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Dans un entretien accordé au magazine français « Le Point » dans sa rebique Afrique, le ministre de la santé Abderrahmane Benbouzid a expliqué comment l’Algérie a pu « maitriser » la situation de l’épidémie du Covid-19, en évitant scénario catastrophe.
En effet, sur une question à savoir pourquoi l’Algérie n’a pas connu le scénario catastrophe Benbouzid a énuméré trois axes majeurs concernant les mesures préventives entreprise par le pays.
« Premièrement : la prévention, dont les actions ont été soutenues.
Deuxièmement : la surveillance active, le dépistage précoce par la PCR et la prise en charge rapide des cas avec le protocole thérapeutique basé sur l’association hydroxychloroquine-azythromycine ». Sur ce point, le ministre a soutenu que ces mesures « ont été entreprises, dès le début de l’épidémie, de façon résolue et dans un souci de décentralisation ».
Le troisième axe consiste, selon le ministre de la santé au « confinement de la population, qui a été mis en œuvre précocement, alors que l’Algérie ne comptait que près de 200 cas, et ce de façon adaptée à l’évolution de l’épidémiologie locale ».
En outre, Benbouzid estime que « cette stratégie nationale nous a permis de ne pas connaître la pression qu’ont eu à subir d’autres systèmes de santé et l’analyse post-épidémie pourra, je l’espère, dire le pourquoi de cette physionomie différente de l’épidémie ». Il a toutefois évoqué quelques pistes de réponse : « la structure démographique de notre population avec moins de sujets âgés qu’en Europe ? La mise en place relativement précoce du confinement au sein des zones-foyer de Covid-19 ? L’adoption, très tôt, du traitement par hydroxychloroquine-azythromycine ? Le génie évolutif de ce virus ? ».
Concernant la stabilité de la situation de l’épidémie en Algérie, le ministre indique qu’elle « s’appuie sur les chiffres des derniers jours qui montrent une tendance générale à la stabilisation du nombre de cas et à la baisse du nombre de décès ».
Cependant, « nous restons extrêmement prudents quant aux conclusions à tirer, cette épidémie ayant montré qu’elle pouvait rebondir et défier à nouveau les systèmes de santé », ajoute-t-il. En préconisant « le respect par tous des mesures de confinement, d’hygiène individuelle, de protection dans les lieux publics et de distanciation physique ».
Rédaction d’Algérie_360
En effet, sur une question à savoir pourquoi l’Algérie n’a pas connu le scénario catastrophe Benbouzid a énuméré trois axes majeurs concernant les mesures préventives entreprise par le pays.
« Premièrement : la prévention, dont les actions ont été soutenues.
Deuxièmement : la surveillance active, le dépistage précoce par la PCR et la prise en charge rapide des cas avec le protocole thérapeutique basé sur l’association hydroxychloroquine-azythromycine ». Sur ce point, le ministre a soutenu que ces mesures « ont été entreprises, dès le début de l’épidémie, de façon résolue et dans un souci de décentralisation ».
Le troisième axe consiste, selon le ministre de la santé au « confinement de la population, qui a été mis en œuvre précocement, alors que l’Algérie ne comptait que près de 200 cas, et ce de façon adaptée à l’évolution de l’épidémiologie locale ».
En outre, Benbouzid estime que « cette stratégie nationale nous a permis de ne pas connaître la pression qu’ont eu à subir d’autres systèmes de santé et l’analyse post-épidémie pourra, je l’espère, dire le pourquoi de cette physionomie différente de l’épidémie ». Il a toutefois évoqué quelques pistes de réponse : « la structure démographique de notre population avec moins de sujets âgés qu’en Europe ? La mise en place relativement précoce du confinement au sein des zones-foyer de Covid-19 ? L’adoption, très tôt, du traitement par hydroxychloroquine-azythromycine ? Le génie évolutif de ce virus ? ».
Concernant la stabilité de la situation de l’épidémie en Algérie, le ministre indique qu’elle « s’appuie sur les chiffres des derniers jours qui montrent une tendance générale à la stabilisation du nombre de cas et à la baisse du nombre de décès ».
Cependant, « nous restons extrêmement prudents quant aux conclusions à tirer, cette épidémie ayant montré qu’elle pouvait rebondir et défier à nouveau les systèmes de santé », ajoute-t-il. En préconisant « le respect par tous des mesures de confinement, d’hygiène individuelle, de protection dans les lieux publics et de distanciation physique ».
Rédaction d’Algérie_360
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