[Transcription Message Vidéo] :
Un officier à la Retraite s'adresse au Général Major Said CHENGRIHA
Bonjour
C'est en ma qualité d'officier de l'armée algérienne à la retraite depuis le 16 octobre 1992 que je m'adresse en général major Said CHENGRIHA chef d'état-major de l'ANP par intérim.
Mon général !
La situation est grave. L'armée nationale populaire polémique avec l'opinion publique, polémique avec des réseaux sociaux. Ce n'est pas du tout le rôle d'une armée dans la mission première est la défense des intérêts du pays notamment l'intégrité territoriale du pays et les intérêts de l'état et du peuple algérien.
Pourquoi cette polémique ?
Parce que des réseaux sociaux qui suppléent des moyens d'information d'opter est guère crédible, diffusent des informations parfois bonne, parfois mauvaise.
Mais c'est ainsi qu'a décidé le régime algérien en corrompant,en domptant, en brisant les médias que des professionnels de la presse, utilisent aujourd'hui des réseaux sociaux, tout comme des amateurs aussi les utilisent. Pour la simple raison que l'opinion publique n'a plus confiance en cette presse stipendiés.
Une presse muselée par un pouvoir qui refuse de dire la vérité, et d'entendre la vérité.
Un pouvoir qui a réussi à créer une forme de propagandistes sans foi ni loi, qui ne se soucient guère de leur crédibilité, ni du bien du pays. un fone qui a pour devise, le roi est mort vive le roi. Celui qui épousent mon père ma mère, je l'appelle mon père.
Le plus lésé de ses laudateurs, le plus lésé de ses propagandistes, vous l'avez mis en prison.
Voilà l'ennemi en table parce qu'il s'était trompé de cible dans cette guéguerre de clan provoquées par des généraux parvenus, et qui n'ont jamais rêvé d'occuper des postes si sensible.
Mon général,
Vous vous interrogez certainement pourquoi l'opinion publique s'intéresse-t-elle à la vie militaire ? s'intéresse-t-elle à ce qui se passe dans les casernes ?
Eh bien, c'est parce que vous médiatisez vos visites sur le terrain.
Que vous obligez des chaînes de télévision de diffuser vos discours prononcé dans des casernes. Comme le faisait autrefois votre prédécesseur qui a poussé le bouchon jusqu'à prononcer deux discours par semaine dans des casernes et où ils parlent de politique à un auditoire qui a besoin d'écouter autre chose que des discours politiques.
C'est pour cette raison qu'aujourd'hui l'opinion publics s'intéressent malgré elle à ce qui se passe dans les casernes.
Autrefois on ne médiatisait pas du tout, mais vraiment n'en parlez pas du tout de la désignation d'un directeur général Adjoint d'une structure donnée, aussi importante soit-elle que la direction de la sécurité intérieure.
Autrefois, le chef de l'état major de l'armée ne procédait pas à l'installation d'un subalterne, d'un directeur adjoint. Autrefois on ne rendait pas compte des désignations d'officier à des postes sensibles ou pas.
Mais aujourd'hui, vous le faites.
Aujourd'hui, on connaît les noms des différents directeurs centraux. Notamment quand il s'agit de la sécurité, ce secteur si sensible et dont les chefs étaient des inconnus de l'opinion publique par souci de sécurité.
Aujourd'hui pour démentir des informations fausses fut-elle, vos officiers chargés de rédiger le communiqué usent des montages orduriers. D'un langage qui date des années de plomb. D'un langage où se mêlent l'accusation à l'infamie.
Vos officiers qui rédigent ces communiqués de presse pour démentir une information qui reste encore douteuse. Dans la mesure où le communiqué diffusé continue d'entretenir le doute. En usant d'un langage plein de sous-entendus, mais un langage fait de langue de bois.
Mon général !
