouloir supprimer 174 lits et 589 emplois au CHRU de Nancy sur cinq ans (25).

  • #2
    Partie 2 suite

    A une question concernant la fermeture de lits, la porte-parole du gouvernement Sibeth Ndiaye a répondu : « je ne peux pas vous le dire, nous considérons aujourd’hui qu’il devra y avoir un dialogue avec ceux qui travaillent à l’hôpital » (26). Une note de la Caisse des dépôts et consignations, publiée par Mediapart, montre clairement que Macron compte accélérer le processus de privatisation et de marchandisation de l'hôpital public à la sortie de la crise (27).

    Dans tous ces pays, le profit passe avant la santé et la vie de la population. Les politiques d'austérité et les processus de privatisation ont mis le système de santé publique dans une situation extrêmement difficile obligeant parfois les médecins à trier les patients et à faire des choix plus « éthique que clinique ». Des vies humaines n'ont pas pu être sauvées faute de moyens.

    Aux États-Unis, l'absence d'une véritable couverture maladie universelle s'est traduite pendant cette crise sanitaire par un nombre impressionnant de décès notamment chez les plus démunis.

    La pandémie du Coronavirus est en quelque sorte le miroir d'une société marchande qui a perdu ses repères humains ; il ne lui reste comme guide et comme horizon ultime que le profit.

    Crises sanitaires, crises économiques, crises écologiques de plus en plus violentes et imprévisibles montrent que le capitalisme est non seulement un système inefficace, mais surtout constitue une véritable menace à l'existence même de l'humanité. Le capitalisme ne disparaîtra pas de lui-même. Mais aujourd’hui ses contradictions et ses limites sont portées à leur paroxysme créant peut-être des conditions favorables à sa destruction. L’unité de tous les prolétaires, sacrifiés à l'échelle planétaire sur l'autel du profit, est vitale pour hâter la disparition d’un système ennemi de l’homme et de la nature.

    Mohamed Belaali

    Agoravox 14 avril 2020

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    • #3
      des gens meurent à cause d'un virus qui ne fait pas de différence entre communiste ou capitaliste, musulman ou juif, noir ou blanc, pauvre ou riche...


      et toi tout ce que tu trouves à mettre c'est un smiley....quelle honte.

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      • #4
        La véritable nature du capitalisme apparaît ?

        Oui, je pense que oui, le capitalisme montre son incapacité à résoudre
        le problème de la santé des peuples du monde. Bien au contraire, il sème les maladies.

        Voici un exemple parmi tant d'autres et que j'ai vécu personnellement avec un médecin privé à Oran.

        Il y a trois semaines environ, je suis allé consulter un médecin spécialiste des reins et de la vessie. Il me dit que j'ai une lésion à la vessie et pour son traitement, il me fait savoir son tarif : pas moins de 8 millions de centimes.

        Donc, avec le privé, si tu n'as pas assez d'argent, tu es éliminé. Tu n'es pas soigné. Une logique implacable du pouvoir de l'argent.

        Et vous prétendez, que pour nous, les pauvres, le socialisme (ou communisme) est mauvais ?! Voilà pourquoi, la rahma, elle est chez le socialisme, cette rahma de l'islam. Et bon pas chez le secteur privé ou le capitalisme. Je serai tenté de dire que le capitalisme (dans la santé du moins) est KAFFER !!

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        • #5
          @overclocker : j'ai mis un article ici et pas un smiley

          J'ai mis un article ici qui montre bien la faillite totale du capitalisme et du secteur privé de la santé. Et j'ai mis ici, ma consultation chez un médecin privé qui demande pour me soigner un prix que les gens ordinaires, donc, la majorité ne peuvent régler.
          Où est la rahma, où est l'humanité chez le privé et la logique capitaliste.
          Et vous osez dire que le socialisme est contraire à l'islam. Mais la réalité montre bien que c'est le secteur privé de santé et le capitalisme qui sont opposés à l'islam et à l'humain et à l'humanité. Les faits sont têtus.

