Sonatrach Petroleum Corporation (SPC), filiale de la compagnie nationale d’hydrocarbures, a « totalement réfuté » les informations contenues dans des articles de presse, selon lesquelles un haut cadre de Sonatrach serait impliqué dans un différend étudié par la justice libanaise, a indiqué dimanche SPC dans un communiqué.
« SPC réfute totalement les allégations inexactes et mensongères sur l’implication d’un haut cadre de Sonatrach dans cette affaire et informe que la personne entendue par la justice libanaise, est un agent maritime indépendant, œuvrant pour le compte de SPC », fait savoir la même source.
Cette affaire relève d’un différend qui remonte au 30 mars dernier, quand SPC a été informé par son client, le ministère libanais de l’Electricité et de l’Eau (MEW) d’un souci opérationnel concernant un défaut de qualité sur une des dernières cargaisons de fioul livrée à l’Etablissement Public à caractère Industriel et Commercial Electricité du Liban (EDL) en date du 25 mars 2020.
Depuis, « SPC et le MEW libanais sont en dialogue constant afin d’essayer de résoudre la situation au plus vite et il ne fait aucun doute qu’eu égard aux excellentes relations qui lient SPC au MEW, la situation sera vraisemblablement et définitivement résolue d’ici peu », affirme-t-on dans ce communiqué.
Selon SPC-Sonatrach, ces précisions interviennent suite à la publication d’articles de presse concernant la livraison d’une cargaison de carburant au profit de l’un de ses clients historiques et partenaires stratégiques, SPC chargé du trading et du marketing pétrolier et basé à Londres.
Pour rappel, SPC a conclu, en novembre 2005, un contrat avec le MEW prenant effet au 1er janvier 2006, pour fournir du gazole et du fioul a EDL qui est placé sous la tutelle du MEW Libanais.
Le contrat susmentionné a été, depuis 2005, renouvelé tous les trois ans, « démontrant l’excellente relation commerciale et stratégique existant entre SPC et le MEW, pour une durée triennale ».
SPC se fournit chez plusieurs Sociétés Internationales de trading pour acheter et effectuer les livraisons à EDL conformément au contrat signé entre SPC et le MEW.
La filiale de Sonatrach rappelle, en outre, qu’elle a toujours respecté ses engagements contractuels d’approvisionnement vis-à-vis d’EDL.
« Aussi, SPC est extrêmement confiante et sereine quant à l’issue de cette affaire afin que les deux parties parviennent à un accord qui préserve leurs intérêts mutuels et consolide l’excellente relation commerciale qui les lie depuis 15 ans », conclut le communiqué.
APS
« SPC réfute totalement les allégations inexactes et mensongères sur l’implication d’un haut cadre de Sonatrach dans cette affaire et informe que la personne entendue par la justice libanaise, est un agent maritime indépendant, œuvrant pour le compte de SPC », fait savoir la même source.
Cette affaire relève d’un différend qui remonte au 30 mars dernier, quand SPC a été informé par son client, le ministère libanais de l’Electricité et de l’Eau (MEW) d’un souci opérationnel concernant un défaut de qualité sur une des dernières cargaisons de fioul livrée à l’Etablissement Public à caractère Industriel et Commercial Electricité du Liban (EDL) en date du 25 mars 2020.
Depuis, « SPC et le MEW libanais sont en dialogue constant afin d’essayer de résoudre la situation au plus vite et il ne fait aucun doute qu’eu égard aux excellentes relations qui lient SPC au MEW, la situation sera vraisemblablement et définitivement résolue d’ici peu », affirme-t-on dans ce communiqué.
Selon SPC-Sonatrach, ces précisions interviennent suite à la publication d’articles de presse concernant la livraison d’une cargaison de carburant au profit de l’un de ses clients historiques et partenaires stratégiques, SPC chargé du trading et du marketing pétrolier et basé à Londres.
Pour rappel, SPC a conclu, en novembre 2005, un contrat avec le MEW prenant effet au 1er janvier 2006, pour fournir du gazole et du fioul a EDL qui est placé sous la tutelle du MEW Libanais.
Le contrat susmentionné a été, depuis 2005, renouvelé tous les trois ans, « démontrant l’excellente relation commerciale et stratégique existant entre SPC et le MEW, pour une durée triennale ».
SPC se fournit chez plusieurs Sociétés Internationales de trading pour acheter et effectuer les livraisons à EDL conformément au contrat signé entre SPC et le MEW.
La filiale de Sonatrach rappelle, en outre, qu’elle a toujours respecté ses engagements contractuels d’approvisionnement vis-à-vis d’EDL.
« Aussi, SPC est extrêmement confiante et sereine quant à l’issue de cette affaire afin que les deux parties parviennent à un accord qui préserve leurs intérêts mutuels et consolide l’excellente relation commerciale qui les lie depuis 15 ans », conclut le communiqué.
APS
Corruption : Un dirigeant de la Sonatrach arrêté par la justice Libanaise
La justice libanaise a procédé à l’arrestation du directeur de la Sonatrach au Liban après l’avoir suspecté dans une affaire de corruption qui touche au fuel frelaté qui a fait couler beaucoup d’encre hier au Liban a rapporté samedi l’Agence officielle libanaise NNA.
C’est la procureure générale près de la cour d’appel du Mont-Liban, la juge Ghada Aoun, qui a ordonné l’arrestation du suspect ainsi que 16 autres personnes impliquées dans cette affaire de corruption dans le secteur des hydrocarbures.
Selon la même source la justice libanaise a procédé à ces arrestations suite à une enquête ou elle a pu avoir des « preuves de grandes irrégularités dans l’importation de fuel et des pots-de-vin impliquant des employés haut placés du secteur».
Selon la même source, « cette enquête a été lancée après une note d’information transmise à la justice par l’avocat Wadih Akl ». Cet avocat est aussi « membre du Courant patriotique libre, fondé par le président de la République, Michel Aoun, et dirigé par le député Gebran Bassil », ont indiqué certains médias libanais.
Par Khelifa Litamine - 26 avril 2020 / 12 :35
La justice libanaise a procédé à l’arrestation du directeur de la Sonatrach au Liban après l’avoir suspecté dans une affaire de corruption qui touche au fuel frelaté qui a fait couler beaucoup d’encre hier au Liban a rapporté samedi l’Agence officielle libanaise NNA.
C’est la procureure générale près de la cour d’appel du Mont-Liban, la juge Ghada Aoun, qui a ordonné l’arrestation du suspect ainsi que 16 autres personnes impliquées dans cette affaire de corruption dans le secteur des hydrocarbures.
Selon la même source la justice libanaise a procédé à ces arrestations suite à une enquête ou elle a pu avoir des « preuves de grandes irrégularités dans l’importation de fuel et des pots-de-vin impliquant des employés haut placés du secteur».
Selon la même source, « cette enquête a été lancée après une note d’information transmise à la justice par l’avocat Wadih Akl ». Cet avocat est aussi « membre du Courant patriotique libre, fondé par le président de la République, Michel Aoun, et dirigé par le député Gebran Bassil », ont indiqué certains médias libanais.
Par Khelifa Litamine - 26 avril 2020 / 12 :35
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