Là où vous n'avez pas bien saisi l'intention de ceux qui ont colporté ces informations faisant état de l'arrestation d'officiers impopulaires, d'officiers qui ont souillé l'honneur de l'armée en impliquant dans des guerres de clans dont l'armée n'a nullement besoin. Ces gens qui ont colporté ces informations, l'on fait dans un esprit de soulagement, dans un esprit de voir cette armée enfin épurée de cette faune d'officiers parvenus, qui n'ont fait que du mal et à la vieillit et à son armée.
Trouvez-vous normal qu'un chef militaire chargé de la guerre électronique, se rabaisse à entretenir une faune de mouches électronique.
Trouvez-vous normal qu'un directeur général de la sécurité intérieure ne trouve pas mieux que de manipuler des gens malhonnêtes pour les attirer dans son giron.
On croyait que le général-major CHENGRIHA allait faire rentrer ses troupes dans leur caserne, et laisser la politique aux politiciens en neutralisant ces officiers.
On pensait que vous avez bien fait, et en agissant de la sorte pour faire taire ces langues qui parle d'un antagonisme entre celui qui a été désigné président de la république et celui qui l'a désigné comme chef d'état major par intérim, refusant de le nommer celle d'un major de manière toute simple et tout court.
On croyait que le général CHENGRIHA, par ces arrestations, et ces neutralisation, avait apporté sa touche pour redonner à l'armée algérienne la confiance dont elle a besoin. Pour redonner à l'armée algérienne la stature qui a été sienne pendant de longues années.
Et on pensait qu'avec la neutralisation de ces officiers qui ont fait du mal à l'algérie et à son armée, vous vous alliez nous faire croire à la réconciliation entre le peuple et son armée, le peuple et sa direction politique !
Malheureusement mon général, par ce démenti, vous allez m'obliger à croire à cette source qui me disait à quelques jours que le Général GAID SALAH avait mis en garde Abdelmajid TEBBOUNE, contre votre personne, en lui disant CHENGRIHA ne voulait pas de toi à EL MOURADIA
Au revoir
Hicham ABOUD
Message de Hicham ABOUD (en Version ARABE)
Message de Hicham ABOUD (en Version FRANÇAISE)
Un officier à la Retraite s'adresse au Général Major Said CHENGRIHA
Bonjour
C'est en ma qualité d'officier de l'armée algérienne à la retraite depuis le 16 octobre 1992 que je m'adresse en général major Said CHENGRIHA chef d'état-major de l'ANP par intérim.
Mon général !
La situation est grave. L'armée nationale populaire polémique avec l'opinion publique, polémique avec des réseaux sociaux. Ce n'est pas du tout le rôle d'une armée dans la mission première est la défense des intérêts du pays notamment l'intégrité territoriale du pays et les intérêts de l'état et du peuple algérien.
Pourquoi cette polémique ?
Parce que des réseaux sociaux qui suppléent des moyens d'information d'opter est guère crédible, diffusent des informations parfois bonne, parfois mauvaise.
Mais c'est ainsi qu'a décidé le régime algérien en corrompant,en domptant, en brisant les médias que des professionnels de la presse, utilisent aujourd'hui des réseaux sociaux, tout comme des amateurs aussi les utilisent. Pour la simple raison que l'opinion publique n'a plus confiance en cette presse stipendiés.
Une presse muselée par un pouvoir qui refuse de dire la vérité, et d'entendre la vérité.
Un pouvoir qui a réussi à créer une forme de propagandistes sans foi ni loi, qui ne se soucient guère de leur crédibilité, ni du bien du pays. un fone qui a pour devise, le roi est mort vive le roi. Celui qui épousent mon père ma mère, je l'appelle mon père.
Le plus lésé de ses laudateurs, le plus lésé de ses propagandistes, vous l'avez mis en prison.
Voilà l'ennemi en table parce qu'il s'était trompé de cible dans cette guéguerre de clan provoquées par des généraux parvenus, et qui n'ont jamais rêvé d'occuper des postes si sensible.
Mon général,
Vous vous interrogez certainement pourquoi l'opinion publique s'intéresse-t-elle à la vie militaire ? s'intéresse-t-elle à ce qui se passe dans les casernes ?
