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Dernière étude sur le COVID19

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  • Dernière étude sur le COVID19

    Très important concernant la recherche sur le COVID-19 :
    Plusieurs équipes dans plusieurs pays (notamment en Chine, en France - à Lille - aux USA), ont fait une découverte majeure qui offre un grand espoir de traitement du covid :
    Le virus, en effet, ne tuerait pas directement, mais par l'intermédiaire d'une bactérie intestinale qu'il infecterait, la Prevotella... et c'est cette bactérie infectée qui, devenant virulente, déclencherait l'hyper-réaction immunitaire qui délabre les poumons et tue le malade !
    Ceci expliquerait :
    Pourquoi le traitement du Dr. Raoult, utilisant un antibiotique (l'Azithromycine), et plus encore celui du Dr Sabine Paliard-Franco, qui préconise une double antibiothérapie, fonctionnent,
    Pourquoi les enfants sont épargnés et les personnes âgées plus touchées : Provetella est quasiment absente de la flore intestinale enfantine, mais de plus en plus présente avec l'âge,
    Pourquoi les obèses sont beaucoup plus touchés : leur flore intestinale déséquilibrée contient beaucoup de Prevotella !
    Pourquoi les complications pulmonaires se déclenchent alors qu'on ne retrouve pratiquement plus de covid dans l'appareil respiratoire, la bactérie infectée (qu'on retrouve dans les selles, contenant de l'ARN du covid et parfois même des virus vivants) prenant le relai de son attaque initiale (bénigne), de manière beaucoup plus dramatique, en déclenchant l'hyper-réaction immunitaire inflammatoire qui noie les poumons...
    Pourquoi le virus peut réapparaître chez un patient guéri (avec alternance de positivité et de négativité des tests), car la bactérie, toujours présente dans la flore intestinale, en reste l'hôte et peut le relarguer à tous moments...
    Bref, cela expliquerait tout ; et cette cohérence augure de la validité de l'hypothèse.
    On tient donc une confirmation de l'intérêt de l'azithromycine, comme thérapeutique curative, à prescrire dès le début de l'infection... et même une piste prometteuse pour traiter préventivement les infections graves (des coronavirus... et sans doute aussi de la grippe !), ce traitement passant par le rétablissement d'une flore intestinale saine qui neutralise Prevotella (par la prescriptions de "probiotiques", c'est à dire d'une bonne flore intestinale)...
    Il est clair que cette piste thérapeutique ultra-prometteuse bon-marché rendrait alors caduque l'utilisation d'un vaccin, de découverte aléatoire et onéreuse...
    Bonne santé à tous.
    J'espère que ce n'est pas un fake news
    Dernière modification par molker, 20 avril 2020, 17h06.
    L’ignorant affirme, le savant doute, le sage réfléchit.”Aristote

  • #2
    Pourquoi les obèses sont beaucoup plus touchés : leur flore intestinale déséquilibrée contient beaucoup de Prevotella !
    En supposant que tout ce qu'a dit le texte du topic est scientifiquement ''prouvé'',et sachant que l'obésité n'a jamais été signe de bonne santé, est ce que cela voudrait dire que des populations '' non bien nourris '' comme le sont les sociétés de consommation ne seraient pas menacées même en cas de présence du virus dans leur organisme?
    Je pense que jusqu'à maintenant et avant l'urgence de trouver on assistera à toutes sortes de''theories'' qui resteront à ce stade uniquement.

    Je commence de plus en plus à croire que ce virus est le résultat d'un laboratoire et qu'il leurs a échappé, devenu hors contrôle.
    Parce-que croire qu'un virus connu depuis 1930 et que soudainement ces dernières années il commence à muter multipliant son agressivité par des facteurs de dix en brûlant ses étapes naturelles me pose beaucoup d'interrogations et certainement aussi des difficultés à croire ce qui se dit de la part de la communauté scientifique bien pensante.
    Dernière modification par Anzoul, 20 avril 2020, 17h31.

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    • #3
      Massa el khir ^^

      On dit beaucoup sur ce virus .. mai en réalité on le connait pas encore !
      Les erreurs ne se regrettent pas, elles s'assument ..
      La peur ne se fuit pas, elle se surmonte ..
      L'amour ne se crie pas, il se prouve.

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      • #4
        Un article publié le 7 avril sur Agoravox par un certain Bio moon sous le titre:

        Covid-19 : Et si l’orage de cytokines qui tue les victimes était provoqué par la bactérie Prevotella ?

        Un petit extrait:

        Je m'autorise donc ici, moi, petit professeur en confinement, sans souris à cobayer, sans même un tube à essais, à vous soumettre une hypothèse, juste une hypothèse. Il semble que vous ayez enfin décidé de vous poser des questions, vos essais randomisés n'étant à priori pas concluants... Je vous propose une réponse simple, presque évidente : la bactérie Prevotella est responsable de tous les paramètres épidémiologiques et symptomalogiques de cette pandémie. Et puisque vous vous interrogez sur un de ces paramètres, l'orage de cytokines qui tue les patients infectés et bien je vous invite à consulter la publication (3) qui donne lieu au schéma ci-présent et vous comprendrez que cette orage de cytokines est la signature de Prevotella comme d'ailleurs tous les autres paramètres de cette maladie infectieuse. Pour combattre efficacement le SARS-Cov-2, il faut tuer Prevotella.

        Aussi, je vais ici proposer plusieurs stratégies médicamenteuses. Mais je ne suis pas non plus médecin et je n'ai pas l'intention de prescrire quoi que ce soit, à qui que ce soit. Je ne souhaite pas que cet article soit mal interprété par le quidam et qu'il donne lieu à des automédications aussi dangereuses que le Covid-19. Seuls les médecins peuvent prescrire des médicaments et seuls des chercheurs évoluant dans un cadre institutionnel exigeant et rigoureux sont habilités à publier des recherches scientifiques sérieuses et valides.

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        • #5
          A propos de cette bactérie:

          Un article publié en 2011 sur futura-sciences :

          Une étude a montré que le type de communautés bactériennes intestinales est directement lié à nos habitudes alimentaires.

          Les êtres humains se divisaient en trois grands types, selon les espèces de micro-organismes en symbiose dans leur intestin.

          Les trois entérotypes (ou signatures bactériennes intestinales) identifiés se composaient:

          - soit de Bacteroides: se développe chez les sujets dont l'alimentation est riche en viande et en graisse animale

          - soit de Ruminococcus: apprécie les gros buveurs d'alcool

          - soit de Prevotella: trouve son bonheur dans les reliefs de repas pleins de sucres.


          Nos communautés bactériennes intestinales dépendent de nos habitudes alimentaires sur le long terme et ne sont affectés que faiblement par des modifications passagères de notre nourriture.

          Titre de l'article sur futura-sciences: Nos écosystèmes intestinaux dépendent de notre alimentation

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