Preuve s'il en est que l'Union du Maghreb arabe (UMA) n'au aucune utilité car ces cinq (5) membres sont en concurrence et ne se complète pas.
- Pommes, blé, médicaments, lait, voitures, téléphones : d’où viennent les produits importés par l’Algérie
Les importations de marchandises de l’Algérie se sont établies à 5403 milliards de dinars en 2018, selon les données publiées par l’Office national des statistiques (ONS) dans son rapport sur l’évolution des échanges extérieurs de marchandises de 2013 à 2018.
29,1% de ces importations ont concerné les équipements industriels. 23,3% ont concerné les demi-produits. 21,1% ont concerné les biens de consommation, tandis que 18,5% de ces importations ont concerné l’alimentation, les boissons et le tabac. Les matières premières ont représenté 3,6% des importations, tandis que l’énergie et les lubrifiants ont représenté 2,3% et les équipements agricoles, 11,2%. Enfin, 0,5% des importations des importations de marchandises ont concerné les produits bruts.
L’Union européenne a représenté le premier fournisseur de l’Algérie en 2018, avec 2466 milliards de dinars d’importations soit 45,7% des importations. L’Asie, dont fait partie la Chine, a quant à elle représenté 1393 milliards de dinars. Les pays arabes ont représenté 223 milliards de dinars, tandis que les pays du Maghreb ont représenté 63 milliards de dinars.
Par pays, la Chine est sans surprise le premier fournisseur de l’Algérie, ayant représenté 916 milliards des importations.
De la Chine, l’Algérie a principalement importé des « postes téléphoniques d’usagers par fil à combines sans fil », à hauteur de 98 milliards de dinars. L’Algérie a également importé de Chine des « tubes et tuyaux des types utilisés pour oléoducs ou gazoducs », à hauteur de 32 milliards de dinars, ainsi que des « pneumatiques neufs en caoutchouc » à hauteur de 30 milliards, des moniteurs et projecteurs à hauteur de 30 milliards également, ou encore des « machines et appareils pour le conditionnement de l’air, collections dites CKD », à hauteur de 22 milliards de dinars.
De la France, l’Algérie a principalement importé du « blé et méteil » à hauteur de 151 milliards de dinars. L’Algérie a également importé pour 60 milliards de dinars de « médicaments » depuis la France en 2018, ainsi que 20 milliards de dinars d’ « automotrices et autorails », 16,5 milliards de dinars de « lait et crème de lait » en poudre et en granules », ou encore 11,8 milliards de dinars de « tubes et tuyaux des types utilisés pour oléoducs ou gazoducs ».
L’Algérie a par ailleurs importé de France pour 11,6 milliards de dinars de « farines lactées même sucrées, contenant du cacao » et pour 11,3 milliards de dinars de « vaches laitières ».
TAS (extraits).
- Pommes, blé, médicaments, lait, voitures, téléphones : d’où viennent les produits importés par l’Algérie
Les importations de marchandises de l’Algérie se sont établies à 5403 milliards de dinars en 2018, selon les données publiées par l’Office national des statistiques (ONS) dans son rapport sur l’évolution des échanges extérieurs de marchandises de 2013 à 2018.
29,1% de ces importations ont concerné les équipements industriels. 23,3% ont concerné les demi-produits. 21,1% ont concerné les biens de consommation, tandis que 18,5% de ces importations ont concerné l’alimentation, les boissons et le tabac. Les matières premières ont représenté 3,6% des importations, tandis que l’énergie et les lubrifiants ont représenté 2,3% et les équipements agricoles, 11,2%. Enfin, 0,5% des importations des importations de marchandises ont concerné les produits bruts.
L’Union européenne a représenté le premier fournisseur de l’Algérie en 2018, avec 2466 milliards de dinars d’importations soit 45,7% des importations. L’Asie, dont fait partie la Chine, a quant à elle représenté 1393 milliards de dinars. Les pays arabes ont représenté 223 milliards de dinars, tandis que les pays du Maghreb ont représenté 63 milliards de dinars.
Par pays, la Chine est sans surprise le premier fournisseur de l’Algérie, ayant représenté 916 milliards des importations.
De la Chine, l’Algérie a principalement importé des « postes téléphoniques d’usagers par fil à combines sans fil », à hauteur de 98 milliards de dinars. L’Algérie a également importé de Chine des « tubes et tuyaux des types utilisés pour oléoducs ou gazoducs », à hauteur de 32 milliards de dinars, ainsi que des « pneumatiques neufs en caoutchouc » à hauteur de 30 milliards, des moniteurs et projecteurs à hauteur de 30 milliards également, ou encore des « machines et appareils pour le conditionnement de l’air, collections dites CKD », à hauteur de 22 milliards de dinars.
De la France, l’Algérie a principalement importé du « blé et méteil » à hauteur de 151 milliards de dinars. L’Algérie a également importé pour 60 milliards de dinars de « médicaments » depuis la France en 2018, ainsi que 20 milliards de dinars d’ « automotrices et autorails », 16,5 milliards de dinars de « lait et crème de lait » en poudre et en granules », ou encore 11,8 milliards de dinars de « tubes et tuyaux des types utilisés pour oléoducs ou gazoducs ».
L’Algérie a par ailleurs importé de France pour 11,6 milliards de dinars de « farines lactées même sucrées, contenant du cacao » et pour 11,3 milliards de dinars de « vaches laitières ».
TAS (extraits).
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