Eh bien, c'est parce que vous médiatisez vos visites sur le terrain.
Que vous obligez des chaînes de télévision de diffuser vos discours prononcé dans des casernes. Comme le faisait autrefois votre prédécesseur qui a poussé le bouchon jusqu'à prononcer deux discours par semaine dans des casernes et où ils parlent de politique à un auditoire qui a besoin d'écouter autre chose que des discours politiques.
C'est pour cette raison qu'aujourd'hui l'opinion publics s'intéressent malgré elle à ce qui se passe dans les casernes.
Autrefois on ne médiatisait pas du tout, mais vraiment n'en parlez pas du tout de la désignation d'un directeur général Adjoint d'une structure donnée, aussi importante soit-elle que la direction de la sécurité intérieure.
Autrefois, le chef de l'état major de l'armée ne procédait pas à l'installation d'un subalterne, d'un directeur adjoint. Autrefois on ne rendait pas compte des désignations d'officier à des postes sensibles ou pas.
Mais aujourd'hui, vous le faites.
Aujourd'hui, on connaît les noms des différents directeurs centraux. Notamment quand il s'agit de la sécurité, ce secteur si sensible et dont les chefs étaient des inconnus de l'opinion publique par souci de sécurité.
Aujourd'hui pour démentir des informations fausses fut-elle, vos officiers chargés de rédiger le communiqué usent des montages orduriers. D'un langage qui date des années de plomb. D'un langage où se mêlent l'accusation à l'infamie.
Vos officiers qui rédigent ces communiqués de presse pour démentir une information qui reste encore douteuse. Dans la mesure où le communiqué diffusé continue d'entretenir le doute. En usant d'un langage plein de sous-entendus, mais un langage fait de langue de bois.
Mon général !
Là où vous n'avez pas bien saisi l'intention de ceux qui ont colporté ces informations faisant état de l'arrestation d'officiers impopulaires, d'officiers qui ont souillé l'honneur de l'armée en impliquant dans des guerres de clans dont l'armée n'a nullement besoin. Ces gens qui ont colporté ces informations, l'on fait dans un esprit de soulagement, dans un esprit de voir cette armée enfin épurée de cette faune d'officiers parvenus, qui n'ont fait que du mal et à la vieillit et à son armée.
Trouvez-vous normal qu'un chef militaire chargé de la guerre électronique, se rabaisse à entretenir une faune de mouches électronique.
Trouvez-vous normal qu'un directeur général de la sécurité intérieure ne trouve pas mieux que de manipuler des gens malhonnêtes pour les attirer dans son giron.
On croyait que le général-major CHENGRIHA allait faire rentrer ses troupes dans leur caserne, et laisser la politique aux politiciens en neutralisant ces officiers.
On pensait que vous avez bien fait, et en agissant de la sorte pour faire taire ces langues qui parle d'un antagonisme entre celui qui a été désigné président de la république et celui qui l'a désigné comme chef d'état major par intérim, refusant de le nommer celle d'un major de manière toute simple et tout court.
On croyait que le général CHENGRIHA, par ces arrestations, et ces neutralisation, avait apporté sa touche pour redonner à l'armée algérienne la confiance dont elle a besoin. Pour redonner à l'armée algérienne la stature qui a été sienne pendant de longues années.
Et on pensait qu'avec la neutralisation de ces officiers qui ont fait du mal à l'algérie et à son armée, vous vous alliez nous faire croire à la réconciliation entre le peuple et son armée, le peuple et sa direction politique !
Malheureusement mon général, par ce démenti, vous allez m'obliger à croire à cette source qui me disait à quelques jours que le Général GAID SALAH avait mis en garde Abdelmajid TEBBOUNE, contre votre personne, en lui disant CHENGRIHA ne voulait pas de toi à EL MOURADIA
Au revoir
Hicham ABOUD
Message de Hicham ABOUD (en Version ARABE)
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