Par Ibrahima jr Dia -17 avril, 2020
Devancée par son rival américain, l’Algérie est désormais le deuxième fournisseur de gaz de l’Espagne. Une première depuis plus de 30 ans, rapporte vendredi 17 avril, le site d’information espagnole «La Informacion».
Selon le rapport de l’organisation gestionnaire des réserves en hydrocarbures espagnoles (Cores), les États-Unis, ont couvert 27% des besoins espagnols en gaz naturel, contre 22, 6% pour l’Algérie durant le mois de février. Si l’on se fie aux statistiques publiées, les exportations algériennes d’hydrocarbures vers son voisin nord-méditerranéen, ont chuté de 38,4% durant le dernier exercice. À titre de comparaison, Madrid a importé près de la moitié (48,5%) de ses besoins en gaz naturel d’Algérie en 2018. Cette baisse est due essentiellement à la nouvelle politique d’approvisionnement des ressources mise en place par le gouvernement espagnol. Une stratégie qui a été en faveur de Washington, profitant de cette nouvelle donne pour augmenter ses parts de marchés au détriment d’Alger.
Les Etats -Unis ont exportés une quantité record de 1,4 million de tonnes de brut. La reprise des importations du Venezuela, qui ont été multipliées par sept (+561%) durant la période d’octobre 2018/2019, n’ayant pas arrangé les affaires de la société publique algérienne des hydrocarbures, Sonatrach, acteur majeur dans l’industrie pétrolière et gazière en Afrique. La première entreprise du continent est présente à travers sa filiale Sipex (Sonatrach International Production and Exploration Corporation) dans plusieurs pays d’Afrique notamment au Mali, en Mauritanie, en Égypte en Libye et au Niger.
Devancée par son rival américain, l’Algérie est désormais le deuxième fournisseur de gaz de l’Espagne. Une première depuis plus de 30 ans, rapporte vendredi 17 avril, le site d’information espagnole «La Informacion».
Selon le rapport de l’organisation gestionnaire des réserves en hydrocarbures espagnoles (Cores), les États-Unis, ont couvert 27% des besoins espagnols en gaz naturel, contre 22, 6% pour l’Algérie durant le mois de février. Si l’on se fie aux statistiques publiées, les exportations algériennes d’hydrocarbures vers son voisin nord-méditerranéen, ont chuté de 38,4% durant le dernier exercice. À titre de comparaison, Madrid a importé près de la moitié (48,5%) de ses besoins en gaz naturel d’Algérie en 2018. Cette baisse est due essentiellement à la nouvelle politique d’approvisionnement des ressources mise en place par le gouvernement espagnol. Une stratégie qui a été en faveur de Washington, profitant de cette nouvelle donne pour augmenter ses parts de marchés au détriment d’Alger.
Les Etats -Unis ont exportés une quantité record de 1,4 million de tonnes de brut. La reprise des importations du Venezuela, qui ont été multipliées par sept (+561%) durant la période d’octobre 2018/2019, n’ayant pas arrangé les affaires de la société publique algérienne des hydrocarbures, Sonatrach, acteur majeur dans l’industrie pétrolière et gazière en Afrique. La première entreprise du continent est présente à travers sa filiale Sipex (Sonatrach International Production and Exploration Corporation) dans plusieurs pays d’Afrique notamment au Mali, en Mauritanie, en Égypte en Libye et au Niger.
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