Tweet
Un séminaire national sur : « La contribution des Compétences Algériennes à l’étranger à la Nouvelle Stratégie Industrielle et à l‘approfondissement de l’économie de la connaissance » sera organisé les 8 avril et 9 avril courant à Alger, par le Réseau MAGHTECH et l’Association Algérienne pour le Transfert de Technologies ( A2t2), en partenariat avec l’Institut Supérieur de Gestion et de Planification ISGP), qui abritera les séminaire, et la revue Partners Economie, a appris l’AAI. Avec la mondialisation et l’accélération de l’innovation technologique, les Pays en Voie de Développement (PVD) sont mis face à « de nouveaux défis de performances de compétitivité jamais rencontrés auparavant », d’où « la nécessité impérieuse, de mise en place de stratégies de mobilisation de tout leur potentiel humain, qu’il soit à l’intérieur ou à l’extérieur du pays », estiment les organisateurs.
Les pays qui l’ont réalisée (Stratégie de mobilisation du potentiel humain) très tôt arrivent à bien se positionner et tenir tête au double défi de l’ouverture et de la technologie. Ce sont les pays émergents qui ont su tirer profit de leurs compétences établies à l’extérieur dans les domaines scientifique, technologique et entrepreneurial, comme la Corée du Sud, la Chine et l’Inde, selon la même source. “L’Algérie, face à des défis analogues, et qui de plus est connue pour la masse de ses compétences d’exception établies à l’étranger ne saurait rester en marge de cette tendance mondiale et se doit de mobiliser au maximum ce formidable réservoir de connaissances, de dynamisme entrepreneurial et d’investissement face aux échéances des accords d’association et des futurs accords de l’OMC, en particulier » estime la même source.
Au moment où le dossier de la Nouvelle Stratégie Industrielle fait l’objet d’un large débat, et dans lequel la dimension innovation apparaît comme élément central dans la compétitivité et la diversification, « il est opportun, selon les organisateurs, de se poser la question des apports de ces compétences à la nouvelle stratégie industrielle. Quels sont les nouveaux modes de mobilisation ? Quelle stratégie adopter d’une manière générale ? Quels sont les acteurs susceptibles de contribuer à une mobilisation et une insertion effective à cette mobilisation ? Ce sont ces questions « clés » autour desquelles sera organisé le débat lors de ce séminaire et « auxquelles nous essayerons d’apporter des débuts de réponses », affirme-t-on, de même source.
Les spécialistes, universitaires, chercheurs et praticiens nationaux qui animeront le débat autour de ces questions, sont des professeurs Algériens versés dans le domaine. Abdellatif BENACHENHOU ,ancien ministre des Finances, interviendra, à cette occasion, sur : « La participation des compétences algériennes à l’étranger à l’investissement et la diversification ». Abdelkader DJEFLAT ,Président CSI MAGHTECH/ CREAD, abordera, quant à lui, : « Les apports des compétences algériennes à la stratégie industrielle et les défis d’une économie fondée sur la connaissance ». Le Dr. Ahmed DJEBBAR, ancien ministre de l’Education Nationale et Pr. A l’Université de Lille 1 planchera sur : « Les Apports et Flux de connaissances des diasporas dans l’histoire des sciences musulmanes ». AbderrahmaneTADJEDDINE du CNRS (France) : : Livrera une communication intitulée : « De la perte des cerveaux à leur intégration dans le développement du pays: quelques lignes de réflexion basées sur mon expérience ».
Mohamed BAHLOUL , Directeur de l’IDRH Oran exposera les : « Eléments pour une stratégie de mobilisation de la diaspora dans le cadre de la relance et la modernisation industrielle », tandis que Ahmed Damou, Président de l’Association Algérienne pour le Transfert de Technologies (A2t2), se penchera sur : « Les apports des programmes internationaux à la mobilisation des diasporas : le cas du programme TOKTEN et sa faisabilité pour l’Algérie ». Kamel KORSO, Directeur Général AtW (Paris :Alger) exposera : « La diaspora innovante et sa contribution à la mise en place du nouveau système d’innovation en industrie : cas pratique » et Kadi Lamine, Recteur Université de Mostagnem, abordera le thème de :« L’université comme moyen de mobilisation des flux de connaissances dans la nouvelle stratégie ».
