Annonce

Réduire
Aucune annonce.

je regrette bouteflika ...

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • je regrette bouteflika ...

    je pense que dans les prochains mois ( années) la majorité des algériens vont regretter l'ère bouteflika.

    tebboune sera synonime de chômage, pauvreté,baril bas, corona,incompétence, prisonniers d'opinion, liberté en recul etc etc

    donc même si bouteflika a ruiné le pays on risque d'oublier tout le mal qu'il a fait au pays tant tebboune n'apporte rien au quotidien des algériens.

    quel échec ça serait quand même pour la junte au pouvoir de voir le peuple regretter bouteflika....

    croyez-vous a un retour des bouteflika ?
    Dernière modification par samarkand777, 28 avril 2020, 02h21.

  • #2
    No, absolutely nothing
    No, I regret nothing
    Not the good that has been given
    Not the bad, it's all the same to me

    No, absolutely nothing
    No, I regret nothing
    It is payed, done, forgotten
    I don't care about the past

    With my memories
    I light the fire
    My pains, my pleasures
    I don't need them anymore
    I'm done with the loves
    and all their troubles
    I'm done for ever
    I start over with nothing

    No, absolutely nothing
    No, I regret nothing
    Not the good that has been given
    Not the bad, it's all the same to me
    No, absolutely nothing
    No, I regret nothing
    Because my life, because my joys
    today, they start with you
    dz(0000/1111)dz

    Commentaire


    • #3
      Les deux sont illégitimes, malgré cela, il faudrait comparer plutôt le prix du baril de pétrole du temps de la momie avec le prix actuel. C'est ça la différence entre les deux.

      Commentaire


      • #4
        Bref, tu regrettes plutôt le prix du pétrole à 100$

        Commentaire


        • #5
          Le peuple algérien certainement pas.
          En revanche, comme déjà indiqué ici-même sur ce forum, il se pourrait que la dictature marocaine puisse nourrir des regrets pour cause de son laxisme d'égard aux inepties de son pays d'origine (Maroc).

          Commentaire


          • #6
            La pandémie et la chute du prix du baril ne sont pas de sa faute.
            Mais ce qui joue terriblement en sa défaveur et en fait un chef d'état nain, c'est l'impressionnant nombre de détenus politiques et tous ces dépassements contre les libertés individuelles qu'il accepte .

            Commentaire


            • #7
              c'est ce type de discours que tu regrettes* :

              * cette vidéo contient des mots qui peuvent heurter la sensibilité de certains spectateurs

              Commentaire


              • #8
                tebboune sera sinonyme de chômage,
                tebboune sera synonyme de La dictature militaire décomplexée, á savoir la répression du Hirak ect.
                البعره تدل على البعير

                Quand l’injustice devient la loi, la Résistance est un Devoir !✊🏼DZ

                Commentaire


                • #9
                  oui bachi je pense qu'il est contre mais il n'a aucun pouvoir devant ces généraux qui emprisonnent . même un chef de douane,il n'a pas réussi a l'imposer....

                  tebboune est le président dz avec le moins de pouvoir depuis 62.

                  Commentaire


                  • #10
                    Envoyé par democracy
                    c'est ce type de discours que tu regrettes* :
                    C'est un fake grossier, c'est pas sa voix et les mots ne concordent pas avec les lèvres, dégage avec ta vidéo montée et vulgaire.

                    Commentaire


                    • #11
                      democracy ok mais boutef lui a réussi a tenir la dragée haute aux généraux .

                      Commentaire


                      • #12
                        tebboune lui baisse la tête.

                        boutef dès son investiture a montré les crocs et remis a sa place certains militaires.

                        Commentaire


                        • #13
                          Sinon, pour revenir au sujet, il est à craindre qu'on soit amenés à regarder l'ère Bouteflika, surtout les deux derniers mandats ou il n'était plus vraiment aux commandes, comme une ère de paix et de liberté, vu la répression féroce qu'on voit ces derniers temps.

                          Les gens pouvaient critiquer librement et il y avait peu de chance de se faire arrêter pour des écrits sur le net, à moins de dépasser les lignes rouges et encore, c'est pas du révisionnisme, mais du vécu. Pour ce qui est du reste, prix du pétrole..etc. il a eu une conjoncture très favorable et une chance inouïe, c'est tout. L'embellie financière a été très mal gérée, même si le peuple a largement eu sa part à travers les logements sociaux, véhicules abordables, subventions, grosses augmentations de salaire, crédit ANSEJ et j'en passe.

                          Bouteflika était un autocrate médiocre, mais là, c'est une dictature décomplexée qui est entrain de s'installer, et on est même pas surs que ce soit Tebboune qui est derrière.

                          Commentaire


                          • #14
                            - Algérie : chapeau, Boutef !

                            Fin 2004, c’est un Driss Basri patelin et consensuel qui a, littéralement, envahi les colonnes des journaux algériens, suscitant des commentaires étonnés, dubitatifs et parfois amusés. « Ce sont de bons journaux, dit-il, dix fois plus lus et diffusés que les nôtres. »

                            Quelle mouche a piqué celui qui fut, pendant un quart de siècle, le metteur en scène d’une politique de méfiance, parfois de défiance, vis-à-vis de l’Algérie, voulue par le roi Hassan II ?

                            Explications : « Pendant tout le règne de Hassan II et quelles que soient les vicissitudes, le Maroc n’a jamais tourné le dos à l’Algérie. Aujourd’hui, le dialogue semble impossible. La faute à qui ? La responsabilité est plus marocaine qu’algérienne, pour une raison simple.

                            En Algérie, il y a un pilote dans l’avion : Bouteflika. Ce monsieur n’est pas né de la dernière pluie, et, autour de lui, aux Affaires étrangères, à la Sécurité militaire, à la Présidence, il y a des gens qui connaissent le dossier du Sahara pour l’avoir géré depuis des années. Côté marocain, il y a un vrai problème d’interlocuteur depuis qu’on a enlevé le seul monsieur qui connaisse bien le Sahara.
                            »

                            Le fait que cette analyse ressemble comme deux gouttes d’eau à celle parfois formulée par les responsables algériens pour expliquer la persistance du gel des relations entre les deux voisins – il n’y aurait pas, au Maroc, d’interlocuteur identifiable et qualifié pour traiter de ce problème – ne dérange pas Driss Basri. À propos d’Abdelaziz Bouteflika, il n’a d’ailleurs que des éloges à formuler : « Je lui tire mon chapeau, c’est un véritable homme d’État ; grâce à lui, la nation algérienne est en passe de solder les années de sang et de fureur par un pacte de fraternité et une amnistie générale. Alors que nous, nous n’avons que le show de l’IER à offrir ! » [L’Instance Équité et Réconciliation, censée apurer le contentieux des violations des droits de l’homme commises sous le règne de Hassan II. NDLR.]

                            Jeune Afrique, le 07 mars 2005 à 00h00

                            Commentaire


                            • #15
                              Ya Ali يــا عـلي

                              dz(0000/1111)dz

                              Commentaire

                              Chargement...
                              X