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          • #6
            Nous avons vu qui a aidé l'Italie!
            Le capitalisme actuel rejoint le capitalisme féodal du moyen âge.
            Le comportement de beaucoup de capitalistes s'apparente aux comportements des rois et des princes du moyen âge.
            - Droit de cuissage!
            - Mépris des pauvres!
            - Au dessus des lois!
            - Les richesses du pays leur appartiennent et pour certains mêmes les vivants à deux pattes leur appartiennent!
            Le capitalisme d'Adam Smith, de Ricardo et consorts, c'est du passé.
            Jusqu'à preuve du contraire, ce sont les pays communistes ou socialistes qui gèrent le mieux cette calamité, et ceux-là mêmes qui aident les autres!

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            • #7
              Une seule solution à tous nos problèmes : le communisme.

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              • #8
                Staline, Mao, Kim jung et consort ont fait des dizaines de
                millions de morts.

                Donc le corona est beaucoup moins nocif

                En plus c'est un régime communiste qui a
                diffusé le virus
                J'aime surfer sur la vague du chaos.

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                • #9
                  @hmida

                  Votre texte : Staline, Mao, Kim jung et consort ont fait des dizaines de
                  millions de morts.

                  Donc le corona est beaucoup moins nocif

                  En plus c'est un régime communiste qui a
                  diffusé le virus.

                  Réponse : révisez votre lecture de l'histoire. Les grands moyens de désinformation et
                  de propagande du capitalisme ont réussit à déformer l'histoire et aussi les faits de tous les jours, et, cela dans le but de cacher les défaillances et les crimes contre les peuples du capitalisme.

                  Un exemple récent : Trump ment aussi bien sur le degré de gravité du Corona dans son pays que sur le "lieu" de provenance du virus dans le but de cacher sa gestion catastrophique de son pays surtout sur l'affrontement du virus.

                  Là où il y a le communisme en force, il y a une forte résistance contre le capitalisme. Un
                  exemple : lors de l'invasion du Vietnam par les USA, c'est le parti communiste vietnamien qui a organisé la lutte armée de libération du pays. Ici, dans cette guerre contre le Vietnam, on voit bien qui tue le peuple vietnamien et qui le massacre. Donc, ta fausse thèse de "communistes tueurs de millions de morts" est archi obsolète et contraire à la vérité !!

                  Mon défunt père avait vécu au temps de la colonisation française. Il était ouvrier avec ses camarades français et algériens chez une entreprise française.

                  Il m'avait dit : seul le parti communiste et le syndicat nous défendaient contre les racistes pied noir et autres. Dans ce contexte précis que je raconte ici, tu te places toi, avec le patronat contre les communistes !!

                  Es-tu mal informé ou bien un type qui travaille pour ses patrons capitalistes ?

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                  • #10
                    @overclocker : j'ai mis un article ici et pas un smiley

                    le smiley avec grand sourire est de trop dans ces périodes là...tu peux défendre la communisme comme tu veux...mais c'est de morts dont on parle....pour la plupart du peuple...ceux qui aussi pouvait rêver de communisme comme système....


                    tu voulais tetcheffa sur le dos des morts...et tu attends rahma...va falloir réviser tes basiques....

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                    • #11
                      Jusqu'à preuve du contraire, ce sont les pays communistes ou socialistes qui gèrent le mieux cette calamité, et ceux-là mêmes qui aident les autres!
                      Ce sont les 35 heures imposées par les socialistes qui ont commencé à désorganiser les hopitaux français.
                      Il y a plus d'un million de fonctionnaires dans ces hopitaux.
                      Combien de bureaucrates improductifs parmi eux ?
                      Où est le capitalisme là-dedans ?

                      Les Allemands ont beaucoup mieux traité cette épidémie que nous, en dépensant moins pour leur santé, avec du personnel soignant qui n'a pas le statut de fonctionnaire.
                      Dernière modification par scipio, 14 avril 2020, 18h46.
                      au n°16 de la rue Grande-Pohulanka, à Wilno, habitait M. Piekielny

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                      • #12
                        35 heures


                        Mais non scipio, ''normalement'', avec la Santé, on ne fait plus de calcul d'épicier, 35 heures ou 22 heures, ça n'a pas de prix ce truc là.

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