Après les débats, la première journée sera clôturée par une Synthèse et des conclusions qui seront soumises aux participants parmi lesquels il est attendu aussi des entrepreneurs algériens, tandis que le deuxième et dernier jour, sera consacré à la réunion du groupe d’experts et de chercheurs pour le Follow up : listes des recommandations, Institutionnalisation et Programme de travail futur.
source : AAI
Les pays qui l’ont réalisée (Stratégie de mobilisation du potentiel humain) très tôt arrivent à bien se positionner et tenir tête au double défi de l’ouverture et de la technologie. Ce sont les pays émergents qui ont su tirer profit de leurs compétences établies à l’extérieur dans les domaines scientifique, technologique et entrepreneurial, comme la Corée du Sud, la Chine et l’Inde, selon la même source. “L’Algérie, face à des défis analogues, et qui de plus est connue pour la masse de ses compétences d’exception établies à l’étranger ne saurait rester en marge de cette tendance mondiale et se doit de mobiliser au maximum ce formidable réservoir de connaissances, de dynamisme entrepreneurial et d’investissement face aux échéances des accords d’association et des futurs accords de l’OMC, en particulier » estime la même source.
Au moment où le dossier de la Nouvelle Stratégie Industrielle fait l’objet d’un large débat, et dans lequel la dimension innovation apparaît comme élément central dans la compétitivité et la diversification, « il est opportun, selon les organisateurs, de se poser la question des apports de ces compétences à la nouvelle stratégie industrielle. Quels sont les nouveaux modes de mobilisation ? Quelle stratégie adopter d’une manière générale ? Quels sont les acteurs susceptibles de contribuer à une mobilisation et une insertion effective à cette mobilisation ? Ce sont ces questions « clés » autour desquelles sera organisé le débat lors de ce séminaire et « auxquelles nous essayerons d’apporter des débuts de réponses », affirme-t-on, de même source.
Les spécialistes, universitaires, chercheurs et praticiens nationaux qui animeront le débat autour de ces questions, sont des professeurs Algériens versés dans le domaine. Abdellatif BENACHENHOU ,ancien ministre des Finances, interviendra, à cette occasion, sur : « La participation des compétences algériennes à l’étranger à l’investissement et la diversification ». Abdelkader DJEFLAT ,Président CSI MAGHTECH/ CREAD, abordera, quant à lui, : « Les apports des compétences algériennes à la stratégie industrielle et les défis d’une économie fondée sur la connaissance ». Le Dr. Ahmed DJEBBAR, ancien ministre de l’Education Nationale et Pr. A l’Université de Lille 1 planchera sur : « Les Apports et Flux de connaissances des diasporas dans l’histoire des sciences musulmanes ». AbderrahmaneTADJEDDINE du CNRS (France) : : Livrera une communication intitulée : « De la perte des cerveaux à leur intégration dans le développement du pays: quelques lignes de réflexion basées sur mon expérience ».
Mohamed BAHLOUL , Directeur de l’IDRH Oran exposera les : « Eléments pour une stratégie de mobilisation de la diaspora dans le cadre de la relance et la modernisation industrielle », tandis que Ahmed Damou, Président de l’Association Algérienne pour le Transfert de Technologies (A2t2), se penchera sur : « Les apports des programmes internationaux à la mobilisation des diasporas : le cas du programme TOKTEN et sa faisabilité pour l’Algérie ». Kamel KORSO, Directeur Général AtW (Paris :Alger) exposera : « La diaspora innovante et sa contribution à la mise en place du nouveau système d’innovation en industrie : cas pratique » et Kadi Lamine, Recteur Université de Mostagnem, abordera le thème de :« L’université comme moyen de mobilisation des flux de connaissances dans la nouvelle stratégie ».
Après les débats, la première journée sera clôturée par une Synthèse et des conclusions qui seront soumises aux participants parmi lesquels il est attendu aussi des entrepreneurs algériens, tandis que le deuxième et dernier jour, sera consacré à la réunion du groupe d’experts et de chercheurs pour le Follow up : listes des recommandations, Institutionnalisation et Programme de travail futur.
source : AAI
Commentaire